Avant la messe de requiem, le cortège funèbre a pris place sous le préau polyvalent de Moossou juste en face de la paroisse St Antoine de Padoue pour les hommages traditionnels. Lorsque le corbillard marque l’arrêt, des jeunes issus des différents groupes de générations tentent d`arracher le cercueil aux porteurs patentés d’Ivosep. Après une dizaine de minutes, les jeunes du village parviennent à s’emparer du cercueil. Ceux-ci, se dirigent sous le préau où attendent Mme Henriette Konan Bédié et sa délégation. Une fois sous le préau, on fit faire des tours circulaires au cercueil. Puis, il est porté en triomphe. Du préau, cap est mis sur la cour du père de Jean-Michel Moulod, où la dépouille est déposée à même le sol. Il a fallu que le roi, sa majesté Assoumou Kanga et le chef de famille fassent la libation pour que le cercueil retourne sous le préau pour que débutent les hommages dans la pure tradition abourée.
L’hommage du conseil municipal et des populations
Il est autour de midi, ce samedi 5 novembre, lorsque le cortège funèbre fait son entrée dans la ville. Les conseillers municipaux, les associations et clubs de soutien à Jean-Michel Moulod accueillent la dépouille du fils de Moossou près de la gendarmerie. Il s’en est suivi une procession depuis le village artisanal jusqu’à la mairie de Grand-Bassam sise au quartier France. Les élèves de Grand-Bassam et les populations sont massées le long de la voie pour rendre un hommage à leur maire. Martin Anokoi Ackach, maire intérimaire de Grand-Bassam, a dit l’oraison funèbre. Il a salué la mémoire du disparu, en rappelant son brillant parcours professionnel et politique, au service de l`Etat et des populations.
Une sélection d’E.K.
L’hommage du conseil municipal et des populations
Il est autour de midi, ce samedi 5 novembre, lorsque le cortège funèbre fait son entrée dans la ville. Les conseillers municipaux, les associations et clubs de soutien à Jean-Michel Moulod accueillent la dépouille du fils de Moossou près de la gendarmerie. Il s’en est suivi une procession depuis le village artisanal jusqu’à la mairie de Grand-Bassam sise au quartier France. Les élèves de Grand-Bassam et les populations sont massées le long de la voie pour rendre un hommage à leur maire. Martin Anokoi Ackach, maire intérimaire de Grand-Bassam, a dit l’oraison funèbre. Il a salué la mémoire du disparu, en rappelant son brillant parcours professionnel et politique, au service de l`Etat et des populations.
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