Selon l’Organisation mondiale de la Santé, l’OMS, les bouleversements climatiques seraient à l’origine de 140 000 décès supplémentaires chaque année dans le monde, depuis 1970. Soit un total à ce jour, de pratiquement … 6 millions de morts « climatiques », si l’on ose dire ! Et d’après des médecins suédois, ce ne serait qu’un début.
Ces derniers se sont penchés sur les conséquences à venir de la pollution atmosphérique à l’ozone. Celle-ci constitue un facteur aggravant des crises d’asthme, et augmente le risque d’infarctus du myocarde. Sans compter qu’elle est également associée à des pics de mortalité, notamment dans des zones urbaines d’Amérique du Nord.
Les auteurs expliquent que « dans les décennies à venir, la pollution à l’ozone va continuer à impacter la mortalité et la morbidité ». En Europe, les pays les plus concernés par ces bouleversements seront la Belgique, l’Espagne, le Portugal et la France. D’après leurs calculs d’ici 2050, l’Europe devrait connaître une augmentation de la mortalité liée à ce changement climatique de l’ordre de 10% à 14%.
Pour être épargné par les conséquences de cette pollution, il serait ainsi préférable d’imiter certaines espèces d’oiseaux migrateurs ! Et de gagner le Nord. Plus précisément « les pays nordiques, où la mortalité associée à ces changements devrait diminuer ».
Sur le plan sanitaire, les conséquences varient selon le niveau d’exposition, le volume d’air inhalé et la durée de l’exposition. Les plus sensibles sont les enfants, les personnes âgées, les asthmatiques et les insuffisants respiratoires.
Ces derniers se sont penchés sur les conséquences à venir de la pollution atmosphérique à l’ozone. Celle-ci constitue un facteur aggravant des crises d’asthme, et augmente le risque d’infarctus du myocarde. Sans compter qu’elle est également associée à des pics de mortalité, notamment dans des zones urbaines d’Amérique du Nord.
Les auteurs expliquent que « dans les décennies à venir, la pollution à l’ozone va continuer à impacter la mortalité et la morbidité ». En Europe, les pays les plus concernés par ces bouleversements seront la Belgique, l’Espagne, le Portugal et la France. D’après leurs calculs d’ici 2050, l’Europe devrait connaître une augmentation de la mortalité liée à ce changement climatique de l’ordre de 10% à 14%.
Pour être épargné par les conséquences de cette pollution, il serait ainsi préférable d’imiter certaines espèces d’oiseaux migrateurs ! Et de gagner le Nord. Plus précisément « les pays nordiques, où la mortalité associée à ces changements devrait diminuer ».
Sur le plan sanitaire, les conséquences varient selon le niveau d’exposition, le volume d’air inhalé et la durée de l’exposition. Les plus sensibles sont les enfants, les personnes âgées, les asthmatiques et les insuffisants respiratoires.