Abidjan -L’organisation internationale de défense de la liberté de la presse, Reporters sans frontières (RSF) plaide en faveur à la libération de Hermann Aboa, journaliste, en détention depuis quelques mois à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (MACA) après la libération des journalistes du quotidien Notre Voie.
Dans un communiqué de presse dont l’AIP a reçu copie, RSF, tout en exprimant sa satisfaction de voir César Etou, directeur de publication, Didier Dépry, secrétaire général de la rédaction, et Boga Sivori, chef du service politique, être relaxés à la suite d’un non-lieu prononcé par le juge du tribunal d’Abidjan, en appelle aux autorités ivoiriennes pour que toutes les affaires de presse soient traitées conformément à la loi de 2004 et estime, à cet égard, que Hermann Aboa "devrait être également libéré".
Plusieurs chefs d’accusation, notamment "atteinte à la défense nationale", "attentat-complot contre l’autorité de l’Etat", "atteinte à l’intégrité du territoire national", "participation à une bande armée", "participation à un mouvement insurrectionnel" et "atteinte à l’ordre public", sont retenus contre Hermann Aboa, journaliste à l’ex-première chaîne de la Radiodiffusion télévision ivoirienne en détention depuis le 21 juillet. Il encourt, selon RSF, la prison à vie.
Dans un communiqué de presse dont l’AIP a reçu copie, RSF, tout en exprimant sa satisfaction de voir César Etou, directeur de publication, Didier Dépry, secrétaire général de la rédaction, et Boga Sivori, chef du service politique, être relaxés à la suite d’un non-lieu prononcé par le juge du tribunal d’Abidjan, en appelle aux autorités ivoiriennes pour que toutes les affaires de presse soient traitées conformément à la loi de 2004 et estime, à cet égard, que Hermann Aboa "devrait être également libéré".
Plusieurs chefs d’accusation, notamment "atteinte à la défense nationale", "attentat-complot contre l’autorité de l’Etat", "atteinte à l’intégrité du territoire national", "participation à une bande armée", "participation à un mouvement insurrectionnel" et "atteinte à l’ordre public", sont retenus contre Hermann Aboa, journaliste à l’ex-première chaîne de la Radiodiffusion télévision ivoirienne en détention depuis le 21 juillet. Il encourt, selon RSF, la prison à vie.