Après avoir été arrêtés jeudi soir pour des raisons très controversées, trois journalistes pro-Gbagbo de "Notre Voie", le quotidien du FPI, devraient être relâchés aujourd'hui. Et les faits qui leur sont reprochés requalifiés en simples délits de presse.
Placés en garde à vue jeudi soir, trois journalistes de Notre Voie (journal du Front populaire ivoirien, le FPI de Laurent Gbagbo), devraient être relâchés dans le courant de la journée après leur audition à la police criminelle du Plateau (commune d'Abidjan).
« J'ai ordonné aux enquêteurs de la direction de la police criminelle de les relâcher », a confié à jeuneafrique.com le procureur de la République, près le tribunal de première instance du Plateau, Simplice Kouadio Koffi, joint au téléphone à... suite de l'article sur Jeune Afrique
Placés en garde à vue jeudi soir, trois journalistes de Notre Voie (journal du Front populaire ivoirien, le FPI de Laurent Gbagbo), devraient être relâchés dans le courant de la journée après leur audition à la police criminelle du Plateau (commune d'Abidjan).
« J'ai ordonné aux enquêteurs de la direction de la police criminelle de les relâcher », a confié à jeuneafrique.com le procureur de la République, près le tribunal de première instance du Plateau, Simplice Kouadio Koffi, joint au téléphone à... suite de l'article sur Jeune Afrique