Du 26 au 30 septembre, s’est tenu au Mexique le congrès mondial de la route. La Côte d’Ivoire qui y a pris une part active était représentée par le Dg de l’OSER Echui Aka.
Les accidents de la circulation ont toujours fait l'objet d'une grande préoccupation de la part des autorités médicales et publiques. Les pays industrialisés, ayant résolu pratiquement le problème des infrastructures routières, font des accidents de la circulation un sujet de santé publique et mobilisent tous les moyens nécessaires pour en réduire la morbidité et la mortalité. Dans les pays en développement sous-équipés où le réseau routier est beaucoup moins important et de moins bonne qualité, le nombre important des accidents de la circulation a toujours interpellé les pouvoirs publics. En Côte d'Ivoire, l'importance de la question de la sécurité routière ne pouvait pas échapper aux autorités en raison des risques accrus d'accident de la route liés à l'évolution du réseau routier et du parc automobile. Le gouvernement ivoirien qui avait inscrit dans son programme depuis les années 70, la préoccupation de développement du secteur des transports routiers ne peut pas rester en marge des décisions internationales. D'où sa participation du 26 au 30 septembre dernier au Mexique, au congrès mondial de la route. La délégation ivoirienne à ce congrès était composée du ministère des infrastructures économiques et celui des transports par le biais du directeur général de l'Office de la Sécurité Routière (Oser) Echui Aka. Au cours de ce congrès où la question de la sécurité routière et l'équipement des routes dans l'esprit d'un système de transport intelligent ont été abordées, l'accent a été mis sur la formation et la sensibilisation des pouvoirs publics au respect du code de la route. Il a aussi été question de la réglementation stricte du contrôle routier et l'élimination des mauvais comportements afin de parvenir au risque zéro accident. Dans ce même objectif, les Nations Unies ont lancé le 11 mai 2011, la décennie d'action pour la sécurité routière sur la période 2011 à 2012. Joignant l'acte à la parole, les congressistes de Mexico ont approuvé et développé des plans stratégiques, et des programmes afin d'atteindre les objectifs de cette décennie: ceux de réduire considérablement le nombre de décès sur les routes.
Edmond Kouadio
Les accidents de la circulation ont toujours fait l'objet d'une grande préoccupation de la part des autorités médicales et publiques. Les pays industrialisés, ayant résolu pratiquement le problème des infrastructures routières, font des accidents de la circulation un sujet de santé publique et mobilisent tous les moyens nécessaires pour en réduire la morbidité et la mortalité. Dans les pays en développement sous-équipés où le réseau routier est beaucoup moins important et de moins bonne qualité, le nombre important des accidents de la circulation a toujours interpellé les pouvoirs publics. En Côte d'Ivoire, l'importance de la question de la sécurité routière ne pouvait pas échapper aux autorités en raison des risques accrus d'accident de la route liés à l'évolution du réseau routier et du parc automobile. Le gouvernement ivoirien qui avait inscrit dans son programme depuis les années 70, la préoccupation de développement du secteur des transports routiers ne peut pas rester en marge des décisions internationales. D'où sa participation du 26 au 30 septembre dernier au Mexique, au congrès mondial de la route. La délégation ivoirienne à ce congrès était composée du ministère des infrastructures économiques et celui des transports par le biais du directeur général de l'Office de la Sécurité Routière (Oser) Echui Aka. Au cours de ce congrès où la question de la sécurité routière et l'équipement des routes dans l'esprit d'un système de transport intelligent ont été abordées, l'accent a été mis sur la formation et la sensibilisation des pouvoirs publics au respect du code de la route. Il a aussi été question de la réglementation stricte du contrôle routier et l'élimination des mauvais comportements afin de parvenir au risque zéro accident. Dans ce même objectif, les Nations Unies ont lancé le 11 mai 2011, la décennie d'action pour la sécurité routière sur la période 2011 à 2012. Joignant l'acte à la parole, les congressistes de Mexico ont approuvé et développé des plans stratégiques, et des programmes afin d'atteindre les objectifs de cette décennie: ceux de réduire considérablement le nombre de décès sur les routes.
Edmond Kouadio
