L’Amicale des Femmes de la cité Sir à la Riviera Djorogobité a célébré le samedi 22 octobre 2011, le premier anniversaire de son existence sous la présidence de la Haute Marraine, Mme Aminata Toungara, de M. le Président du Conseil d’Administration de la SIR, Noël Akossi Bendjo et en présence du Directeur général de cette société, Joël Dervain. Une occasion solennelle pour Mme Nadège Bléhoué d’égrener tout le chapelet des problèmes de la cité.
Créée le 5 octobre 2010, à la suite du décès accidentel d’un enfant d’une résidente de la cité, l’Amicale des Femmes de la cité Sir de la Riviera Djorogobité a célébré le samedi 22 octobre 2011 avec beaucoup de faste son premier anniversaire. Devant la Haute marraine, Mme Aminata Toungara et des premiers responsables de la Sir, Mme Nadège Bléhoué, présidente de ladite association, a saisi cette opportunité pour exposer tous les problèmes qui minent l’existence de la cité. Les difficultés auxquelles les résidents sont confrontés ont pour noms : le manque d’école au sein de la cité qui fait de leurs enfants des ‘’lève-tôt’’ et des ‘’couche-tard’’ pour utiliser ses propres expressions. Toute chose, dit-elle, qui influence négativement leurs résultats scolaires. Le manque d’espace de jeu pour leur épanouissement ; le manque de centre de santé à l’intérieur ou à proximité de la cité, le manque de car de transport pour les écoliers et élèves pour l’année scolaire 2011-2012 ; le manque d’espace permettant aux femmes battantes de l’AFEC-SIR d’exercer des activités lucratives. L’insécurité sous toutes ses formes avec son corollaire de nombreux vols, braquages et agressions ; le non-bitumage de la voie reliant la cité au carrefour nouveau goudron ; l’électrification de la voie qui relie ladite cité au nouveau goudron. Et enfin l’acquisition de magasins au profit des membres pour leur autonomie financière et pour toute autre action humanitaire. Succédant tour à tour à Mme Nadège Bléhoué, Messieurs Dervain Joël, DG et Noël Akossi Bendjo PCA de la Sir, très sensibles à la marque d’attention qui leur a été accordée, ont traduit leur satisfaction et leur joie quant à ce premier anniversaire. Ils ont promis apporter leur pierre quant aux doléances formulées. Ils ont, en outre, précisé que parmi les requêtes, il y en a qui relève de la compétence du gouvernement. M. Joël Dervain n’a pas manqué de relever que la Sir va très mal. C’est une grande malade. Il a soutenu qu’il ne ménagera aucun effort pour que l’accès à la propriété immobilière puisse se réaliser pour chacun dans un délai raisonnable et en compatibilité avec les moyens de l’entreprise. Quant à la Haute marraine, Mme Ami Toungara, elle a promis se battre auprès de son époux pour que les vœux de ses filleules se réalisent. ‘’Quand je veux quelque chose, je l’obtiens toujours’’, a-t-elle déclaré sous les ovations des membres de l’AFEC-Sir. Avant de conclure qu’elle est désormais présidente d’honneur de l’Association en réponse à leur requête dans ce sens. Notons que la cité Sir de la Riviera Djorogobité compte 418 appartements duplex. A ce jour, ce sont 200 familles qui y ont déjà élu domicile. Et qui réclament toutes, les infrastructures qui manquent à cette cité. La note musicale a été assurée par O’nel Mala, Daniel Nortey, Béatrice Gnoupalé et Lato Crespino.
Maxime Wangué
Créée le 5 octobre 2010, à la suite du décès accidentel d’un enfant d’une résidente de la cité, l’Amicale des Femmes de la cité Sir de la Riviera Djorogobité a célébré le samedi 22 octobre 2011 avec beaucoup de faste son premier anniversaire. Devant la Haute marraine, Mme Aminata Toungara et des premiers responsables de la Sir, Mme Nadège Bléhoué, présidente de ladite association, a saisi cette opportunité pour exposer tous les problèmes qui minent l’existence de la cité. Les difficultés auxquelles les résidents sont confrontés ont pour noms : le manque d’école au sein de la cité qui fait de leurs enfants des ‘’lève-tôt’’ et des ‘’couche-tard’’ pour utiliser ses propres expressions. Toute chose, dit-elle, qui influence négativement leurs résultats scolaires. Le manque d’espace de jeu pour leur épanouissement ; le manque de centre de santé à l’intérieur ou à proximité de la cité, le manque de car de transport pour les écoliers et élèves pour l’année scolaire 2011-2012 ; le manque d’espace permettant aux femmes battantes de l’AFEC-SIR d’exercer des activités lucratives. L’insécurité sous toutes ses formes avec son corollaire de nombreux vols, braquages et agressions ; le non-bitumage de la voie reliant la cité au carrefour nouveau goudron ; l’électrification de la voie qui relie ladite cité au nouveau goudron. Et enfin l’acquisition de magasins au profit des membres pour leur autonomie financière et pour toute autre action humanitaire. Succédant tour à tour à Mme Nadège Bléhoué, Messieurs Dervain Joël, DG et Noël Akossi Bendjo PCA de la Sir, très sensibles à la marque d’attention qui leur a été accordée, ont traduit leur satisfaction et leur joie quant à ce premier anniversaire. Ils ont promis apporter leur pierre quant aux doléances formulées. Ils ont, en outre, précisé que parmi les requêtes, il y en a qui relève de la compétence du gouvernement. M. Joël Dervain n’a pas manqué de relever que la Sir va très mal. C’est une grande malade. Il a soutenu qu’il ne ménagera aucun effort pour que l’accès à la propriété immobilière puisse se réaliser pour chacun dans un délai raisonnable et en compatibilité avec les moyens de l’entreprise. Quant à la Haute marraine, Mme Ami Toungara, elle a promis se battre auprès de son époux pour que les vœux de ses filleules se réalisent. ‘’Quand je veux quelque chose, je l’obtiens toujours’’, a-t-elle déclaré sous les ovations des membres de l’AFEC-Sir. Avant de conclure qu’elle est désormais présidente d’honneur de l’Association en réponse à leur requête dans ce sens. Notons que la cité Sir de la Riviera Djorogobité compte 418 appartements duplex. A ce jour, ce sont 200 familles qui y ont déjà élu domicile. Et qui réclament toutes, les infrastructures qui manquent à cette cité. La note musicale a été assurée par O’nel Mala, Daniel Nortey, Béatrice Gnoupalé et Lato Crespino.
Maxime Wangué