Média. Levée du corps de Losséni Zoromé
Décédé le vendredi 23 septembre 2011 à la Polyclinique Avicennes de Marcory, la dépouille de Losséni Zoromé, conseiller spécial du président directeur général du groupe Olympe, société éditrice des journaux L'inter, Soir Info et Star Magazine, a été transférée à Bocanda. Avant ce transfert, hier jeudi 29 septembre, l'on a assisté à Ivosep de Treichville à la levée du corps de l'illustre disparu en présence de nombreuses personnalités dont le ministre de l'Intégration africaine, M. Salif Bictogo, les maires, François Amichia (Treichville) et Raymond N'Dohi (Koumassi). Le représentant du facilitateur dans la crise ivoirienne, M. Badini a fait également le déplacement. A ses côtés l'ambassadeur du Burkina Faso en Côte d'Ivoire, M. Emile Ilboudo. Les ministres de la Communication et de l'Éducation nationale se sont fait représenter. Après la lecture du coran par l'Iman Konaté Mamoud de la grande mosquée des 220 logements d'Adjamé, Armand Behe Depeyla et M. Ouattara Daouda, respectivement au nom du groupe Olympe et de la famille, ont salué la mémoire du disparu. La douleur et l'émotion étaient à leur comble, lorsqu'aux environs de 10h, le corbillard transportant la dépouille s'est ébranlée vers Bocanda pour un voyage sans retour. Personne ne pouvait retenir ses larmes devant ce triste tableau. Même le PDG du groupe Olympe, M. Nady Rayess avec son épouse à ses côtés, regardant partir impuissant pour un voyage sans retour, ce collaborateur qui l'aura côtoyé depuis la naissance de son groupe en 1994. Dure dure cette première étape de la séparation, surtout pour l'épouse du défunt, Astou Zoromé, et les deux enfants ne pouvant retenir leurs larmes. Ce n'était pas un rêve, Losséni Zoromé, celui que beaucoup appellent affectueusement le ''Massa'', est reparti inerte dans son village qui l'a vu naitre le 12 mars 1954. L'homme laisse derrière lui une famille de la presse très éplorée, comme le révèleront l'ancien ministre de la Communication Auguste Séverin Miremont et l'un de ses successeurs à ce même portefeuille au gouvernement, Levy Niamkey. Aujourd'hui a lieu l'ultime adieu à Bocanda après la prière de 13h pour ce fidèle musulman, qui part un vendredi comme le jour de son décès, il y a une semaine.
Thibault R. GBEI
Décédé le vendredi 23 septembre 2011 à la Polyclinique Avicennes de Marcory, la dépouille de Losséni Zoromé, conseiller spécial du président directeur général du groupe Olympe, société éditrice des journaux L'inter, Soir Info et Star Magazine, a été transférée à Bocanda. Avant ce transfert, hier jeudi 29 septembre, l'on a assisté à Ivosep de Treichville à la levée du corps de l'illustre disparu en présence de nombreuses personnalités dont le ministre de l'Intégration africaine, M. Salif Bictogo, les maires, François Amichia (Treichville) et Raymond N'Dohi (Koumassi). Le représentant du facilitateur dans la crise ivoirienne, M. Badini a fait également le déplacement. A ses côtés l'ambassadeur du Burkina Faso en Côte d'Ivoire, M. Emile Ilboudo. Les ministres de la Communication et de l'Éducation nationale se sont fait représenter. Après la lecture du coran par l'Iman Konaté Mamoud de la grande mosquée des 220 logements d'Adjamé, Armand Behe Depeyla et M. Ouattara Daouda, respectivement au nom du groupe Olympe et de la famille, ont salué la mémoire du disparu. La douleur et l'émotion étaient à leur comble, lorsqu'aux environs de 10h, le corbillard transportant la dépouille s'est ébranlée vers Bocanda pour un voyage sans retour. Personne ne pouvait retenir ses larmes devant ce triste tableau. Même le PDG du groupe Olympe, M. Nady Rayess avec son épouse à ses côtés, regardant partir impuissant pour un voyage sans retour, ce collaborateur qui l'aura côtoyé depuis la naissance de son groupe en 1994. Dure dure cette première étape de la séparation, surtout pour l'épouse du défunt, Astou Zoromé, et les deux enfants ne pouvant retenir leurs larmes. Ce n'était pas un rêve, Losséni Zoromé, celui que beaucoup appellent affectueusement le ''Massa'', est reparti inerte dans son village qui l'a vu naitre le 12 mars 1954. L'homme laisse derrière lui une famille de la presse très éplorée, comme le révèleront l'ancien ministre de la Communication Auguste Séverin Miremont et l'un de ses successeurs à ce même portefeuille au gouvernement, Levy Niamkey. Aujourd'hui a lieu l'ultime adieu à Bocanda après la prière de 13h pour ce fidèle musulman, qui part un vendredi comme le jour de son décès, il y a une semaine.
Thibault R. GBEI