Qui est le candidat d’Anouma ?
La campagne pour la présidence de la FIF est lancée. Les trois candidats en lice sont proches du futur ex-président de la Fédé. Salif Bictogo, Albert Anzouan Kacou ou Sidy Diallo Augustin, pour qui bat le cœur de Jacques Anouma ?
Certains le murmurent. D’autres se pausent carrément la question : des trois candidats en lice pour le fauteuil de président de la Fédération ivoirienne de football(FIF), qui est le choix de Jacques Anouma ? Grosse interrogation. Sur la question, le concerné ne se fait pas prier : « Je ne crois pas en la neutralité des hommes. Je suis un être humain, j’ai mes sentiments, mais je ne prendrai pas position pour l’un ou l’autre candidat. Je ferai en sorte que ces sentiments ne transparaissent pas. Je suis heureux qu’il y ait dix membres de mon comité exécutif sur la liste de Sidy Diallo. Cette liste se revendique de mon héritage, c’est tant mieux. Anzouan Kacou est mon fils spirituel sportif. S’il n’y avait de clubs sur la liste, je me serais impliqué dans la campagne. Car j’appartiens à la conférence des présidents de clubs. C’est naturel que je sois avec eux. Je ne peux donc pas aller contre les clubs. Je ne les remercierai jamais assez. Mon bilan est le leur. Ce sont eux qui m’ont permis d’avoir ce quitus », a affirmé le patron de la FIF.
Anouma : « Je suis avec les clubs »
On le voit, le patron de la maison de verre de Treichville ne peut pas s’afficher pour un candidat quand même il a ses sentiments. Dans ce match, il est obligé de faire office de juge central. Dont l’impartialité ne souffre d’aucune zone d’ombre. Lui qui a essayé vainement de rapprocher les trois concurrents pour un consensus. « Le problème du consensus s’est posé au niveau de la tête de liste, sinon la volonté d’y aller était palpable. C’est au niveau de la tête de liste que ça a coincé », explique JA.
« …La FIF de 2011 est un monstre »
Jacques Anouma sait qu’il a laisse un lourd héritage. Dont la gestion ne sera pas une mince affaire. Du football local à la sélection nationale A en passant par les autres équipes nationales locale, cadette, junior, espoir, les centres de formations, la formation des encadreurs, c’est du lourd. « La FIF de 2011 est un monstre. Un monstre qui a besoin de toutes les compétences ». Sans doute pour dire à ses successeurs que l’instance fédérale est une grosse machine dont la gestion n’est pas un jeu d’enfant. Mais qui est plutôt une affaire de spécialistes et d’initiés. A tous les niveaux. Les trois candidats sont lancés sur le terrain. A la conquête des voix des clubs. Chacun avec ses armes et arguments. Rendez-vous est pris pour le 10 septembre au soir. Les clubs vont choisir le président qu’ils estiment capable de régler leurs problèmes.
Tibet Kipré
La campagne pour la présidence de la FIF est lancée. Les trois candidats en lice sont proches du futur ex-président de la Fédé. Salif Bictogo, Albert Anzouan Kacou ou Sidy Diallo Augustin, pour qui bat le cœur de Jacques Anouma ?
Certains le murmurent. D’autres se pausent carrément la question : des trois candidats en lice pour le fauteuil de président de la Fédération ivoirienne de football(FIF), qui est le choix de Jacques Anouma ? Grosse interrogation. Sur la question, le concerné ne se fait pas prier : « Je ne crois pas en la neutralité des hommes. Je suis un être humain, j’ai mes sentiments, mais je ne prendrai pas position pour l’un ou l’autre candidat. Je ferai en sorte que ces sentiments ne transparaissent pas. Je suis heureux qu’il y ait dix membres de mon comité exécutif sur la liste de Sidy Diallo. Cette liste se revendique de mon héritage, c’est tant mieux. Anzouan Kacou est mon fils spirituel sportif. S’il n’y avait de clubs sur la liste, je me serais impliqué dans la campagne. Car j’appartiens à la conférence des présidents de clubs. C’est naturel que je sois avec eux. Je ne peux donc pas aller contre les clubs. Je ne les remercierai jamais assez. Mon bilan est le leur. Ce sont eux qui m’ont permis d’avoir ce quitus », a affirmé le patron de la FIF.
Anouma : « Je suis avec les clubs »
On le voit, le patron de la maison de verre de Treichville ne peut pas s’afficher pour un candidat quand même il a ses sentiments. Dans ce match, il est obligé de faire office de juge central. Dont l’impartialité ne souffre d’aucune zone d’ombre. Lui qui a essayé vainement de rapprocher les trois concurrents pour un consensus. « Le problème du consensus s’est posé au niveau de la tête de liste, sinon la volonté d’y aller était palpable. C’est au niveau de la tête de liste que ça a coincé », explique JA.
« …La FIF de 2011 est un monstre »
Jacques Anouma sait qu’il a laisse un lourd héritage. Dont la gestion ne sera pas une mince affaire. Du football local à la sélection nationale A en passant par les autres équipes nationales locale, cadette, junior, espoir, les centres de formations, la formation des encadreurs, c’est du lourd. « La FIF de 2011 est un monstre. Un monstre qui a besoin de toutes les compétences ». Sans doute pour dire à ses successeurs que l’instance fédérale est une grosse machine dont la gestion n’est pas un jeu d’enfant. Mais qui est plutôt une affaire de spécialistes et d’initiés. A tous les niveaux. Les trois candidats sont lancés sur le terrain. A la conquête des voix des clubs. Chacun avec ses armes et arguments. Rendez-vous est pris pour le 10 septembre au soir. Les clubs vont choisir le président qu’ils estiment capable de régler leurs problèmes.
Tibet Kipré