L’union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci) a récemment bénéficié d’un séminaire de formation sur la contrefaçon à la maison de la presse d’Abidjan.
Afin de lutter contre la contrefaçon, l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI) en collaboration avec Uniwax a organisé récemment à la maison de la presse (MPA) un séminaire de formation. Son président, en la personne de Mam Camara, s’est dit très heureux de ce partenariat et, a promis la disponibilité de la presse ivoirienne à accompagner Uniwax dans cette lutte. « Nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir afin que ce fléau soit éradiqué », a-t-il promis. Pour Arthur Moloko, directeur commercial et marketing d’Uniwax, la contrefaçon étant un fléau pour les entreprises, elle constitue un véritable drame pour toute l’économie du pays. « Certaines personnes se diront sans doute que c’est à cause de la concurrence qu’on parle de contrefaçon. Pourtant, la contrefaçon est un fléau qui existe bel et bien .Nous n’avons pas peur de la concurrence tant qu’elle se fait dans les règles de l’art. Nous avons des prix qui sont alignés sur ceux du marché international. Raison pour laquelle nous ne pouvons pas accepter que nos produits soient vendus n’importe comment et à n’importe quel prix», a-t-il décrié. C’est autour de deux thèmes que ce séminaire s’est déroulé notamment : “Le dispositif juridique en matière de lutte contre la contrefaçon” qui a été animé par le Pr Denis Bohoussou, directeur de l’Office ivoirien de la Propriété intellectuelle. “Les conséquences économiques et sociales de la contrefaçon sur l’économie” a été exposé par Karim Sangaré, directeur de la cellule de lutte contre la fraude et la contrefaçon à Uniwax. Selon le Pr Denis Bohoussou, pour déraciner ce mal qui mine le marché du textile ivoirien, il faut la mettre en place d’une base de données commune aux administrations de lutte contre la contrefaçon. Et il préconise le renforcement du contrôle des valeurs et la prise de conscience des pouvoirs publics du danger que représente ce fléau pour les entreprises locales. « Le rôle de la presse sera de sensibiliser la population sur les dangers qu’elle court en se procurant ces produits contrefaits et en montrant à la population la différence entre l’original et la photocopie», précise -t-il. Pour concrétiser ce partenariat, UNIWAX a offert 8 ordinateurs et des imprimantes aux responsables de la MPA.
S.R. (stagiaire)
Afin de lutter contre la contrefaçon, l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI) en collaboration avec Uniwax a organisé récemment à la maison de la presse (MPA) un séminaire de formation. Son président, en la personne de Mam Camara, s’est dit très heureux de ce partenariat et, a promis la disponibilité de la presse ivoirienne à accompagner Uniwax dans cette lutte. « Nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir afin que ce fléau soit éradiqué », a-t-il promis. Pour Arthur Moloko, directeur commercial et marketing d’Uniwax, la contrefaçon étant un fléau pour les entreprises, elle constitue un véritable drame pour toute l’économie du pays. « Certaines personnes se diront sans doute que c’est à cause de la concurrence qu’on parle de contrefaçon. Pourtant, la contrefaçon est un fléau qui existe bel et bien .Nous n’avons pas peur de la concurrence tant qu’elle se fait dans les règles de l’art. Nous avons des prix qui sont alignés sur ceux du marché international. Raison pour laquelle nous ne pouvons pas accepter que nos produits soient vendus n’importe comment et à n’importe quel prix», a-t-il décrié. C’est autour de deux thèmes que ce séminaire s’est déroulé notamment : “Le dispositif juridique en matière de lutte contre la contrefaçon” qui a été animé par le Pr Denis Bohoussou, directeur de l’Office ivoirien de la Propriété intellectuelle. “Les conséquences économiques et sociales de la contrefaçon sur l’économie” a été exposé par Karim Sangaré, directeur de la cellule de lutte contre la fraude et la contrefaçon à Uniwax. Selon le Pr Denis Bohoussou, pour déraciner ce mal qui mine le marché du textile ivoirien, il faut la mettre en place d’une base de données commune aux administrations de lutte contre la contrefaçon. Et il préconise le renforcement du contrôle des valeurs et la prise de conscience des pouvoirs publics du danger que représente ce fléau pour les entreprises locales. « Le rôle de la presse sera de sensibiliser la population sur les dangers qu’elle court en se procurant ces produits contrefaits et en montrant à la population la différence entre l’original et la photocopie», précise -t-il. Pour concrétiser ce partenariat, UNIWAX a offert 8 ordinateurs et des imprimantes aux responsables de la MPA.
S.R. (stagiaire)