Le président de la République a regagné Abidjan, à la mi-journée de jeudi, après un séjour de 24 heures en France. Alassane Ouattara qui a assisté, mercredi, à la remise du Prix Félix Houphouet-Boigny pour la recherche de la paix, à Paris, au siège de l’Unesco, a partagé les leçons de sa sortie avec la presse.
De retour de Paris où il a pris part à la 21è édition de la cérémonie de remise du Prix Félix Houhopuet-Boigny pour la recherche de la paix, le président de la République, Alassane Ouattara, a tiré les enseignements de cette visite de travail de vingt-quatre heures, en France. En effet, il a donné un bref point-presse dans l’enceinte du pavillon d’honneur de l’aéroport international d’Abidjan, Port-Bouët. A l’occasion, le numéro Un ivoirien s’est félicité d’avoir « rendu hommage au Père-fondateur de notre pays ». Alassane Ouattara et son ‘’frère aîné houphouétiste‘’, Henri Konan Bédié, Protecteur du Prix, ont, selon lui, fortement apprécié le grand engouement autour de cet évènement annuel. Ces retrouvailles ont vu la présence d’un parterre de personnalités dont des chefs d’Etat africains, Abdoulaye Wade (Sénégal), Blaise Compaoré (Burkina Faso) et Mohamed Ould Abdel Aziz (Mauritanie). Le chef de l’Etat a également salué le mérite du lauréat, l’association les ‘’Grands-mères de la Place de mai‘’. Parce que ses membres, des Argentines, ont « enduré des souffrances » pour combattre l’impunité dans leur pays. A la tribune de l’Unesco, il avait exhorté les Ivoiriens et le monde entier à faire pareil. Il faut « cultiver la paix, chaque jour davantage », avait-il souhaité, estimant que l’on ne devrait pas se lasser de rechercher la paix. La visite de travail sur les bords de la Seine a aussi permis à Alassane Ouattara de « rencontrer de nombreuses personnalités ». Ils ont discuté des questions relatives à la reconstruction et à la relance économique post-crise de la Côte d’Ivoire, précisera le président de la République. Qui, en terminant son intervention, s’est félicité d’une sortie « merveilleuse ».
C’est à 12 h 40 que l’avion présidentiel s’est posé sur le tarmac de l’aéroport international d’Abidjan. Alassane Ouattara, accompagné de son épouse, Dominique Ouattara, a été accueilli par le Premier ministre, Guillaume Soro, des membres du gouvernement, ceux du cabinet présidentiel, des présidents d’institutions nationales et des diplomates accrédités en Côte d’Ivoire. Les Forces républicaines de Côte d’Ivoire (Frci) représentées au plus haut niveau par leur chef d’état-major général, Soumaïla Bakayoko, des chefs de commandements de la gendarmerie, de la police et de l’armée de l’air ont rendu des honneurs dus au chef suprême des Armées ivoiriennes.
Bidi Ignace
De retour de Paris où il a pris part à la 21è édition de la cérémonie de remise du Prix Félix Houhopuet-Boigny pour la recherche de la paix, le président de la République, Alassane Ouattara, a tiré les enseignements de cette visite de travail de vingt-quatre heures, en France. En effet, il a donné un bref point-presse dans l’enceinte du pavillon d’honneur de l’aéroport international d’Abidjan, Port-Bouët. A l’occasion, le numéro Un ivoirien s’est félicité d’avoir « rendu hommage au Père-fondateur de notre pays ». Alassane Ouattara et son ‘’frère aîné houphouétiste‘’, Henri Konan Bédié, Protecteur du Prix, ont, selon lui, fortement apprécié le grand engouement autour de cet évènement annuel. Ces retrouvailles ont vu la présence d’un parterre de personnalités dont des chefs d’Etat africains, Abdoulaye Wade (Sénégal), Blaise Compaoré (Burkina Faso) et Mohamed Ould Abdel Aziz (Mauritanie). Le chef de l’Etat a également salué le mérite du lauréat, l’association les ‘’Grands-mères de la Place de mai‘’. Parce que ses membres, des Argentines, ont « enduré des souffrances » pour combattre l’impunité dans leur pays. A la tribune de l’Unesco, il avait exhorté les Ivoiriens et le monde entier à faire pareil. Il faut « cultiver la paix, chaque jour davantage », avait-il souhaité, estimant que l’on ne devrait pas se lasser de rechercher la paix. La visite de travail sur les bords de la Seine a aussi permis à Alassane Ouattara de « rencontrer de nombreuses personnalités ». Ils ont discuté des questions relatives à la reconstruction et à la relance économique post-crise de la Côte d’Ivoire, précisera le président de la République. Qui, en terminant son intervention, s’est félicité d’une sortie « merveilleuse ».
C’est à 12 h 40 que l’avion présidentiel s’est posé sur le tarmac de l’aéroport international d’Abidjan. Alassane Ouattara, accompagné de son épouse, Dominique Ouattara, a été accueilli par le Premier ministre, Guillaume Soro, des membres du gouvernement, ceux du cabinet présidentiel, des présidents d’institutions nationales et des diplomates accrédités en Côte d’Ivoire. Les Forces républicaines de Côte d’Ivoire (Frci) représentées au plus haut niveau par leur chef d’état-major général, Soumaïla Bakayoko, des chefs de commandements de la gendarmerie, de la police et de l’armée de l’air ont rendu des honneurs dus au chef suprême des Armées ivoiriennes.
Bidi Ignace