Qui tire les ficelles (dans l’ombre) à quelques jours de l’AG élective de la FIF ? Les hommes du nouveau régime veulent-ils imposer le candidat Sidy Diallo ? Les instances du football mondial, elles, veillent au grain.
Les politiciens n’ont qu’à bien se tenir ! La Confédération africaine de football (CAF) et la Fédération internationale de football amateur (FIFA) lorgnent la Fédération ivoirienne de football (FIF) et par ricochet la Côte d’Ivoire en cette période d’élection à la maison de verre de Treichville. Comme le révèle le confrère Jeune Afrique, les instances internationales de football seront impitoyables (comme cela avait été le cas au Togo ou encore au Nigeria) avec la FIF en cas d’ingérence (trop visible) du politique dans notre football. Déjà, l’on apprend que la non candidature de Jacques Anouma serait le fait de l’actuel ministre de l’Intérieur, Hamed Bakayoko, proche du candidat Augustin Sidy Diallo. En effet, il aurait fait pression sur Anouma pour qu’il renonce. Vrai ou faux ? Une chose est sûre, Me Bamba Cheick Daniel, actuel directeur de cabinet du ministre de l’Intérieur et président de la Fédération ivoirienne de taekwondo, figure, en bonne place, sur la liste du candidat Sidy Diallo. Pareil pour Pascal Abinan, directeur des impôts et Arthur Aloco, patron de l’ATCI, qui également soutiennent fortement Sidy Diallo. Un président de club, partisan du camp Salif Bictogo, pour sa part, tient à le souligner : « on n’apprend pas à pleurer à quelqu’un qui a perdu sa mère… ». Une façon de dire que seuls les présidents de clubs s’offriront le candidat de leur choix. Sans pression(s). Déjà, certains menacent de boycotter l’AG élective du 10 septembre et la Ligue 1 au cas où les candidatures d’Albert Anzouan Kacou ou (surtout) de Salif Bictogo sont invalidées. On verra ce qu’on va voir…
Guy-Florentin Yaméogo
Les politiciens n’ont qu’à bien se tenir ! La Confédération africaine de football (CAF) et la Fédération internationale de football amateur (FIFA) lorgnent la Fédération ivoirienne de football (FIF) et par ricochet la Côte d’Ivoire en cette période d’élection à la maison de verre de Treichville. Comme le révèle le confrère Jeune Afrique, les instances internationales de football seront impitoyables (comme cela avait été le cas au Togo ou encore au Nigeria) avec la FIF en cas d’ingérence (trop visible) du politique dans notre football. Déjà, l’on apprend que la non candidature de Jacques Anouma serait le fait de l’actuel ministre de l’Intérieur, Hamed Bakayoko, proche du candidat Augustin Sidy Diallo. En effet, il aurait fait pression sur Anouma pour qu’il renonce. Vrai ou faux ? Une chose est sûre, Me Bamba Cheick Daniel, actuel directeur de cabinet du ministre de l’Intérieur et président de la Fédération ivoirienne de taekwondo, figure, en bonne place, sur la liste du candidat Sidy Diallo. Pareil pour Pascal Abinan, directeur des impôts et Arthur Aloco, patron de l’ATCI, qui également soutiennent fortement Sidy Diallo. Un président de club, partisan du camp Salif Bictogo, pour sa part, tient à le souligner : « on n’apprend pas à pleurer à quelqu’un qui a perdu sa mère… ». Une façon de dire que seuls les présidents de clubs s’offriront le candidat de leur choix. Sans pression(s). Déjà, certains menacent de boycotter l’AG élective du 10 septembre et la Ligue 1 au cas où les candidatures d’Albert Anzouan Kacou ou (surtout) de Salif Bictogo sont invalidées. On verra ce qu’on va voir…
Guy-Florentin Yaméogo