Depuis quelques temps, les bandits ont décidé de s’attaquer aux édifices religieux. Des diocèses d’Abidjan, de Grand-Bassam, de Yopougon en passant par les autres diocèses de l’intérieur du pays, ce sont au total 33 paroisses qui ont été visitées par des hommes sans foi ni loi en quelques mois. Cette situation alarmante a conduit l’archevêque d’Abidjan chez le président de la République pour trouver une solution à ce problème. A l’issue de cette rencontre, le chef de l’Etat avait promis à l’archevêque qu’il prendrait toutes les mesures nécessaires pour remédier à cette situation. Chose promise, chose due, les chefs militaires se sont reunis autour du ministre délégué auprès du Premier ministre chargé de la Défense pour mettre en place un plan de sécurisation des églises et autres lieux saints.
Konaté Souleymane et Koné Yaya ont fait les frais de ce dispositif le mercredi 07 décembre dernier. Ces sinistres individus qui ont dépouillé la paroisse Saint Bernard d’Adiopodoumé, Km 17 route de Dabou, de la somme de 226 000 Fcfa ont été mis aux arrêts grâce à une action conjointe de l’escadron et de la brigade de gendarmerie de Yopougon.
De source proche du dossier, Konaté Souleymane clame son innocence et dit avoir été contraint par son comparse Koné Yaya pour détrousser ladite paroisse dans le but de supporter les frais de la grossesse de son épouse. L’audition de Konaté Souleymane a conduit la brigade de gendarmerie au domicile de Koné Yaya, cerveau du coup. La perquisition des lieux a permis la saisie d’une kalachnikov, de deux chargeurs, de trente munitions et de plusieurs téléphones portables.
Interrogé sur les faits, Koné Yaya qui se réclame des Forces républicaines de Côte d’Ivoire dit avoir reçu cette arme pour la surveillance du quartier où se trouve la paroisse Saint Bernard. La dextérité avec laquelle l’opération a été menée a conduit le ministre délégué auprès du Premier ministre chargé de la Défense, qui avait à ses côtés le chef d’état-major général des Forces républicaines et le commandant supérieur de la gendarmerie nationale, à la brigade de gendarmerie de Yopougon, pour rencontrer le personnel en vue de le féliciter et l’encourager. Pour le général Soumaïla Bakayoko, la mise aux arrêts de ces malfrats est le résultat du plan de sécurisation des églises et autres lieux saints demandé par le chef de l’Etat. Il a, par la suite, lancé un appel aux jeunes sans emploi à s’inscrire dans les vastes chantiers ouverts par le président de la République et d’éviter de se servir des armes comme moyen de « gagne pain » en se prévalant du titre des Forces républicaines. Quant au ministre Paul Koffi Koffi, il a salué le professionnalisme des gendarmes. Car leur sens du devoir a permis de mettre en déroute ces sinistres individus qui, autrefois, troublaient la quiétude des populations en semant aussi, tristesse et désolation au sein des édifices religieux. Ce dispositif qui a permis de réduire sensiblement les attaques des églises et autres lieux saints va monter en puissance et s’étendre à d’autres secteurs en cette période de fin d’année pour mettre en déroute tous ces malfrats encore tapis dans l’ombre, et rassurer les populations.
SERVICE COMMUNICATION DE LA GENDARMERIE NATIONALE
Konaté Souleymane et Koné Yaya ont fait les frais de ce dispositif le mercredi 07 décembre dernier. Ces sinistres individus qui ont dépouillé la paroisse Saint Bernard d’Adiopodoumé, Km 17 route de Dabou, de la somme de 226 000 Fcfa ont été mis aux arrêts grâce à une action conjointe de l’escadron et de la brigade de gendarmerie de Yopougon.
De source proche du dossier, Konaté Souleymane clame son innocence et dit avoir été contraint par son comparse Koné Yaya pour détrousser ladite paroisse dans le but de supporter les frais de la grossesse de son épouse. L’audition de Konaté Souleymane a conduit la brigade de gendarmerie au domicile de Koné Yaya, cerveau du coup. La perquisition des lieux a permis la saisie d’une kalachnikov, de deux chargeurs, de trente munitions et de plusieurs téléphones portables.
Interrogé sur les faits, Koné Yaya qui se réclame des Forces républicaines de Côte d’Ivoire dit avoir reçu cette arme pour la surveillance du quartier où se trouve la paroisse Saint Bernard. La dextérité avec laquelle l’opération a été menée a conduit le ministre délégué auprès du Premier ministre chargé de la Défense, qui avait à ses côtés le chef d’état-major général des Forces républicaines et le commandant supérieur de la gendarmerie nationale, à la brigade de gendarmerie de Yopougon, pour rencontrer le personnel en vue de le féliciter et l’encourager. Pour le général Soumaïla Bakayoko, la mise aux arrêts de ces malfrats est le résultat du plan de sécurisation des églises et autres lieux saints demandé par le chef de l’Etat. Il a, par la suite, lancé un appel aux jeunes sans emploi à s’inscrire dans les vastes chantiers ouverts par le président de la République et d’éviter de se servir des armes comme moyen de « gagne pain » en se prévalant du titre des Forces républicaines. Quant au ministre Paul Koffi Koffi, il a salué le professionnalisme des gendarmes. Car leur sens du devoir a permis de mettre en déroute ces sinistres individus qui, autrefois, troublaient la quiétude des populations en semant aussi, tristesse et désolation au sein des édifices religieux. Ce dispositif qui a permis de réduire sensiblement les attaques des églises et autres lieux saints va monter en puissance et s’étendre à d’autres secteurs en cette période de fin d’année pour mettre en déroute tous ces malfrats encore tapis dans l’ombre, et rassurer les populations.
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