Décédée le vendredi 28 octobre, Nimatoulaye Ba, chef du service Economie à L’Expression, a été inhumée le lendemain au cimetière municipal d’Abobo.
Nimatoulaye nous a quittés. Définitivement. Eternellement. Décédée vendredi, Nim a été portée en terre samedi au cimetière municipal d’Abobo par une foule d’amis, de parents et de confrères. Le président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci), Mam Camara, l’ancien président du Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (Gepci), Denis Kah Zion, le secrétaire général du Syndicat national de la presse privée de Côte d’Ivoire (Synappci), Guillaume Gbato, ont tous fait le déplacement pour marquer leur solidarité et leur soutien dans ce deuil qui frappe L’Expression. De nombreux journalistes, de toutes les rédactions, étaient là, pour dire un dernier au revoir à la disparue. Nimatoulaye nous a quittés. La levée du corps de la mère du jeune Ouattara Tariq Ramadan a eu lieu à l’Hôpital militaire d’Abidjan où elle a rendu l’âme quelques heures plus tôt. C’est là, entre sanglots et larmes, lamentations et supplications, qu’à été accomplie la prière mortuaire suivant les préceptes de l’islam. Nimatoulaye nous a quittés. Ses parents ne comprennent pas. Les confrères, venus en grand nombre soutenir la famille dans cette circonstance difficile ne peuvent expliquer pourquoi l’on meurt à 35 ans laissant un nourrisson de deux mois. Ses collègues de L’Expression sèchent leurs larmes. La tristesse se lit sur tous les visages. L’affliction est palpable. De temps à autre, une complainte, difficilement contenue, vient rompre le recueillement. Les pleurs se font plus intenses lorsque la dépouille mortelle est installée pour procéder à la prière. Tous comprennent que l’ultime séparation est proche. L’imam recommande l’âme de la défunte à Dieu. Dans la pure orthodoxie musulmane, tous se joignent à lui pour adresser une prière à Dieu. Le cortège s’ébranle ensuite en direction du cimetière d’Abobo où «chef Nim» reposera à jamais. «Le départ de Nimatoulaye laisse certes un grand vide, mais en recourant à la foi, on ne peut que s’incliner devant la volonté de Dieu», a indiqué le gérant de L’Expression, Dembélé Fausséni. Avant d’ajouter que la disparition de Nimatoulaye constitue «une grande perte pour la presse ivoirienne en général et pour L’Expression en particulier». Les cérémonies de 7ème jour auront lieu après la fête de la Tabaski. Ainsi en a décidé la famille. Nimatoulaye nous a vraiment quittés. Définitivement. Eternellement. Repose en paix « Nima ».
M’Bah Aboubakar
Nimatoulaye nous a quittés. Définitivement. Eternellement. Décédée vendredi, Nim a été portée en terre samedi au cimetière municipal d’Abobo par une foule d’amis, de parents et de confrères. Le président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci), Mam Camara, l’ancien président du Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (Gepci), Denis Kah Zion, le secrétaire général du Syndicat national de la presse privée de Côte d’Ivoire (Synappci), Guillaume Gbato, ont tous fait le déplacement pour marquer leur solidarité et leur soutien dans ce deuil qui frappe L’Expression. De nombreux journalistes, de toutes les rédactions, étaient là, pour dire un dernier au revoir à la disparue. Nimatoulaye nous a quittés. La levée du corps de la mère du jeune Ouattara Tariq Ramadan a eu lieu à l’Hôpital militaire d’Abidjan où elle a rendu l’âme quelques heures plus tôt. C’est là, entre sanglots et larmes, lamentations et supplications, qu’à été accomplie la prière mortuaire suivant les préceptes de l’islam. Nimatoulaye nous a quittés. Ses parents ne comprennent pas. Les confrères, venus en grand nombre soutenir la famille dans cette circonstance difficile ne peuvent expliquer pourquoi l’on meurt à 35 ans laissant un nourrisson de deux mois. Ses collègues de L’Expression sèchent leurs larmes. La tristesse se lit sur tous les visages. L’affliction est palpable. De temps à autre, une complainte, difficilement contenue, vient rompre le recueillement. Les pleurs se font plus intenses lorsque la dépouille mortelle est installée pour procéder à la prière. Tous comprennent que l’ultime séparation est proche. L’imam recommande l’âme de la défunte à Dieu. Dans la pure orthodoxie musulmane, tous se joignent à lui pour adresser une prière à Dieu. Le cortège s’ébranle ensuite en direction du cimetière d’Abobo où «chef Nim» reposera à jamais. «Le départ de Nimatoulaye laisse certes un grand vide, mais en recourant à la foi, on ne peut que s’incliner devant la volonté de Dieu», a indiqué le gérant de L’Expression, Dembélé Fausséni. Avant d’ajouter que la disparition de Nimatoulaye constitue «une grande perte pour la presse ivoirienne en général et pour L’Expression en particulier». Les cérémonies de 7ème jour auront lieu après la fête de la Tabaski. Ainsi en a décidé la famille. Nimatoulaye nous a vraiment quittés. Définitivement. Eternellement. Repose en paix « Nima ».
M’Bah Aboubakar
