Le maire de la commune de Bouaké a été désigné le samedi 8 octobre dernier, meilleur maire des villes de l’intérieur de la Côte d’Ivoire par l’Interafricaine de communication et de sondage (ICS).
Fanny Ibrahima a profité de cette cérémonie qui s’est déroulée au Ran hôtel de Bouaké pour asséner ses vérités à ses détracteurs.
Prix spécial panafricain de l’ICS 2010-2011. Telle est la dénomination de la distinction attribuée à Fanny Ibrahima, en tant que meilleur maire des villes et communes de l’intérieur de la Côte d’Ivoire.
Ce choix, selon le directeur général de l’ICS, Charles Sandé, s’est opéré après plusieurs investigations et sondages. «Vos compétences ont retenu l’avis favorable de 35 membres du jury sur 41’’, a fait savoir Charles Sandé. A l’en croire, ce prix est la reconnaissance et la célébration de tous ceux qui œuvrent pour le développement de leur pays, de leurs populations et partant du développement de la sous- région. Aussi le directeur général de l’ICS a-t-il exhorté le maire à persévérer dans ses efforts de développement de sa commune. Exprimant sa satisfaction, le lauréat en a profité pour lancer des piques à ses détracteurs. «Beaucoup de choses se sont dites sur moncompte. Mais ça m’amuse. Dieu est bon. Ils n’ont qu’à faire pour eux. Nous attendons tous, les jugements derniers », a-t-il averti, sur un ton coléreux. S’exprimant sur l’état de la mairie lors de sa rétrocession par les Forces Nouvelles, Fanny Ibrahima a déclaré avoir hérité d’une ‘’mairie sinistrée et pourrie !’’. «Aujourd’hui, personne ne peut dire que Fanny m’a fait ça. Le mensonge ne prospère pas. Arrêtez de me critiquer parce que je ne vous ai rien fait. Tout ce que nous faisons dans cette mairie est limpide », a-t-il fait savoir à ceux qui l’accusent de prévaricateur. Non sans avoir dévoilé que son équipe et lui cumulent à ce jour 108 mois d`arriérés de salaires. Fanny Ibrahima, a en outre, remercié la communauté internationale dont la présence aux côtés des populations au cours des heures chaudes, a évité la disparition de Bouaké.
Bosco de Paré
Fanny Ibrahima a profité de cette cérémonie qui s’est déroulée au Ran hôtel de Bouaké pour asséner ses vérités à ses détracteurs.
Prix spécial panafricain de l’ICS 2010-2011. Telle est la dénomination de la distinction attribuée à Fanny Ibrahima, en tant que meilleur maire des villes et communes de l’intérieur de la Côte d’Ivoire.
Ce choix, selon le directeur général de l’ICS, Charles Sandé, s’est opéré après plusieurs investigations et sondages. «Vos compétences ont retenu l’avis favorable de 35 membres du jury sur 41’’, a fait savoir Charles Sandé. A l’en croire, ce prix est la reconnaissance et la célébration de tous ceux qui œuvrent pour le développement de leur pays, de leurs populations et partant du développement de la sous- région. Aussi le directeur général de l’ICS a-t-il exhorté le maire à persévérer dans ses efforts de développement de sa commune. Exprimant sa satisfaction, le lauréat en a profité pour lancer des piques à ses détracteurs. «Beaucoup de choses se sont dites sur moncompte. Mais ça m’amuse. Dieu est bon. Ils n’ont qu’à faire pour eux. Nous attendons tous, les jugements derniers », a-t-il averti, sur un ton coléreux. S’exprimant sur l’état de la mairie lors de sa rétrocession par les Forces Nouvelles, Fanny Ibrahima a déclaré avoir hérité d’une ‘’mairie sinistrée et pourrie !’’. «Aujourd’hui, personne ne peut dire que Fanny m’a fait ça. Le mensonge ne prospère pas. Arrêtez de me critiquer parce que je ne vous ai rien fait. Tout ce que nous faisons dans cette mairie est limpide », a-t-il fait savoir à ceux qui l’accusent de prévaricateur. Non sans avoir dévoilé que son équipe et lui cumulent à ce jour 108 mois d`arriérés de salaires. Fanny Ibrahima, a en outre, remercié la communauté internationale dont la présence aux côtés des populations au cours des heures chaudes, a évité la disparition de Bouaké.
Bosco de Paré