La cérémonie de remise officielle du rapport d’activités 2010, du Fonds de Soutien et de Développement de la Presse, au Ministre de la Communication, Monsieur Diakité Coty Souleïmane, s’est déroulée à son cabinet, ce vendredi 23 septembre 2011.
A cette occasion, le Directeur Exécutif du fonds, Madame Bernise N’Guessan, a présenté le bilan de l’exercice qui vient de s’écouler.
De cet exposé, nous pouvons retenir que sur six (6) études, d’un coût total de 132.445.000 F CFA, quatre (4) ont été lancées. Elles portent sur le coût des impressions et distribution des journaux, la situation des ressources humaines dans les entreprises de presse et de communication audiovisuelle, l’évaluation de l’impact des exonérations fiscales propres aux entreprises de presse et l’élargissement des ressources du FSDP.
Par ailleurs, pour le financement de deux projets collectifs de formation qui portaient sur la responsabilité des dirigeants d’entreprises de presse et, le rôle des correspondants de presse, en période électorale, la somme de 46.896.094 Fcfa a été engagée.
Pour ce qui concerne les appuis apportés aux médias privés et organisations professionnelles du secteur, il convient de dire que le nombre des bénéficiaires a augmenté. Il faut aussi noter que, 300 millions de F CFA sur 800 millions de besoins exprimés, soit 34% du budget prévu, ont permis de soutenir 45 entreprises et organisations professionnelles confondues.
Outre la quête de partenaires techniques et la recherche de ressources additionnelles, un accent particulier a été mis, durant l’exercice de la Direction Exécutive 2010, sur la garantie des emprunts des entreprises.
Une convention a été signée à cet effet avec la Banque Régionale de Solidarité (BRS).
Cette convention permet aux entreprises de presse d’accéder aux prêts bancaires jusqu’à hauteur de 50 millions de francs CFA.
Enfin, il faut noter que sur la somme de 2.016.676.000 F.cfa, que l’Etat de Côte d’Ivoire devait octroyer au Fonds, seulement celle de 1.183.469.721 F. CFA ont été virés par le Trésor Public (soit 58%). La somme de 833.206.279 F reste à recouvrer.
A la suite du Directeur Exécutif du fonds, les bénéficiaires des actions du FSDP ont pris la parole.
Monsieur N’guilissi, qui représentait Monsieur Denis kah Zion, président du Groupement des Editeurs de Presse de Côte d’Ivoire (GEPCI) empêché, s’est exprimé au nom de l’Union National des Journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), du Syndicat National des Agents de Presse Privées de Côte d’Ivoire (SYNAPPCI) et du GEPCI.
Dans son allocution, il a invité le FSDP à faire mieux qu’hier en passant à une vitesse supérieure dans le cadre des appuis faits en direction des entreprises de presse.
Il a également souhaité que l’état subventionne l’impression des journaux sur une période de quatre, voire douze mois au regard des dommages enregistrés par les entreprises de presse au cours de la dernière crise post-électorale, afin de faciliter leur fonctionnement.
Prenant à son tour la parole, Madame Diomandé Ana Ballo, s’exprimant au nom de la Conférence des Producteurs Audiovisuel de Côte d’Ivoire (CPACI) et de l’Union des Radios de Proximité de Côte d’Ivoire (URPCI), a fait une présentation des deux organisations qu’elle représentait. Elle a par la suite souhaité un allègement fiscal pour le secteur de la communication audiovisuel et l’annulation des frais de douanes sur les équipements audiovisuels.
Quant au Ministre de la Communication, Monsieur Souleymane Coty Diakité, il s’est engagé à doter la Côte d’Ivoire de médias professionnels, crédibles et performants. Le premier responsable de la communication, désireux de convaincre l’auditoire de son engagement, si besoin en était, s’est exprimé en ces termes « Nous ne pouvons pas nous contenter d’une presse qui cultive le misérabilisme », eu égard aux ambitions que nourrissent le président de la République, Alassane Ouattara et son gouvernement pour ce secteur.
Il a enfin clairement signifié que le rapport qui lui a été remis était fort édifiant quant au travail déjà réalisé. Et a encouragé l’équipe de Madame Bernise N’guessan à continuer sur cette lancée.
Source : SECODO FSDP
A cette occasion, le Directeur Exécutif du fonds, Madame Bernise N’Guessan, a présenté le bilan de l’exercice qui vient de s’écouler.
De cet exposé, nous pouvons retenir que sur six (6) études, d’un coût total de 132.445.000 F CFA, quatre (4) ont été lancées. Elles portent sur le coût des impressions et distribution des journaux, la situation des ressources humaines dans les entreprises de presse et de communication audiovisuelle, l’évaluation de l’impact des exonérations fiscales propres aux entreprises de presse et l’élargissement des ressources du FSDP.
Par ailleurs, pour le financement de deux projets collectifs de formation qui portaient sur la responsabilité des dirigeants d’entreprises de presse et, le rôle des correspondants de presse, en période électorale, la somme de 46.896.094 Fcfa a été engagée.
Pour ce qui concerne les appuis apportés aux médias privés et organisations professionnelles du secteur, il convient de dire que le nombre des bénéficiaires a augmenté. Il faut aussi noter que, 300 millions de F CFA sur 800 millions de besoins exprimés, soit 34% du budget prévu, ont permis de soutenir 45 entreprises et organisations professionnelles confondues.
Outre la quête de partenaires techniques et la recherche de ressources additionnelles, un accent particulier a été mis, durant l’exercice de la Direction Exécutive 2010, sur la garantie des emprunts des entreprises.
Une convention a été signée à cet effet avec la Banque Régionale de Solidarité (BRS).
Cette convention permet aux entreprises de presse d’accéder aux prêts bancaires jusqu’à hauteur de 50 millions de francs CFA.
Enfin, il faut noter que sur la somme de 2.016.676.000 F.cfa, que l’Etat de Côte d’Ivoire devait octroyer au Fonds, seulement celle de 1.183.469.721 F. CFA ont été virés par le Trésor Public (soit 58%). La somme de 833.206.279 F reste à recouvrer.
A la suite du Directeur Exécutif du fonds, les bénéficiaires des actions du FSDP ont pris la parole.
Monsieur N’guilissi, qui représentait Monsieur Denis kah Zion, président du Groupement des Editeurs de Presse de Côte d’Ivoire (GEPCI) empêché, s’est exprimé au nom de l’Union National des Journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), du Syndicat National des Agents de Presse Privées de Côte d’Ivoire (SYNAPPCI) et du GEPCI.
Dans son allocution, il a invité le FSDP à faire mieux qu’hier en passant à une vitesse supérieure dans le cadre des appuis faits en direction des entreprises de presse.
Il a également souhaité que l’état subventionne l’impression des journaux sur une période de quatre, voire douze mois au regard des dommages enregistrés par les entreprises de presse au cours de la dernière crise post-électorale, afin de faciliter leur fonctionnement.
Prenant à son tour la parole, Madame Diomandé Ana Ballo, s’exprimant au nom de la Conférence des Producteurs Audiovisuel de Côte d’Ivoire (CPACI) et de l’Union des Radios de Proximité de Côte d’Ivoire (URPCI), a fait une présentation des deux organisations qu’elle représentait. Elle a par la suite souhaité un allègement fiscal pour le secteur de la communication audiovisuel et l’annulation des frais de douanes sur les équipements audiovisuels.
Quant au Ministre de la Communication, Monsieur Souleymane Coty Diakité, il s’est engagé à doter la Côte d’Ivoire de médias professionnels, crédibles et performants. Le premier responsable de la communication, désireux de convaincre l’auditoire de son engagement, si besoin en était, s’est exprimé en ces termes « Nous ne pouvons pas nous contenter d’une presse qui cultive le misérabilisme », eu égard aux ambitions que nourrissent le président de la République, Alassane Ouattara et son gouvernement pour ce secteur.
Il a enfin clairement signifié que le rapport qui lui a été remis était fort édifiant quant au travail déjà réalisé. Et a encouragé l’équipe de Madame Bernise N’guessan à continuer sur cette lancée.
Source : SECODO FSDP