Recruté en février 2011 pour travailler rudement et améliorer le niveau des sélections jeunes et celui du football local, le DTN Jean-Marc Nobilo a récemment été entendu par Augustin Diallo. Sera-t-il maintenu ?
Mardi, le directeur technique national (DTN), Jean-Marc Nobilo, était visible à la Fédération ivoirienne de football. Préoccupé, il attendait d’être reçu par le nouveau patron du football ivoirien, Augustin Sidy Diallo. Son avenir immédiat semblait en jeu. Et pour ne rien vous cacher, le natif de Cahors (France) n’affichait pas une sérénité déconcertante. Une chose est sûre, le Français pourrait repartir d’où il est venu plus vite que prévu. Et les signes pour nous convaincre (et vous convaincre) sont nombreux. Pour rappel, c’est le 17 février 2011 que l’ex-sélectionneur du Bénin a dit oui à Jacques Anouma. Après une période d’audit confiée à Me Roger Ouégnin, président de l’Asec Mimosas, la FIF avait convenu de donner une nouvelle orientation au football de base de la Côte d’Ivoire. Et Yéo Paul Martial qui avait en charge la DTN depuis 2005, cédait, impuissant, sa place au Français pour un contrat de deux ans renouvelables. Son rôle consistait à développer l’ensemble des structures du football en Côte d’Ivoire avec des améliorations sur la masse, l’élite, la formation des entraîneurs pour une meilleure organisation et de meilleurs résultats au niveau des clubs de Ligue 1 et Ligue 2, des sélections nationales de jeunes, des seniors locales. Tout un programme… Mais celui qui a formé Pascal Chimbonda, Jean-Alain Boumsong et autres Souleymane Diawara n’a guère eu le temps de le mettre en application. La grave crise post-électorale que la Côte d’Ivoire a traversée entre novembre et avril 2011 ayant contraint les uns et les autres à mettre entre parenthèses le sport en général et le football en particulier. Mais l’autre raison qui laisse croire que Jean-Marc Nobilo ne sera pas maintenu est qu’il est arrivé grâce à un certain Me Roger Ouégnin…
Guy-Florentin Yaméogo
Mardi, le directeur technique national (DTN), Jean-Marc Nobilo, était visible à la Fédération ivoirienne de football. Préoccupé, il attendait d’être reçu par le nouveau patron du football ivoirien, Augustin Sidy Diallo. Son avenir immédiat semblait en jeu. Et pour ne rien vous cacher, le natif de Cahors (France) n’affichait pas une sérénité déconcertante. Une chose est sûre, le Français pourrait repartir d’où il est venu plus vite que prévu. Et les signes pour nous convaincre (et vous convaincre) sont nombreux. Pour rappel, c’est le 17 février 2011 que l’ex-sélectionneur du Bénin a dit oui à Jacques Anouma. Après une période d’audit confiée à Me Roger Ouégnin, président de l’Asec Mimosas, la FIF avait convenu de donner une nouvelle orientation au football de base de la Côte d’Ivoire. Et Yéo Paul Martial qui avait en charge la DTN depuis 2005, cédait, impuissant, sa place au Français pour un contrat de deux ans renouvelables. Son rôle consistait à développer l’ensemble des structures du football en Côte d’Ivoire avec des améliorations sur la masse, l’élite, la formation des entraîneurs pour une meilleure organisation et de meilleurs résultats au niveau des clubs de Ligue 1 et Ligue 2, des sélections nationales de jeunes, des seniors locales. Tout un programme… Mais celui qui a formé Pascal Chimbonda, Jean-Alain Boumsong et autres Souleymane Diawara n’a guère eu le temps de le mettre en application. La grave crise post-électorale que la Côte d’Ivoire a traversée entre novembre et avril 2011 ayant contraint les uns et les autres à mettre entre parenthèses le sport en général et le football en particulier. Mais l’autre raison qui laisse croire que Jean-Marc Nobilo ne sera pas maintenu est qu’il est arrivé grâce à un certain Me Roger Ouégnin…
Guy-Florentin Yaméogo