Tabou – La Ligue ivoirienne des droits de l’Homme (LIDHO) entreprend depuis le mois de mars, plusieurs formations à l’intention des différentes couches sociales du département de Tabou (474 km à l’ouest d’Abidjan), pour leur inculquer des notions de ‘’droits de l’Homme et de liberté de circulation’’.
Le représentant permanent de la LIDHO à Tabou, Kadinon Issa Konaté a indiqué lundi à l’AIP que la mission de la Ligue dans le département s’inscrit dans le cadre du projet de Décentralisation et de participation territoriale pour un nouveau développement en Côte d’Ivoire (Départ).
« Dans le cadre de cette mission, nous avons déjà rencontré les autorités administratives et politiques, les autorités militaires des FRCI, des syndicats de transporteurs, des communautés villageoises… avec qui nous avons fait l’état des lieux des cas de violation de la liberté de circulation et des droits de l’Homme. Ces populations ont reçu des enseignements dans le but de renforcer leurs capacités en matière de respect des droits de l’Homme », a expliqué M. Konaté.
« Pour atteindre un développement harmonieux dans les localités, il est important d’œuvrer à la protection des droits de l’Homme et à la liberté de circulation. Nous enseignons également aux populations les notions de citoyenneté, de nationalité, de bonne gouvernance et le foncier rural », a ajouté Kadinon Issa Konaté.
Le représentant permanent de la LIDHO à Tabou a conclu par l’annonce d’une tournée dans le département et de plusieurs autres formations prévues. « L’objectif est de former le maximum de personnes », a-t-il relevé.
Le projet Départ, commencé en janvier 2010 pour durer 30 mois, est financé par l’Union européenne.
Le représentant permanent de la LIDHO à Tabou, Kadinon Issa Konaté a indiqué lundi à l’AIP que la mission de la Ligue dans le département s’inscrit dans le cadre du projet de Décentralisation et de participation territoriale pour un nouveau développement en Côte d’Ivoire (Départ).
« Dans le cadre de cette mission, nous avons déjà rencontré les autorités administratives et politiques, les autorités militaires des FRCI, des syndicats de transporteurs, des communautés villageoises… avec qui nous avons fait l’état des lieux des cas de violation de la liberté de circulation et des droits de l’Homme. Ces populations ont reçu des enseignements dans le but de renforcer leurs capacités en matière de respect des droits de l’Homme », a expliqué M. Konaté.
« Pour atteindre un développement harmonieux dans les localités, il est important d’œuvrer à la protection des droits de l’Homme et à la liberté de circulation. Nous enseignons également aux populations les notions de citoyenneté, de nationalité, de bonne gouvernance et le foncier rural », a ajouté Kadinon Issa Konaté.
Le représentant permanent de la LIDHO à Tabou a conclu par l’annonce d’une tournée dans le département et de plusieurs autres formations prévues. « L’objectif est de former le maximum de personnes », a-t-il relevé.
Le projet Départ, commencé en janvier 2010 pour durer 30 mois, est financé par l’Union européenne.