Deux matches, deux défaites en Superdivision. L’Asec est au rouge. Mais Francis Ouégnin, le président-délégué reste serein. Il fait une mise au point au sujet des contre-vérités qui se raconteraient sur son club.
Il se raconte que votre équipe aurait des difficultés financières parce que Jacques Anouma n’est plus le président de la Fédération ivoirienne de football car, ce serait lui qui faisait souvent face à vos problèmes financiers. Et que l’Asec doit deux mois de salaires à ses joueurs.
Ecoutez, nous sommes dans une société de libre expression. Chacun peut dire n’importe quoi. Les gens peuvent dire ce qu’ils veulent. C’est leur droit. Mais qu’ils sachent que notre club est sérieux et bien organisé. L’Asec ne mendie pas.
Reconnaissez-vous quand-même que l’Asec a des problèmes …
C’est vrai qu’aujourd’hui on a des problèmes, mais cela fait 20 ans qu’on tient le haut de l’affiche. Peut-être qu’on ne sera pas champion, mais mathématiquement, rien n’est encore joué. De plus, la vie de l’Asec ne s’arrêtera pas sur un titre perdu. Cela fait des années qu’on domine le championnat. Et nous sommes déjà préparés à ce qu’un jour, cela s’arrête.
Comment expliquez-vous les difficultés actuelles de votre équipe en Superdivision ?
Il y a des joueurs aujourd’hui, même s’ils le veulent, qui n’en peuvent plus. Et puis, il y a un manque de talents. Au cours du match contre le Stella lors de la 1ère journée, nous n’avons pas été ridicules. Même aujourd’hui (mercredi), nous avons vu une piètre équipe de l’Africa qui ne nous est pas supérieure. Nous avons eu trois occasions nettes de buts que nous avons vendangées. C’est la technique, le talent, qui nous ont manqué. Nous le savons. On ne sera pas champion.
Quel est votre favori après ces deux premières journées de la Superdivision ?
C’est le Stella, parce que c’est une équipe saine qui est au-dessus de l’Africa et des autres. Je souhaite même qu’on ne soit pas champion.
Entretien réalisé par Choilio Diomandé
Il se raconte que votre équipe aurait des difficultés financières parce que Jacques Anouma n’est plus le président de la Fédération ivoirienne de football car, ce serait lui qui faisait souvent face à vos problèmes financiers. Et que l’Asec doit deux mois de salaires à ses joueurs.
Ecoutez, nous sommes dans une société de libre expression. Chacun peut dire n’importe quoi. Les gens peuvent dire ce qu’ils veulent. C’est leur droit. Mais qu’ils sachent que notre club est sérieux et bien organisé. L’Asec ne mendie pas.
Reconnaissez-vous quand-même que l’Asec a des problèmes …
C’est vrai qu’aujourd’hui on a des problèmes, mais cela fait 20 ans qu’on tient le haut de l’affiche. Peut-être qu’on ne sera pas champion, mais mathématiquement, rien n’est encore joué. De plus, la vie de l’Asec ne s’arrêtera pas sur un titre perdu. Cela fait des années qu’on domine le championnat. Et nous sommes déjà préparés à ce qu’un jour, cela s’arrête.
Comment expliquez-vous les difficultés actuelles de votre équipe en Superdivision ?
Il y a des joueurs aujourd’hui, même s’ils le veulent, qui n’en peuvent plus. Et puis, il y a un manque de talents. Au cours du match contre le Stella lors de la 1ère journée, nous n’avons pas été ridicules. Même aujourd’hui (mercredi), nous avons vu une piètre équipe de l’Africa qui ne nous est pas supérieure. Nous avons eu trois occasions nettes de buts que nous avons vendangées. C’est la technique, le talent, qui nous ont manqué. Nous le savons. On ne sera pas champion.
Quel est votre favori après ces deux premières journées de la Superdivision ?
C’est le Stella, parce que c’est une équipe saine qui est au-dessus de l’Africa et des autres. Je souhaite même qu’on ne soit pas champion.
Entretien réalisé par Choilio Diomandé