Abidjan – Le ministre de la Communication, Diakité Souleïmane Coty a reçu jeudi à son cabinet une délégation du Comité de suivi des recommandations d’Accra (CSRA), venue lui présenter cette plateforme d’échanges entre des professionnels du secteur des médias.
Le président du Comité, Eugène Dié Kacou a présenté l’organisation composée de représentants de d’organes de régulations et d’autorégulation de la presse (CNP, OLPED, RIAAM), du GEPCI, de l’UNJCI, de l’URPCI, de la RTI, des quotidiens ‘Le Patriote’, ‘Notre Voie et du groupe Olympe, ainsi que de la Fondation pour les médias en Afrique de l’Ouest (MFWA), une ONG sous régionale basée à Accra (Ghana) qui a mis sur pied, en janvier, en collaboration avec l’organisation danoise d’appui aux médias, International Media Support (IMS).
M. Dié Kacou a noté que dès le début de la crise post électorale en Côte d’Ivoire, fin novembre 2010, MFWA a pris l’initiative de réunir des responsables du secteur de la presse en Côte d’Ivoire, pour partager avec eux ses préoccupations relatives au sort de l’exercice de la liberté de la presse dans notre pays.
La rencontre, tenue les 7 et 8 janvier à Accra, a abouti à la création du CSRA dont les membres se sont engagés à réfléchir sur le rôle des médias ivoiriens dans le processus de sortie de crise post électorale. Eugène Dié Kacou a souligné que suite à la crise post électorale, le Comité de suivi s’est retrouvé une seconde fois à Accra, le 13 juin, pour examiner les défis des médias ivoiriens, en période post conflit.
Le diagnostic posé concerne les difficultés des médias ivoiriens qui requièrent, avant tout, la réaffirmation d’un engagement fort du Gouvernement à promouvoir et protéger l’exercice de la liberté de la presse en Côte d’Ivoire. « Il s’agit également de l’impérieuse nécessité d’améliorer les standards professionnels des médias en Côte d’Ivoire, notamment dans l’exercice de leur rôle dans la couverture des élections », a-t-il dit.
Le CSRA a noté, au terme, du diagnostic, que relever les défis des médias ivoiriens exige un appui sans cesse croissant à la viabilité des entreprises du secteur des médias en vue de leur développement durable. Ce qui passe par la nécessité d’un minimum de révision du cadre juridique pour promouvoir davantage l’exercice responsable de la liberté de la presse et celui de la liberté d’expression, en vue de la professionnalisation des médias d’Etat et le renforcement des pouvoirs des instances de régulation du secteur des médias.
Le président du CSRA a expliqué au ministre que la visite a pour objectif d’encourager le Gouvernement à promouvoir et protéger davantage la liberté de la presse et la liberté d’expression en Côte d’Ivoire. Le Comité a sollicité l’aide de Diakité Souleïmane Coty, pour obtenir une audience avec le Premier ministre Guillaume Soro et le Président Alassane Ouattara.
En réponse, le ministre de la Communication qui a promis son plein appui aux projets du CSRA, a noté que le Comité « enfonce une porte ouverte » d’autant plus qu’il est partant, a-t-il dit, pour tout ce qui concerne la liberté de presse et d’expression. Il a promis que le Gouvernement va jouer sa partition pour l’organisation et la professionnalisation du secteur, mais que la balle est dans le camp des journalistes, pour assumer leurs responsabilités et améliorer leur image.
Le président du Comité, Eugène Dié Kacou a présenté l’organisation composée de représentants de d’organes de régulations et d’autorégulation de la presse (CNP, OLPED, RIAAM), du GEPCI, de l’UNJCI, de l’URPCI, de la RTI, des quotidiens ‘Le Patriote’, ‘Notre Voie et du groupe Olympe, ainsi que de la Fondation pour les médias en Afrique de l’Ouest (MFWA), une ONG sous régionale basée à Accra (Ghana) qui a mis sur pied, en janvier, en collaboration avec l’organisation danoise d’appui aux médias, International Media Support (IMS).
M. Dié Kacou a noté que dès le début de la crise post électorale en Côte d’Ivoire, fin novembre 2010, MFWA a pris l’initiative de réunir des responsables du secteur de la presse en Côte d’Ivoire, pour partager avec eux ses préoccupations relatives au sort de l’exercice de la liberté de la presse dans notre pays.
La rencontre, tenue les 7 et 8 janvier à Accra, a abouti à la création du CSRA dont les membres se sont engagés à réfléchir sur le rôle des médias ivoiriens dans le processus de sortie de crise post électorale. Eugène Dié Kacou a souligné que suite à la crise post électorale, le Comité de suivi s’est retrouvé une seconde fois à Accra, le 13 juin, pour examiner les défis des médias ivoiriens, en période post conflit.
Le diagnostic posé concerne les difficultés des médias ivoiriens qui requièrent, avant tout, la réaffirmation d’un engagement fort du Gouvernement à promouvoir et protéger l’exercice de la liberté de la presse en Côte d’Ivoire. « Il s’agit également de l’impérieuse nécessité d’améliorer les standards professionnels des médias en Côte d’Ivoire, notamment dans l’exercice de leur rôle dans la couverture des élections », a-t-il dit.
Le CSRA a noté, au terme, du diagnostic, que relever les défis des médias ivoiriens exige un appui sans cesse croissant à la viabilité des entreprises du secteur des médias en vue de leur développement durable. Ce qui passe par la nécessité d’un minimum de révision du cadre juridique pour promouvoir davantage l’exercice responsable de la liberté de la presse et celui de la liberté d’expression, en vue de la professionnalisation des médias d’Etat et le renforcement des pouvoirs des instances de régulation du secteur des médias.
Le président du CSRA a expliqué au ministre que la visite a pour objectif d’encourager le Gouvernement à promouvoir et protéger davantage la liberté de la presse et la liberté d’expression en Côte d’Ivoire. Le Comité a sollicité l’aide de Diakité Souleïmane Coty, pour obtenir une audience avec le Premier ministre Guillaume Soro et le Président Alassane Ouattara.
En réponse, le ministre de la Communication qui a promis son plein appui aux projets du CSRA, a noté que le Comité « enfonce une porte ouverte » d’autant plus qu’il est partant, a-t-il dit, pour tout ce qui concerne la liberté de presse et d’expression. Il a promis que le Gouvernement va jouer sa partition pour l’organisation et la professionnalisation du secteur, mais que la balle est dans le camp des journalistes, pour assumer leurs responsabilités et améliorer leur image.