L’ancien buteur du Stella, de l’Asec et des Eléphants prend position à quelques jours de l’élection du successeur de Jacques Anouma. Pour lui, le candidat Sidy Diallo reste le meilleur cheval. Il en donne les raisons…
Qui soutenez-vous dans l’élection du futur président de la Fédération ivoirienne de football ?
Des trois candidats, ma préférence et mon objectivité demandent que je soutienne le candidat Augustin Sidy Diallo.
Pourquoi ?
Sidy Diallo est très connu. Quand j’étais cadet au Stella, déjà, je voyais l’amour et la passion qu’il avait pour le football. Il s’investissait totalement. Etant très jeune à l’époque, je voyais un peu ce qu’il faisait. Quand il est venu en 1992, pour la campagne, j’étais avec lui et j’ai vu son professionnalisme, son dynamisme, son sérieux et sa rigueur dans ce qu’il faisait. En 1992, nous avons remporté la CAN au Sénégal, certes, mais autour de l’entraîneur Yéo Martial, il y avait le staff dirigé par Sidy Diallo. Il coordonnait tout.
Que répondez-vous à ceux qui affirment qu’il est le candidat du pouvoir ?
Pour moi, il n’est pas un candidat du pouvoir comme les gens veulent le faire croire. Sidy Diallo est plutôt un homme de terrain. C’est le candidat idéal car c’est quelqu’un qui a toujours prouvé qu’il tient la baguette en main. Par conséquent, Sidy Diallo est l’homme qu’il faut à la place qu’il faut. Je me souviens aussi qu’il a travaillé auprès du président Jacques Anouma jusqu’à la fin du Mondial 2006 en Allemagne.
Voulez-vous dire qu’une victoire de Sidy Diallo ne marquera pas de rupture à la FIF ?
Tout à fait ! Il est vrai que le départ de Jacques Anouma nous a fait mal mais, je pense que la continuité de cette fédération contribuera à hisser le drapeau de la Côte d’ivoire encore plus haut. Je le répète, Sidy Diallo est l’homme qu’il faut. Ne voyez pas en lui le candidat mais regardez l’équipe qui est autour de lui. Elle est professionnelle, sérieuse et financièrement assise et pourra tenir la barre très haute.
L’Association des footballeurs ivoiriens (AFI) dirigée par Cyril Domoraud a porté son choix sur Salif Bictogo… qu’en pensez-vous ?
(Il s’énerve et hausse le ton) Cyril Domoraud n’est pas notre représentant. Nous avons un président du nom d’Alain Gouaméné. Cyril Domoraud est sur la liste de Salif Bictogo en son nom et pas au nom de l’AFI. Je n’ai pas envie de rentrer dans les commentaires. Moi, je parle en mon nom et en celui de certains amis qui étaient en 1992 avec nous, au Sénégal, comme Oumar Ben Salah, Didier Ottokoré, Diaby Sekana. Sidy Diallo a le soutien de la majorité des Eléphants de la génération 92.
Adjoint d’Alain Gouaméné dans les équipes de jeunes, resterez-vous toujours dans son ombre ?
(Il hausse encore le ton) Je ne suis pas seulement l’adjoint d’Alain Gouaméné. Je participe à la détection de jeunes talents dans diverses sélections de joueurs.
Dites-nous exactement quel est votre rôle au sein des sélections de jeunes ?
Je suis le chargé de mission de Jacques Anouma auprès de toutes les sélections et je suis salarié. Et de par mon expérience, je compte couronner tout cela par un diplôme d’entraîneur. En effet, je pense avoir les capacités pour et je me vois bien réussir dans ce rôle.
Entretien réalisé par Rokia Sylla (Stagiaire)
Qui soutenez-vous dans l’élection du futur président de la Fédération ivoirienne de football ?
Des trois candidats, ma préférence et mon objectivité demandent que je soutienne le candidat Augustin Sidy Diallo.
Pourquoi ?
Sidy Diallo est très connu. Quand j’étais cadet au Stella, déjà, je voyais l’amour et la passion qu’il avait pour le football. Il s’investissait totalement. Etant très jeune à l’époque, je voyais un peu ce qu’il faisait. Quand il est venu en 1992, pour la campagne, j’étais avec lui et j’ai vu son professionnalisme, son dynamisme, son sérieux et sa rigueur dans ce qu’il faisait. En 1992, nous avons remporté la CAN au Sénégal, certes, mais autour de l’entraîneur Yéo Martial, il y avait le staff dirigé par Sidy Diallo. Il coordonnait tout.
Que répondez-vous à ceux qui affirment qu’il est le candidat du pouvoir ?
Pour moi, il n’est pas un candidat du pouvoir comme les gens veulent le faire croire. Sidy Diallo est plutôt un homme de terrain. C’est le candidat idéal car c’est quelqu’un qui a toujours prouvé qu’il tient la baguette en main. Par conséquent, Sidy Diallo est l’homme qu’il faut à la place qu’il faut. Je me souviens aussi qu’il a travaillé auprès du président Jacques Anouma jusqu’à la fin du Mondial 2006 en Allemagne.
Voulez-vous dire qu’une victoire de Sidy Diallo ne marquera pas de rupture à la FIF ?
Tout à fait ! Il est vrai que le départ de Jacques Anouma nous a fait mal mais, je pense que la continuité de cette fédération contribuera à hisser le drapeau de la Côte d’ivoire encore plus haut. Je le répète, Sidy Diallo est l’homme qu’il faut. Ne voyez pas en lui le candidat mais regardez l’équipe qui est autour de lui. Elle est professionnelle, sérieuse et financièrement assise et pourra tenir la barre très haute.
L’Association des footballeurs ivoiriens (AFI) dirigée par Cyril Domoraud a porté son choix sur Salif Bictogo… qu’en pensez-vous ?
(Il s’énerve et hausse le ton) Cyril Domoraud n’est pas notre représentant. Nous avons un président du nom d’Alain Gouaméné. Cyril Domoraud est sur la liste de Salif Bictogo en son nom et pas au nom de l’AFI. Je n’ai pas envie de rentrer dans les commentaires. Moi, je parle en mon nom et en celui de certains amis qui étaient en 1992 avec nous, au Sénégal, comme Oumar Ben Salah, Didier Ottokoré, Diaby Sekana. Sidy Diallo a le soutien de la majorité des Eléphants de la génération 92.
Adjoint d’Alain Gouaméné dans les équipes de jeunes, resterez-vous toujours dans son ombre ?
(Il hausse encore le ton) Je ne suis pas seulement l’adjoint d’Alain Gouaméné. Je participe à la détection de jeunes talents dans diverses sélections de joueurs.
Dites-nous exactement quel est votre rôle au sein des sélections de jeunes ?
Je suis le chargé de mission de Jacques Anouma auprès de toutes les sélections et je suis salarié. Et de par mon expérience, je compte couronner tout cela par un diplôme d’entraîneur. En effet, je pense avoir les capacités pour et je me vois bien réussir dans ce rôle.
Entretien réalisé par Rokia Sylla (Stagiaire)
