Elles ne sont pas contentes. Et les balayeuses de la société Watch my World, environ 200, l’ont bruyamment exprimé en assiégeant le grand carrefour de Koumassi situé sur le boulevard Giscard d’Estaing. Une action qui a occasionné une forte perturbation du trafic partant du grand carrefour de Koumassi jusqu’au niveau de l’ancienne Bache bleue de Marcory. Ces femmes entendaient ainsi dénoncer des rajouts sur la liste de paiement des 7 mois de ‘’prime’’ au détriment des vraies bénéficiaires.
Les manifestantes accusent les autorités d’avoir ajouté des centaines de noms fictifs sur la liste lors de l’opération de recensement des balayeuses. Elles s’insurgent également contre les nombreuses omissions sur la liste. «Nous refusons ces listes parce que les vraies balayeuses sont laissées pour compte pendant que des personnes qui n’ont jamais travaillé avec nous sont inscrites pour percevoir des salaires de 4 mois voir plus», fulmine Landji Atromé, porte parole des mecontentes. Ajoutant que pour la seule commune de Koumassi, plus de 217 femmes ont été omises.
C’est finalement le commandant Chérif Ousmane qui va réussir à convaincre les manifestantes de rentrer chez elles. Il leur a expliqué que toutes les dispositions sont entrain d’être prises pour leur donner satisfaction. Les balayeuses ont quant à elles, promis redescendre dans la rue si leurs revendications ne sont pas prises en compte. Rappelons que les femmes de cette structure qui ont travaillé sans contrat avec le ministère, ont été reçues au mois de septembre d’un mois par la ministre de la salubrité urbaine, Anne Désiré Ouloto.
Elle leur a conseillé de se faire recenser dans les mairies pour recevoir un forfait pour les mois d’activité. Et selon une source proche de l’Agence nationale de la salubrité urbaine (Anasur), le paiement de ces balayeuses a débuté depuis le 22 novembre et se poursuivra jusqu’à ce que toutes les femmes inscrites puissent avoir leur argent.
T. Yelly
Les manifestantes accusent les autorités d’avoir ajouté des centaines de noms fictifs sur la liste lors de l’opération de recensement des balayeuses. Elles s’insurgent également contre les nombreuses omissions sur la liste. «Nous refusons ces listes parce que les vraies balayeuses sont laissées pour compte pendant que des personnes qui n’ont jamais travaillé avec nous sont inscrites pour percevoir des salaires de 4 mois voir plus», fulmine Landji Atromé, porte parole des mecontentes. Ajoutant que pour la seule commune de Koumassi, plus de 217 femmes ont été omises.
C’est finalement le commandant Chérif Ousmane qui va réussir à convaincre les manifestantes de rentrer chez elles. Il leur a expliqué que toutes les dispositions sont entrain d’être prises pour leur donner satisfaction. Les balayeuses ont quant à elles, promis redescendre dans la rue si leurs revendications ne sont pas prises en compte. Rappelons que les femmes de cette structure qui ont travaillé sans contrat avec le ministère, ont été reçues au mois de septembre d’un mois par la ministre de la salubrité urbaine, Anne Désiré Ouloto.
Elle leur a conseillé de se faire recenser dans les mairies pour recevoir un forfait pour les mois d’activité. Et selon une source proche de l’Agence nationale de la salubrité urbaine (Anasur), le paiement de ces balayeuses a débuté depuis le 22 novembre et se poursuivra jusqu’à ce que toutes les femmes inscrites puissent avoir leur argent.
T. Yelly