L’Agence Ivoirienne de la Coopération Francophone (AICF), dans ses actions citoyennes, veut accompagner les collectivités locales dans les questions environnementales. En marge donc du sommet mondial de l’Ecocité, qui se tient depuis le 22 août et ce jusqu’aujourd’hui à Montréal au Canada, l’AICF a organisé, hier au siège de l’Union des Villes et Communes de Côte d’Ivoire (UVICOCI) au Plateau, une conférence. Avec pour thème : «Ecocité, quels enjeux pour la Côte d’Ivoire ? » Pour sensibiliser les Ivoiriens sur l’écocité qui consiste à « placer l’homme et son environnement au centre du développement des villes dans le cadre des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) », c’est M. Zabi Soko Guillaume, Inspecteur général de l’Environnement, qui a été coopté. « Ce qui pose problème dans l’avènement de l’écocité, c’est-à-dire une cité, une ville qui respecte les normes environnementales de développement durable, c’est que nos villes ne respectent pas les règles d’urbanisme », a expliqué le conférencier avant d’inviter les pouvoirs publics à s’approprier les résolutions du sommet de Montréal « pour un mieux vivre des Ivoiriens dans un cadre environnemental idoine sain, qui respecte les normes de l’urbanisme écologique».
Selon Mme Constance Yaï, Directrice de l’AICF, cheville ouvrière des assises, « pour vivre et évoluer, il nous faut vivre dans un environnement sain. Car nos pays ont besoin de respecter l’écologie». Un avis partagé par François Albert Amichia, maire de Treichville, par ailleurs, président de l’Uvicoci : « l’Ecocité, l’écoville… sont de nouveaux termes auxquels les gestionnaires des cités essaient de s’habituer pour amener nos administrés à respecter les normes environnementales».
Les 34 mille tonnes de gaz carbonique que la forêt du Banco absorbe, 68 mille tonnes d’oxygène qu’elle restitue, les 40% de ressources en eau qu’elle constitue sont, entre autres, questions abordées avec l’auditoire, qui semblait très intéressé par le sujet.
Jean- Antoine Doudou
Selon Mme Constance Yaï, Directrice de l’AICF, cheville ouvrière des assises, « pour vivre et évoluer, il nous faut vivre dans un environnement sain. Car nos pays ont besoin de respecter l’écologie». Un avis partagé par François Albert Amichia, maire de Treichville, par ailleurs, président de l’Uvicoci : « l’Ecocité, l’écoville… sont de nouveaux termes auxquels les gestionnaires des cités essaient de s’habituer pour amener nos administrés à respecter les normes environnementales».
Les 34 mille tonnes de gaz carbonique que la forêt du Banco absorbe, 68 mille tonnes d’oxygène qu’elle restitue, les 40% de ressources en eau qu’elle constitue sont, entre autres, questions abordées avec l’auditoire, qui semblait très intéressé par le sujet.
Jean- Antoine Doudou