Lors d’un point-presse qu’il a animé, hier à Bouaké, Abel Djohoré membre du secrétariat des Forces Nouvelles a amplement expliqué la décision des FN de rester unies avec le Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix.
A la suite du conclave des Forces nouvelles, le directeur de cabinet du secrétariat national à l’économie et aux finances de l’ex-rébellion, Abel Djohoré, a animé, hier au siège de sa structure, un point-presse. Il a expliqué pourquoi les cadres des Forces nouvelles veulent aller aux élections législatives avec le Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (Rhdp). Pour lui, les cadres des Forces nouvelles veulent poursuivre leur combat autrement. « Il faut qu’on soit là-bas pour continuer le combat et éviter ce que le pays a vécu par le passé », a-t-il justifié : « Nous n’allons pas à l’Assemblée nationale pour négocier des postes. Les Forces nouvelles ne négocient pas de poste de député, elles veulent simplement que leur secrétaire général aille travailler avec le présidium du Rhdp pour que ses cadres qui sont susceptibles d’être portés à l’hémicycle, soient d’office candidats, pour ne pas gêner le pouvoir d’Alassane Ouattara mais plutôt de le consolider », a situé le collaborateur du ministre Dosso Moussa. Il a aussi réexpliqué que les cadres de l’ex-rébellion ne vont pas aux élections législatives pour négocier des postes de député avec le Rhdp. « Ces postes-là ne se négocient pas ; on les acquiert par élections et c’est le peuple qui choisit », a précisé le conférencier. Toujours selon Abel Djohoré, les Forces nouvelles qui ont pris une part active dans le combat qui a débouché sur le nouvel ordre politique ne devaient pas disparaître. « Certains ont peut-être fait ce calcul. Nous pensons qu’il était nécessaire que nous donnions notre position pour que les uns et les autres soient situés. Avec notre secrétaire général, nous avons toujours su où nous allions et nous avons une vision claire de la nouvelle Côte d’Ivoire », a rappelé Abel Djohoré, candidat à la députation à Ouragahio, sa région natale.
Denis Koné à Bouaké
A la suite du conclave des Forces nouvelles, le directeur de cabinet du secrétariat national à l’économie et aux finances de l’ex-rébellion, Abel Djohoré, a animé, hier au siège de sa structure, un point-presse. Il a expliqué pourquoi les cadres des Forces nouvelles veulent aller aux élections législatives avec le Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (Rhdp). Pour lui, les cadres des Forces nouvelles veulent poursuivre leur combat autrement. « Il faut qu’on soit là-bas pour continuer le combat et éviter ce que le pays a vécu par le passé », a-t-il justifié : « Nous n’allons pas à l’Assemblée nationale pour négocier des postes. Les Forces nouvelles ne négocient pas de poste de député, elles veulent simplement que leur secrétaire général aille travailler avec le présidium du Rhdp pour que ses cadres qui sont susceptibles d’être portés à l’hémicycle, soient d’office candidats, pour ne pas gêner le pouvoir d’Alassane Ouattara mais plutôt de le consolider », a situé le collaborateur du ministre Dosso Moussa. Il a aussi réexpliqué que les cadres de l’ex-rébellion ne vont pas aux élections législatives pour négocier des postes de député avec le Rhdp. « Ces postes-là ne se négocient pas ; on les acquiert par élections et c’est le peuple qui choisit », a précisé le conférencier. Toujours selon Abel Djohoré, les Forces nouvelles qui ont pris une part active dans le combat qui a débouché sur le nouvel ordre politique ne devaient pas disparaître. « Certains ont peut-être fait ce calcul. Nous pensons qu’il était nécessaire que nous donnions notre position pour que les uns et les autres soient situés. Avec notre secrétaire général, nous avons toujours su où nous allions et nous avons une vision claire de la nouvelle Côte d’Ivoire », a rappelé Abel Djohoré, candidat à la députation à Ouragahio, sa région natale.
Denis Koné à Bouaké