L’Etat de Côte d’Ivoire s’est engagé, hier, auprès de la presse à travers son fonds de soutien. Le ministre de la Communication, Souleymane Coty Diakité, a dit la disposition des autorités à faire rayonner ce secteur stratégique.
Doter la Côte d’Ivoire de médias professionnels, crédibles et performants. C’est ce à quoi s’est engagé, hier, le ministre de la Communication, Souleymane Coty Diakité qui a reçu le rapport annuel des activités du Fonds de soutien et de développement de la presse (Fsdp), à son cabinet au Plateau. « Nous ne pouvons pas nous contenter d’une presse qui cultive le misérabilisme », a-t-il souligné en se basant sur les ambitions que nourrissent le président de la République, Alassane Ouattara et son gouvernement pour ce secteur. A ce sujet, le rapport qui lui a été remis est fort édifiant, quant au travail déjà réalisé. Quatre études sur six pour un coût total de 132.445.000 Fcfa, ont été lancées (coût des impressions et distribution des journaux ; situation de la ressource humaine ; impact des exonérations fiscales et élargissement du Fsdp). 46.896.094 Fcfa ont permis le financement de deux projets collectifs de formation. Une sur ‘’la responsabilité des dirigeants d’entreprises de presse en période électorale’’ et l’autre sur ‘‘le rôle des correspondants de presse en période électorale’’. Au sujet des appuis aux médias privés et organisations professionnelles du secteur, 300 millions de Fcfa sur 800, ont permis de soutenir 45 entreprises soit 34% de financement de projet. Un point d’honneur a été mis, durant l’exercice de la direction exécutive 2010, sur la garantie des emprunts des entreprises. « Une convention vient d’être signée avec la Banque régionale de solidarité (Brs) qui permet aux entreprises de presse d’accéder aux prêts bancaires jusqu’à environ 50 millions de francs CFA », a relevé Mme N’Guessan. En somme, sur un budget de 2.016.676.000 F.cfa, que devait octroyer l’Etat au Fonds, seulement 1.183.469.721 F. ont été virés par le trésor public (soit 58%). Il reste encore 833.206.279 F à recouvrer. Au nom du Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (Gepci), François N’Guilissi a souhaité que l’Etat permette au fonds de subventionner l’impression des journaux sur une période de quatre mois.
Sanou A.
Doter la Côte d’Ivoire de médias professionnels, crédibles et performants. C’est ce à quoi s’est engagé, hier, le ministre de la Communication, Souleymane Coty Diakité qui a reçu le rapport annuel des activités du Fonds de soutien et de développement de la presse (Fsdp), à son cabinet au Plateau. « Nous ne pouvons pas nous contenter d’une presse qui cultive le misérabilisme », a-t-il souligné en se basant sur les ambitions que nourrissent le président de la République, Alassane Ouattara et son gouvernement pour ce secteur. A ce sujet, le rapport qui lui a été remis est fort édifiant, quant au travail déjà réalisé. Quatre études sur six pour un coût total de 132.445.000 Fcfa, ont été lancées (coût des impressions et distribution des journaux ; situation de la ressource humaine ; impact des exonérations fiscales et élargissement du Fsdp). 46.896.094 Fcfa ont permis le financement de deux projets collectifs de formation. Une sur ‘’la responsabilité des dirigeants d’entreprises de presse en période électorale’’ et l’autre sur ‘‘le rôle des correspondants de presse en période électorale’’. Au sujet des appuis aux médias privés et organisations professionnelles du secteur, 300 millions de Fcfa sur 800, ont permis de soutenir 45 entreprises soit 34% de financement de projet. Un point d’honneur a été mis, durant l’exercice de la direction exécutive 2010, sur la garantie des emprunts des entreprises. « Une convention vient d’être signée avec la Banque régionale de solidarité (Brs) qui permet aux entreprises de presse d’accéder aux prêts bancaires jusqu’à environ 50 millions de francs CFA », a relevé Mme N’Guessan. En somme, sur un budget de 2.016.676.000 F.cfa, que devait octroyer l’Etat au Fonds, seulement 1.183.469.721 F. ont été virés par le trésor public (soit 58%). Il reste encore 833.206.279 F à recouvrer. Au nom du Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (Gepci), François N’Guilissi a souhaité que l’Etat permette au fonds de subventionner l’impression des journaux sur une période de quatre mois.
Sanou A.