La joie et l’émotion étaient au rendez-vous, le vendredi 4 novembre dernier, au Palais des Congrès de l’Hôtel Ivoire. Ça y est ! Le mystère est enfin tombé, qui dévoile le visage de celle qui aura été la plus talentueuse de tous les candidats au prix Ebony 2010.
Irène N’Guessan Bath, première femme Super Ebony de la génération Mam Camara, porte ainsi la lourde couronne décernée à la presse écrite et audiovisuelle dans son entièreté. Lourde responsabilité certes. Mais, l’héroïne en a la carrure. Son parcours dans ce métier aussi difficile qu’exaltant lui en a donné l’étoffe nécessaire. Ce couronnement n’est donc que la suite logique de plusieurs années d’endurance, où les chutes ont succédé aux échecs, où l’humiliation oblige à l’humilité et où les rares moments de bonheur ne durent que le temps d’un ‘‘merci pour l’article’’. La journaliste du service Economie du quotidien ‘‘L’inter’’ a manqué de peu de réaliser le hat-trick parfait lors de cette prestigieuse soirée placée sous le signe de la réconciliation nationale. Meilleure journaliste presse écrite de l’année, meilleure journaliste de la presse en ligne, deuxième prix de la lutte contre la contrefaçon (à seulement 1 point du lauréat), Irène Bath a tout simplement survolé la soirée de son talent. C’est donc tout naturellement qu’elle fut sacrée Ebony des Ebony, plus haute distinction du journalisme ivoirien, succédant ainsi à Jean Roch Kouamé. Signifions que cette année, aucun professionnel de l`Audiovisuel ne s’est distingué. Au niveau du prix Ebony Radio, la récompense n’a pu être décernée car aucun des nominés n’a pu justifier son statut par la présentation de la carte d’identité de journaliste professionnel (CIJP). Idem pour la Télévision où seul un candidat, Eugène Attoubé, était en course. En plus de son prix, il en a reçu un autre d’encouragement. Les prix spéciaux Diégou Bailly (meilleure enquête), Joseph Diomandé (meilleur reportage) et Jean Pierre Ayié (meilleure interview) ont été décernés respectivement à Lanciné Bakayoko (Nord-Sud Quotidien), Kra Bernard et Touré Yelly (L’Expression). Les artistes Honakamy, Alpha Blondy, Tiken Jah Fakoly ont comblé les intermèdes musicaux. Les journalistes ont fait montre de leur talent de mannequins à travers un défilé qu’ils ont exécuté. Cette fête de l’excellence s’est tenue sous le patronage du chef de l’Etat, Alassane Ouattara, qui s’est fait représenter par son chef de cabinet, Masséré Touré, le parrainage du Premier ministre, Guillaume Soro Kigbafori, au nom de qui le ministre Adama Bictogo, de l’Intégration africaine, était présent et sous la présidence du ministre de la Communication, Diakité Coty Souléïmane, et de Charles Konan Banny, invité d’honneur. Signifions que la grande première a été l’après-show. A la fin de la cérémonie, une piste de danse a accueilli tous les invités, un vrai show entre les journalistes.
EUPHRATE DJAKO
Irène N’Guessan Bath, première femme Super Ebony de la génération Mam Camara, porte ainsi la lourde couronne décernée à la presse écrite et audiovisuelle dans son entièreté. Lourde responsabilité certes. Mais, l’héroïne en a la carrure. Son parcours dans ce métier aussi difficile qu’exaltant lui en a donné l’étoffe nécessaire. Ce couronnement n’est donc que la suite logique de plusieurs années d’endurance, où les chutes ont succédé aux échecs, où l’humiliation oblige à l’humilité et où les rares moments de bonheur ne durent que le temps d’un ‘‘merci pour l’article’’. La journaliste du service Economie du quotidien ‘‘L’inter’’ a manqué de peu de réaliser le hat-trick parfait lors de cette prestigieuse soirée placée sous le signe de la réconciliation nationale. Meilleure journaliste presse écrite de l’année, meilleure journaliste de la presse en ligne, deuxième prix de la lutte contre la contrefaçon (à seulement 1 point du lauréat), Irène Bath a tout simplement survolé la soirée de son talent. C’est donc tout naturellement qu’elle fut sacrée Ebony des Ebony, plus haute distinction du journalisme ivoirien, succédant ainsi à Jean Roch Kouamé. Signifions que cette année, aucun professionnel de l`Audiovisuel ne s’est distingué. Au niveau du prix Ebony Radio, la récompense n’a pu être décernée car aucun des nominés n’a pu justifier son statut par la présentation de la carte d’identité de journaliste professionnel (CIJP). Idem pour la Télévision où seul un candidat, Eugène Attoubé, était en course. En plus de son prix, il en a reçu un autre d’encouragement. Les prix spéciaux Diégou Bailly (meilleure enquête), Joseph Diomandé (meilleur reportage) et Jean Pierre Ayié (meilleure interview) ont été décernés respectivement à Lanciné Bakayoko (Nord-Sud Quotidien), Kra Bernard et Touré Yelly (L’Expression). Les artistes Honakamy, Alpha Blondy, Tiken Jah Fakoly ont comblé les intermèdes musicaux. Les journalistes ont fait montre de leur talent de mannequins à travers un défilé qu’ils ont exécuté. Cette fête de l’excellence s’est tenue sous le patronage du chef de l’Etat, Alassane Ouattara, qui s’est fait représenter par son chef de cabinet, Masséré Touré, le parrainage du Premier ministre, Guillaume Soro Kigbafori, au nom de qui le ministre Adama Bictogo, de l’Intégration africaine, était présent et sous la présidence du ministre de la Communication, Diakité Coty Souléïmane, et de Charles Konan Banny, invité d’honneur. Signifions que la grande première a été l’après-show. A la fin de la cérémonie, une piste de danse a accueilli tous les invités, un vrai show entre les journalistes.
EUPHRATE DJAKO
