Le marché de la presse écrite enregistre à partir du mercredi 12 octobre 2011, un nouveau titre dénommé «Au Travail». Un hebdomadaire exclusivement réservé au monde du travail, selon son rédacteur en chef adjoint, Estelle Blai.
Après plusieurs reports, le nouveau journal hebdomadaire, dans le secteur de la presse écrite, prendra son envol à partir de demain. «Cette fois-ci, c’est la bonne .Nous tiendrons notre promesse», a rassuré Estelle Blai. Qui a justifié les reports de parution par des problèmes techniques, qu’elle dit avoir réglés. Avant de réitérer sa promesse à être sur le marché le mercredi 12 octobre 2011. «Nous serons sur le marché à partir de demain. Nous n’allons pas faillir cette fois-ci», a dit le rédacteur en Chef adjoint. «Au Travail» comme le nom de l’hebdomadaire l’indique, a-t-elle poursuivi, sera focalisé sur le monde du travail. Rien que le travail. L’information liée à la politique n’y aura pas de place. « Les questions politiques sont d’ailleurs bien traitées par nos confrères sur le marché. Notre particularité, c’est de traiter les questions de travail. Qui parle de travail, parle d’employeurs, mais aussi de l’Etat. Surtout dans le cadre du travail et non de la politique. Nous estimons que le travail occupe une place importante dans le développement d’un pays. Sans travail, il n’y a pas de développement. D’où, la nécessité pour nous d’éduquer les masses en vue de la reconstruction nationale, que nous avons choisie d’accompagner», a-t-elle expliqué la vision de son journal. Qui n’occultera pas les mérites des passionnés du travail. Dans les secteurs formel et informel. Aucun secteur, a dit Estelle Blai, ne sera négligé. «Car, le travail bien fait ne peut qu’apporter le bonheur et les autres en profitent. Parmi ces ‘’bosseurs’’, nous avons déjà une interview avec le directeur général de l’Intelligent d’Abidjan, M. Alafé Wakili, que nous publierons dans nos prochaines parutions. C’est un exemple dans le milieu des entreprises de la presse écrite. Et nous toucherons tous les milieux du travail. Ils peuvent déjà s’approprier notre produit «Au Travail» que nous leur proposons à partir de demain», a-t-elle révélé.
Huberson Digbeu
Après plusieurs reports, le nouveau journal hebdomadaire, dans le secteur de la presse écrite, prendra son envol à partir de demain. «Cette fois-ci, c’est la bonne .Nous tiendrons notre promesse», a rassuré Estelle Blai. Qui a justifié les reports de parution par des problèmes techniques, qu’elle dit avoir réglés. Avant de réitérer sa promesse à être sur le marché le mercredi 12 octobre 2011. «Nous serons sur le marché à partir de demain. Nous n’allons pas faillir cette fois-ci», a dit le rédacteur en Chef adjoint. «Au Travail» comme le nom de l’hebdomadaire l’indique, a-t-elle poursuivi, sera focalisé sur le monde du travail. Rien que le travail. L’information liée à la politique n’y aura pas de place. « Les questions politiques sont d’ailleurs bien traitées par nos confrères sur le marché. Notre particularité, c’est de traiter les questions de travail. Qui parle de travail, parle d’employeurs, mais aussi de l’Etat. Surtout dans le cadre du travail et non de la politique. Nous estimons que le travail occupe une place importante dans le développement d’un pays. Sans travail, il n’y a pas de développement. D’où, la nécessité pour nous d’éduquer les masses en vue de la reconstruction nationale, que nous avons choisie d’accompagner», a-t-elle expliqué la vision de son journal. Qui n’occultera pas les mérites des passionnés du travail. Dans les secteurs formel et informel. Aucun secteur, a dit Estelle Blai, ne sera négligé. «Car, le travail bien fait ne peut qu’apporter le bonheur et les autres en profitent. Parmi ces ‘’bosseurs’’, nous avons déjà une interview avec le directeur général de l’Intelligent d’Abidjan, M. Alafé Wakili, que nous publierons dans nos prochaines parutions. C’est un exemple dans le milieu des entreprises de la presse écrite. Et nous toucherons tous les milieux du travail. Ils peuvent déjà s’approprier notre produit «Au Travail» que nous leur proposons à partir de demain», a-t-elle révélé.
Huberson Digbeu
