S’il faut féliciter le confrère Al Bayane pour une organisation réussie du concert, il importe cependant de réfléchir à comment faire pour éviter que les erreurs d’aujourd’hui – si elles sont prises en compte – ne soient pas des problèmes organisationnels prochainement. On ne le dit pas souvent, mais les journalistes (culturels) voient fréquemment des vertes et des pas mûres quand ils sont conviés à des spectacles. Même quand les organisateurs se plaisent à dire qu’ils (organes de presse) sont des partenaires. Le vendredi dernier, de même que la veille, des confrères bien que certains aient été conviés par l’organisateur, ont été au prix de combien de supplices et malgré la présentation de la carte de presse, refoulés à l’entrée. Le journaliste professionnel et patron de presse Dembélé Fausseni, directeur de cabinet du ministre de la Culture et de la Francophonie (garant de la culture) présent au rang des VIP au concert du vendredi, devra être un interlocuteur auprès de Maurice Bandaman pour réfléchir, en collaboration avec les organisateurs de spectacles, l’UNJCI et l’UJOCCI, à rendre la tâche aisée aux journalistes, acteurs culturels – toujours à la tâche, malgré les entraves pour apporter l’information aux populations.
KS
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