Les élections à la présidence de la FIF cristallisent depuis des semaines les populations ivoiriennes, tant le football est le sport-roi en Côte d’Ivoire. Anzouan Kacou Albert, Bictogo Salif et Augustin Sidy Diallo, sur un plateau de télévision pour un débat, avant le 10 septembre 2011, date du scrutin ?
Le compte à rebours a commencé depuis le 19 août 2011, date de l’ouverture de la campagne à la présidence de la FIF. Anzouan Kacou Albert, Bictogo Salif et Augustin Sidy Diallo peaufinent leurs stratégies dans le but de convaincre plus de délégués, le 10 septembre prochain. Comme s’ils s’étaient passé le mot, tous militent pour le bonheur des clubs ivoiriens et pour le développement du cuir en Côte d’Ivoire. Bien beau ! Au-delà des projets, de la stratégie de communication et autres, n’est-il pas impérieux que les trois candidats soient face à face sur un plateau de télévision ? En tout cas, les présidents de clubs pourront suivre leurs arguments et surtout leurs motivations pour ne pas se tromper le jour du choix. Le débat Gbagbo-Ouattara a été bien apprécié des Ivoiriens dans leur ensemble. Et les sportifs ivoiriens souhaiteraient voir un autre débat qui rassemblera les trois candidats à la présidence de la FIF. «On verra qui est qui et qui pèse quoi vraiment ? Parce qu’à vrai dire, il y a des candidats qui ont peur d’affronter les journalistes», croit dur comme fer un journaliste sportif ivoirien. La RTI qui a déjà organisé un débat en direct avec pour invité Jacques Anouma en compagnie des journalistes ivoiriens, en 2010, suite à la débâcle des Eléphants à la CAN angolaise, peut remettre le couvert pour l’élection de la FIF. Cette émission qui aura surement un bon taux d’audience. L’on verra Bictogo, Anzouan et Sidy sur un plateau, en train d’éplucher leurs projets respectifs. La FIF étant désormais un label grâce au passage de Jacques Anouma, aujourd’hui, membre du Comité exécutif de la FIFA et de la CAF, il faut qu’elle revienne à quelqu’un de valeur. Pour préserver les acquis mais surtout continuer l’œuvre. Tous les regards sont tournés vers la RTI et les candidats ainsi que les bonnes volontés. « C’est une bonne idée et je crois que nos chefs pourront explorer cette voie dans quelques jours», a confié hier un confrère de la télévision ivoirienne qui a requis l’anonymat.
Annoncia Sehoué
Le compte à rebours a commencé depuis le 19 août 2011, date de l’ouverture de la campagne à la présidence de la FIF. Anzouan Kacou Albert, Bictogo Salif et Augustin Sidy Diallo peaufinent leurs stratégies dans le but de convaincre plus de délégués, le 10 septembre prochain. Comme s’ils s’étaient passé le mot, tous militent pour le bonheur des clubs ivoiriens et pour le développement du cuir en Côte d’Ivoire. Bien beau ! Au-delà des projets, de la stratégie de communication et autres, n’est-il pas impérieux que les trois candidats soient face à face sur un plateau de télévision ? En tout cas, les présidents de clubs pourront suivre leurs arguments et surtout leurs motivations pour ne pas se tromper le jour du choix. Le débat Gbagbo-Ouattara a été bien apprécié des Ivoiriens dans leur ensemble. Et les sportifs ivoiriens souhaiteraient voir un autre débat qui rassemblera les trois candidats à la présidence de la FIF. «On verra qui est qui et qui pèse quoi vraiment ? Parce qu’à vrai dire, il y a des candidats qui ont peur d’affronter les journalistes», croit dur comme fer un journaliste sportif ivoirien. La RTI qui a déjà organisé un débat en direct avec pour invité Jacques Anouma en compagnie des journalistes ivoiriens, en 2010, suite à la débâcle des Eléphants à la CAN angolaise, peut remettre le couvert pour l’élection de la FIF. Cette émission qui aura surement un bon taux d’audience. L’on verra Bictogo, Anzouan et Sidy sur un plateau, en train d’éplucher leurs projets respectifs. La FIF étant désormais un label grâce au passage de Jacques Anouma, aujourd’hui, membre du Comité exécutif de la FIFA et de la CAF, il faut qu’elle revienne à quelqu’un de valeur. Pour préserver les acquis mais surtout continuer l’œuvre. Tous les regards sont tournés vers la RTI et les candidats ainsi que les bonnes volontés. « C’est une bonne idée et je crois que nos chefs pourront explorer cette voie dans quelques jours», a confié hier un confrère de la télévision ivoirienne qui a requis l’anonymat.
Annoncia Sehoué