Le Don de gouvernance et de développement institutionnel (Dgdi) veut dans le cadre de la promotion de la bonne gouvernance économique, mettre à la disposition des hommes de médias, des informations fiables et viables dans les secteurs clés de l’économie et des finances, les mines et l’énergie ainsi que du pétrole. Ce, en vue d’informer les populations sur ces ressources et de la clé de répartition que font les gouvernants dans le cadre du développement du pays. Pour ce faire, il a institué en accord avec le réseau des communicants et des journalistes économiques du Dgdi un cadre d’échanges dit : «En toute transparence».
Récemment à l’école des douanes d’Abidjan, M. Sogono Bi Gama, Vice-président de l’Observatoire pour la célérité des opérations de dédouanement (Ocod) par ailleurs, Chargé des douanes et des transports à la Confédération des grandes entreprises de Côte d’Ivoire (Cgeci), a animé une conférence de presse sur «Fluidité des opérations de dédouanement et bonne gouvernance». Institué par décision n° 45/Mef/Dgd du 22 octobre 2004, l’Ocod a pour principales missions d’une part, de veiller à la célérité des opérations de dédouanement en vue de constituer à la fluidité du trafic, et d’autre part, à surveiller le respect des engagements pris par les douanes et le secteur privé dans le cadre de la détermination du taux forfaitaire, tout en dénonçant les cas de blocages administratifs liés au dédouanement et à la circulation des marchandises. Malheureusement, cet outil qui devrait profiter à une meilleure compétitivité sur les marchés locaux et internationaux, en raison d’une réduction des délais et des coûts grâce à une circulation prévisible et rentable des marchandises, reste méconnu du grand public et de ses utilisateurs, qui sont les opérateurs économiques. La preuve, à en croire le conférencier, de 2010 à 2011, ce sont au total 31 saisines qui ont été enregistrées par l’observatoire. Profitant donc de cette tribune, le Colonel-major, Issa Coulibaly, Directeur général des douanes ivoiriennes a appelé les utilisateurs, notamment, les opérateurs économiques à se familiariser à cet outil qui est le leur. Car, le but de sa vision, c’est de mettre fin à la corruption, le racket, le harcèlement, les intimidations, les fraudes. Qui, malheureusement, sont autant de maux, de comportements déviants et déviés constatés tant chez certains agents des douanes que chez des opérateurs économiques corrompus. Pour sa part, Mme Madeleine Yao, Coordinatrice du Dgdi a fait savoir à l’administration des douanes que la gouvernance et la transparence doivent être les maîtres mots dans sa gestion. «La célérité dans vos opérations doit vous permettre d’améliorer les performances, en réduisant les délais et permettre aux opérateurs de fréquenter les douanes afin d’accroître ses recettes», a-t-elle dit.
Joseph Atoumgbré (attjoseph@yahoo.fr)
Récemment à l’école des douanes d’Abidjan, M. Sogono Bi Gama, Vice-président de l’Observatoire pour la célérité des opérations de dédouanement (Ocod) par ailleurs, Chargé des douanes et des transports à la Confédération des grandes entreprises de Côte d’Ivoire (Cgeci), a animé une conférence de presse sur «Fluidité des opérations de dédouanement et bonne gouvernance». Institué par décision n° 45/Mef/Dgd du 22 octobre 2004, l’Ocod a pour principales missions d’une part, de veiller à la célérité des opérations de dédouanement en vue de constituer à la fluidité du trafic, et d’autre part, à surveiller le respect des engagements pris par les douanes et le secteur privé dans le cadre de la détermination du taux forfaitaire, tout en dénonçant les cas de blocages administratifs liés au dédouanement et à la circulation des marchandises. Malheureusement, cet outil qui devrait profiter à une meilleure compétitivité sur les marchés locaux et internationaux, en raison d’une réduction des délais et des coûts grâce à une circulation prévisible et rentable des marchandises, reste méconnu du grand public et de ses utilisateurs, qui sont les opérateurs économiques. La preuve, à en croire le conférencier, de 2010 à 2011, ce sont au total 31 saisines qui ont été enregistrées par l’observatoire. Profitant donc de cette tribune, le Colonel-major, Issa Coulibaly, Directeur général des douanes ivoiriennes a appelé les utilisateurs, notamment, les opérateurs économiques à se familiariser à cet outil qui est le leur. Car, le but de sa vision, c’est de mettre fin à la corruption, le racket, le harcèlement, les intimidations, les fraudes. Qui, malheureusement, sont autant de maux, de comportements déviants et déviés constatés tant chez certains agents des douanes que chez des opérateurs économiques corrompus. Pour sa part, Mme Madeleine Yao, Coordinatrice du Dgdi a fait savoir à l’administration des douanes que la gouvernance et la transparence doivent être les maîtres mots dans sa gestion. «La célérité dans vos opérations doit vous permettre d’améliorer les performances, en réduisant les délais et permettre aux opérateurs de fréquenter les douanes afin d’accroître ses recettes», a-t-elle dit.
Joseph Atoumgbré (attjoseph@yahoo.fr)