Les journalistes ont été instruits, mercredi, à la Maison de la presse d’Abidjan (Mpa) aux Droit international humanitaire, à l’initiative de l’Unjci et du Cicr.
Les actions du Comité International de la croix rouge (Cicr) en faveur de la défense du droit international humanitaire n’ont plus de secret pour les journalistes ivoiriens. A l’invitation de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci) et du Cicr, un séminaire de formation, organisé à la Maison de la Presse au Plateau, a permis de présenter le mandat et les activités de cette organisation humanitaire. Pour Mam Camara, president de l’Unjci, ce séminaire répond à un souci de renforcement des capacités des hommes de medias en droit international humanitaire. Une sensibilisation des populations, en général, indispensable à la réussite de la mission du Cicr sur le terrain, selon Dominique Lingme, chef de délégation. «Le succès d’une opération de secours menée par une institution comme la nôtre, dépend dans les faits, de son acceptation par les populations civiles bénéficiaires de son assistance et de la connaissance de son emblème de neutralité, d’impartialité et d’indépendance dans l’action humanitaire», a-t-elle indiqué. Sur le mandat et les activités du Cicr, Kelnor Panglungtshang, le coordonnateur communication, a défini le statut du journaliste en période de crise. «La mauvaise nouvelle est qu’il n’existe pas de statut particulier pour les journalistes en période de guerre. La bonne nouvelle, c’est que les journalistes bénéficient de la même protection que les civils. C'est-à-dire qu’il est interdit de s’attaquer directement à eux dans l’exercice de leur fonction», a-t-il soutenu. Le président de l’Olped, Zio Moussa dans sa communication sur «Le rôle des medias en période de conflit armé», a invité les journalistes à la responsabilité et au respect de l’éthique et la déontologie de la presse. Car dira-t-il «la responsabilité des hommes de media est grande en temps ordinaire. Elle est plus importante en période de crise parce que la liberté de la presse ne change pas de nature selon la saison».
Fofana Ali (Stagiaire)
Les actions du Comité International de la croix rouge (Cicr) en faveur de la défense du droit international humanitaire n’ont plus de secret pour les journalistes ivoiriens. A l’invitation de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci) et du Cicr, un séminaire de formation, organisé à la Maison de la Presse au Plateau, a permis de présenter le mandat et les activités de cette organisation humanitaire. Pour Mam Camara, president de l’Unjci, ce séminaire répond à un souci de renforcement des capacités des hommes de medias en droit international humanitaire. Une sensibilisation des populations, en général, indispensable à la réussite de la mission du Cicr sur le terrain, selon Dominique Lingme, chef de délégation. «Le succès d’une opération de secours menée par une institution comme la nôtre, dépend dans les faits, de son acceptation par les populations civiles bénéficiaires de son assistance et de la connaissance de son emblème de neutralité, d’impartialité et d’indépendance dans l’action humanitaire», a-t-elle indiqué. Sur le mandat et les activités du Cicr, Kelnor Panglungtshang, le coordonnateur communication, a défini le statut du journaliste en période de crise. «La mauvaise nouvelle est qu’il n’existe pas de statut particulier pour les journalistes en période de guerre. La bonne nouvelle, c’est que les journalistes bénéficient de la même protection que les civils. C'est-à-dire qu’il est interdit de s’attaquer directement à eux dans l’exercice de leur fonction», a-t-il soutenu. Le président de l’Olped, Zio Moussa dans sa communication sur «Le rôle des medias en période de conflit armé», a invité les journalistes à la responsabilité et au respect de l’éthique et la déontologie de la presse. Car dira-t-il «la responsabilité des hommes de media est grande en temps ordinaire. Elle est plus importante en période de crise parce que la liberté de la presse ne change pas de nature selon la saison».
Fofana Ali (Stagiaire)