Le jeudi 24 novembre 2011, dans la matinée, la Direction du Fpi a appris avec consternation l’interpellation de trois (3) journalistes du quotidien Notre Voie par les services du Procureur de la République. Après de longues heures d’un interrogatoire musclé, ils ont été mis en examen en fin de journée pour:
1. Offense au chef de l’Etat en ce qui concerne César Etou (Directeur général et Directeur de Publication) et Boga Sivori (Chef du Service Politique) ;
2. Atteinte à l’économie nationale en ce qui concerne Didier Dépri (Secrétaire général de la Rédaction).
Ces faits – qui sont les derniers en date d’une série de mesures attentatoires à la liberté de la presse – commandent que la communauté nationale s’inquiète de la dérive totalitaire en gestation. C’est pourquoi :
La Direction du Front populaire ivoirien demande avec insistance la libération immédiate des trois (3) journalistes, au nom de la loi qui interdit aux tenants du pouvoir l’incarcération des hommes et femmes des médias pour "délit de presse".
La Direction du Fpi rappelle à la communauté nationale et internationale qu’en 10 ans de pouvoir du président Laurent Gbagbo, aucun journaliste n’a jamais été privé de sa liberté pour avoir exprimé son opinion.
Fait à Abidjan, le 25 novembre 2011
Pour le Fpi, le Secrétaire général, porte-parole, Laurent Akoun
1. Offense au chef de l’Etat en ce qui concerne César Etou (Directeur général et Directeur de Publication) et Boga Sivori (Chef du Service Politique) ;
2. Atteinte à l’économie nationale en ce qui concerne Didier Dépri (Secrétaire général de la Rédaction).
Ces faits – qui sont les derniers en date d’une série de mesures attentatoires à la liberté de la presse – commandent que la communauté nationale s’inquiète de la dérive totalitaire en gestation. C’est pourquoi :
La Direction du Front populaire ivoirien demande avec insistance la libération immédiate des trois (3) journalistes, au nom de la loi qui interdit aux tenants du pouvoir l’incarcération des hommes et femmes des médias pour "délit de presse".
La Direction du Fpi rappelle à la communauté nationale et internationale qu’en 10 ans de pouvoir du président Laurent Gbagbo, aucun journaliste n’a jamais été privé de sa liberté pour avoir exprimé son opinion.
Fait à Abidjan, le 25 novembre 2011
Pour le Fpi, le Secrétaire général, porte-parole, Laurent Akoun