A l’appel de cinq formations politiques de l’opposition représentées en Côte d’Ivoire, les Guinéens se sont donné rendez-vous le mardi 27 septembre 2011, au stade Jean Delafosse d’Adjamé. Le collectif des partis politiques pour la finalisation de la transition, c’est la
dénomination de la plateforme de l’opposition qui entend marquer le holà contre ce qu’elle appelle ‘’les initiatives du pouvoir Condé à l’encontre d’une réconciliation nationale’’. Pour le collectif qui regroupe entre autres l’Ufdg de Cellou Dalein Diallo et l’Ufr de Sidya Touré, alors que les Guinéens aspiraient à des lendemains meilleurs avec l’avènement du professeur Alpha Condé au pouvoir, ce sont plutôt les pratiques rétrogrades de l’exercice du pouvoir qui se perpétuent en Guinée, menaçant du coup l’équilibre sociopolitique.
Ces pratiques ont pour noms, selon les organisateurs de la cérémonie, la caporalisation et l’instrumentalisation de l’administration publique ; la violation flagrante du principe de séparation des pouvoirs; la violation répétée de la constitution et des lois de la République par le non respect du délai constitutionnel pour l’organisation des législatives et le limogeage d’élus locaux ; l’immixtion du gouvernement dans le fonctionnement et les activités de la commission électorale ; la gestion solitaire du processus électoral qui se traduit par la mise à l’écart de la Sagem et son remplacement par une société sudafricaine et une société satellite du Rpg d’Alpha Condé dénommée Sabary Technologie. Face à ces agissements, la section ivoirienne des partis politiques regroupés dans le collectif cité plus haut a apporté son soutien en organisant le meeting d’Adjamé. De fait, c’est un sit-in qui était prévu devant l’ambassade de Guinée au Plateau. Mais le collectif conduit par Dr Diallo Ibrahim a préféré un meeting à Adjamé avant d’aller remettre un mémorandum à l’ambassadeur, où il a eu des difficultés avec la police ivoirienne postée à l’entrée de l’ambassade. Outre l’Ufdg et l’Ufr, ont pris part à la remise du mémorandum les représentants des Nouvelles Forces Démocratiques (Nfd) de Mouctar Diallo, Nouvelle génération pour la République (Ngr) de Abé Sylla et Génération Citoyenne (Geci) de Fodé Mohamed Soumah.
dénomination de la plateforme de l’opposition qui entend marquer le holà contre ce qu’elle appelle ‘’les initiatives du pouvoir Condé à l’encontre d’une réconciliation nationale’’. Pour le collectif qui regroupe entre autres l’Ufdg de Cellou Dalein Diallo et l’Ufr de Sidya Touré, alors que les Guinéens aspiraient à des lendemains meilleurs avec l’avènement du professeur Alpha Condé au pouvoir, ce sont plutôt les pratiques rétrogrades de l’exercice du pouvoir qui se perpétuent en Guinée, menaçant du coup l’équilibre sociopolitique.
Ces pratiques ont pour noms, selon les organisateurs de la cérémonie, la caporalisation et l’instrumentalisation de l’administration publique ; la violation flagrante du principe de séparation des pouvoirs; la violation répétée de la constitution et des lois de la République par le non respect du délai constitutionnel pour l’organisation des législatives et le limogeage d’élus locaux ; l’immixtion du gouvernement dans le fonctionnement et les activités de la commission électorale ; la gestion solitaire du processus électoral qui se traduit par la mise à l’écart de la Sagem et son remplacement par une société sudafricaine et une société satellite du Rpg d’Alpha Condé dénommée Sabary Technologie. Face à ces agissements, la section ivoirienne des partis politiques regroupés dans le collectif cité plus haut a apporté son soutien en organisant le meeting d’Adjamé. De fait, c’est un sit-in qui était prévu devant l’ambassade de Guinée au Plateau. Mais le collectif conduit par Dr Diallo Ibrahim a préféré un meeting à Adjamé avant d’aller remettre un mémorandum à l’ambassadeur, où il a eu des difficultés avec la police ivoirienne postée à l’entrée de l’ambassade. Outre l’Ufdg et l’Ufr, ont pris part à la remise du mémorandum les représentants des Nouvelles Forces Démocratiques (Nfd) de Mouctar Diallo, Nouvelle génération pour la République (Ngr) de Abé Sylla et Génération Citoyenne (Geci) de Fodé Mohamed Soumah.
