Agboville – Cinq hommes en treillis, encagoulés, armés de Kalachnikov et de fusil à plomb, ont attaqué mercredi un minicar de transport de passagers entre les localités de Ouanguié et Adaou, faisant un mort et six blessés dont trois cas graves.
Selon des blessés rencontrés au CHR d’Agboville par l’AIP, à un virage situé à quelques centaines de mètres d’Adaou, village sis à moins de 5km d’Agboville, un individu, arme de guerre au point et encagoulé, a surgi de la broussaille, intimant l’ordre au chauffeur du minicar de marquer un arrêt.
« J’ai donc fais une manœuvre qui m’a permis d’éviter l’obstacle et par ailleurs de ne pas opérer une sortie de route », a indiqué le chauffeur. Quatre autres individus, dont trois armés de fusil à plomb, ont alors fait usage de leurs armes, a renchéri une passagère, sœur de la dame décédée, N’Guessan Amandine, 33 ans, issue du village de Djéssidjé, lieu de départ du minicar. « Je ne pourrais vous dire exactement s’il s’agit d’éléments FRCI en faction ou s’il s’agit de bandits armés », a-t-elle précisé.
Selon le chef du service de chirurgie au CHR d’Agboville, Dr Soumahoro Kouiti, la vie des blessés n’est plus en danger. Il a souligné deux femmes parmi les blessés ont reçu des plombs, l’une dans le dos et l’autre, dans le bras.
Le chirurgien qui a déploré le manque de médicaments, « puisque la pharmacie n’est pas approvisionnée », a bénéficié, séance tenante, du soutien financier, à hauteur de 200.000 FCFA, du ministre de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Albert Flindé qui était à Agboville pour superviser les épreuves des examens du CAP et du BT.
Des déclarations de nombreux témoins, confirmés par la police et le corps médical, établissent qu’il s’agit de la quatrième attaque armée perpétrée par des hommes armés à ce même virage, depuis le mois d’avril.
Selon des blessés rencontrés au CHR d’Agboville par l’AIP, à un virage situé à quelques centaines de mètres d’Adaou, village sis à moins de 5km d’Agboville, un individu, arme de guerre au point et encagoulé, a surgi de la broussaille, intimant l’ordre au chauffeur du minicar de marquer un arrêt.
« J’ai donc fais une manœuvre qui m’a permis d’éviter l’obstacle et par ailleurs de ne pas opérer une sortie de route », a indiqué le chauffeur. Quatre autres individus, dont trois armés de fusil à plomb, ont alors fait usage de leurs armes, a renchéri une passagère, sœur de la dame décédée, N’Guessan Amandine, 33 ans, issue du village de Djéssidjé, lieu de départ du minicar. « Je ne pourrais vous dire exactement s’il s’agit d’éléments FRCI en faction ou s’il s’agit de bandits armés », a-t-elle précisé.
Selon le chef du service de chirurgie au CHR d’Agboville, Dr Soumahoro Kouiti, la vie des blessés n’est plus en danger. Il a souligné deux femmes parmi les blessés ont reçu des plombs, l’une dans le dos et l’autre, dans le bras.
Le chirurgien qui a déploré le manque de médicaments, « puisque la pharmacie n’est pas approvisionnée », a bénéficié, séance tenante, du soutien financier, à hauteur de 200.000 FCFA, du ministre de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Albert Flindé qui était à Agboville pour superviser les épreuves des examens du CAP et du BT.
Des déclarations de nombreux témoins, confirmés par la police et le corps médical, établissent qu’il s’agit de la quatrième attaque armée perpétrée par des hommes armés à ce même virage, depuis le mois d’avril.
