La fusée de la Commission Dialogue, Vérité et réconciliation (Cdvr), pilotée par l’ancien
Premier ministre Charles Konan Banny est lancée, sans réacteurs puissants. On est
content. On pavoise. Mais nous autres, non euphoriques pour des artifices, persistons et
signons. Personne n’est contre une réconciliation véritable en Côte d’Ivoire. Personne ne
souhaite ou devrait souhaiter l’échec du «confesseur» Banny. Mais la question qui
demeure centrale pour nous, est la suivante : Où va Charles Konan Banny, dans cette
mission de quête durable de la paix en Côte d’Ivoire, ancienne colonie encore sous le
joug, sans l’implication solennelle de la France et du Burkina Faso voisin ? Où pense-t-il
aller et comment entend-il réussir sa mission, si les Ivoiriens n’ont pas l’engagement
formel de la France colonisatrice et de son relais sous-régional, le Burkina Faso, de les
laisser en paix pour jouir comme eux, des ressources de leur terre ? C’est de cela qu’il
s’agit. Et toute la problématique est là, et non ailleurs. Il ne s’agit pas d’un souhait de
quelques oiseaux de mauvais augure, ni d’une affaire de supplique de Ouattara, chaudes
larmes à l’appui, en direction des médias. Il ne s’agit pas de regarder quelqu’un droit dans
les yeux ou d’autre chose. Une fusée qui part, sans réacteurs puissants, est comme un
objet libre. Or, tout objet libre, est sous la loi de la gravitation. La gravitation est une
cause invisible, non observable, qui a des effets visibles, donc observables (la chute de
l’objet libre). Si l’on constate, malgré la volonté des Ivoiriens d’aller à la paix et celle du
pilote Banny de conduire la fusée, que ce vaisseau spatial est constamment tiré vers le bas,
c’est à cause de cette force invisible aux effets bien visibles. Les effets visibles, ce sont nos
difficultés à retrouver malgré tout la paix. La cause invisible, c’est pourquoi au juste, cet
échec ? De quoi est faite cette gravitation, cette pesanteur ? Qui est derrière tout cela ?
Parce que le comportement d’un objet libre, comme la fusée Cdvr (sans réacteurs
puissants), comme la volonté ivoirienne de retrouver cette paix si chère, ne peut être un
fait aléatoire. Il ne peut être, de notre conviction, qu’une déviation persistante et
significative du hasard. Et l’auteur d’une telle opération observable (paralysie des
réacteurs), mais qui, pour ceux qui ne veulent pas voir ou ne sont pas informés, reste
inaccessible à l’observation et à la sensibilité humaines, est la France. La France de tous
les temps. Autant nous savons que la force nucléaire forte ou les électrons existent, mais
que nous ne pouvons les observer comme nous observons leurs effets, parce que ces
forces (force nucléaire forte ou les électrons) sont une réalité invisible (énergie pure),
autant la France, pour les «non-voyants» ou les «bébés», est l’énergie pure qui nous tire
par le bas. Il faut que, par leur prise de conscience, les Ivoiriens amènent la France,
cachée (à cause de son état de réalité invisible) dans cette crise que vit leur pays, à revêtir
ses particules élémentaires (états d’équilibre relatif), qui lui conféreraient, comme un
sorcier qui se dévoile, la réalité visible. Mais tant que ces équilibres seront rompus
(volontairement), nous ne parions rien pour la suite de la mission de la Navette Cdvr
(sans réacteurs puissants), piloté par l’ancien Gouverneur Banny. Nous le disons
également pour le bien de la Côte d’Ivoire, notre patrimoine commun. Nous devons tous
comprendre qu’en politique, dans relations internationales tout comme en science, le
monde visible ne se suffit pas toujours. Tous les comportements observables n’ont pas
une explication qui relève toujours de l’observable. Il y a des effets observables (guerres,
autres conflits…) qui peuvent fort bien avoir des causes non observables, des dessous où
des luttes d’intérêts dominent. Voilà d’où vient le drame de la Côte d’Ivoire. C’est
pourquoi nous insistons : Où va Banny sans la France et le Burkina Faso ? Où ?
Germain Séhoué (gs05895444@yahoo.fr)
Premier ministre Charles Konan Banny est lancée, sans réacteurs puissants. On est
content. On pavoise. Mais nous autres, non euphoriques pour des artifices, persistons et
signons. Personne n’est contre une réconciliation véritable en Côte d’Ivoire. Personne ne
souhaite ou devrait souhaiter l’échec du «confesseur» Banny. Mais la question qui
demeure centrale pour nous, est la suivante : Où va Charles Konan Banny, dans cette
mission de quête durable de la paix en Côte d’Ivoire, ancienne colonie encore sous le
joug, sans l’implication solennelle de la France et du Burkina Faso voisin ? Où pense-t-il
aller et comment entend-il réussir sa mission, si les Ivoiriens n’ont pas l’engagement
formel de la France colonisatrice et de son relais sous-régional, le Burkina Faso, de les
laisser en paix pour jouir comme eux, des ressources de leur terre ? C’est de cela qu’il
s’agit. Et toute la problématique est là, et non ailleurs. Il ne s’agit pas d’un souhait de
quelques oiseaux de mauvais augure, ni d’une affaire de supplique de Ouattara, chaudes
larmes à l’appui, en direction des médias. Il ne s’agit pas de regarder quelqu’un droit dans
les yeux ou d’autre chose. Une fusée qui part, sans réacteurs puissants, est comme un
objet libre. Or, tout objet libre, est sous la loi de la gravitation. La gravitation est une
cause invisible, non observable, qui a des effets visibles, donc observables (la chute de
l’objet libre). Si l’on constate, malgré la volonté des Ivoiriens d’aller à la paix et celle du
pilote Banny de conduire la fusée, que ce vaisseau spatial est constamment tiré vers le bas,
c’est à cause de cette force invisible aux effets bien visibles. Les effets visibles, ce sont nos
difficultés à retrouver malgré tout la paix. La cause invisible, c’est pourquoi au juste, cet
échec ? De quoi est faite cette gravitation, cette pesanteur ? Qui est derrière tout cela ?
Parce que le comportement d’un objet libre, comme la fusée Cdvr (sans réacteurs
puissants), comme la volonté ivoirienne de retrouver cette paix si chère, ne peut être un
fait aléatoire. Il ne peut être, de notre conviction, qu’une déviation persistante et
significative du hasard. Et l’auteur d’une telle opération observable (paralysie des
réacteurs), mais qui, pour ceux qui ne veulent pas voir ou ne sont pas informés, reste
inaccessible à l’observation et à la sensibilité humaines, est la France. La France de tous
les temps. Autant nous savons que la force nucléaire forte ou les électrons existent, mais
que nous ne pouvons les observer comme nous observons leurs effets, parce que ces
forces (force nucléaire forte ou les électrons) sont une réalité invisible (énergie pure),
autant la France, pour les «non-voyants» ou les «bébés», est l’énergie pure qui nous tire
par le bas. Il faut que, par leur prise de conscience, les Ivoiriens amènent la France,
cachée (à cause de son état de réalité invisible) dans cette crise que vit leur pays, à revêtir
ses particules élémentaires (états d’équilibre relatif), qui lui conféreraient, comme un
sorcier qui se dévoile, la réalité visible. Mais tant que ces équilibres seront rompus
(volontairement), nous ne parions rien pour la suite de la mission de la Navette Cdvr
(sans réacteurs puissants), piloté par l’ancien Gouverneur Banny. Nous le disons
également pour le bien de la Côte d’Ivoire, notre patrimoine commun. Nous devons tous
comprendre qu’en politique, dans relations internationales tout comme en science, le
monde visible ne se suffit pas toujours. Tous les comportements observables n’ont pas
une explication qui relève toujours de l’observable. Il y a des effets observables (guerres,
autres conflits…) qui peuvent fort bien avoir des causes non observables, des dessous où
des luttes d’intérêts dominent. Voilà d’où vient le drame de la Côte d’Ivoire. C’est
pourquoi nous insistons : Où va Banny sans la France et le Burkina Faso ? Où ?
Germain Séhoué (gs05895444@yahoo.fr)