Dakar (APS) – Le secrétaire général de la Biennale de l’art africain contemporain de Dakar (Dak’Art), Ousseynou Wade, a salué la mémoire du journaliste culturel ivoirien Fortuné Bationo, décédé jeudi dernier à Louvain-la-Neuve (Belgique), rendant hommage un ‘’ami’’ qui a ‘’bien rempli sa feuille’’.
‘’Aussi courte que soit son passage sur cette terre, Fortuné Bationo a bien rempli sa feuille. Ses contributions ont alimenté les pages de plusieurs supports consacrés aux cultures africaines. Il était disponible, discret, et généreux’’, écrit M. Wade dans un communiqué dont l’APS a obtenu copie mardi.
‘’Un ami de la Biennale de Dakar s’en est allé, laissant derrière lui une grande famille consternée par cette disparition soudaine’’. ‘’Le ministère de la Culture, le Secrétariat général du Dak’Art et l’ensemble des acteurs culturels nationaux ont appris, avec beaucoup de peine’’ le décès de Fortuné Bationo.
Ousseynou Wade rappelle que le défunt était ‘’un habitué des rendez-vous artistiques’’. ‘’De Dakar à Ouagadougou, en passant par Bamako, Tunis, Alger et tant d’autres lieux du monde où des militants de l’art africain se retrouvaient pour échanger, il aura beaucoup apporté’’, écrit-il.
M. Wade ajoute : ‘’La Biennale de l’art africain contemporain témoigne, par ma voix, de toutes ses qualités remarquables et présente ses sincères condoléances à ses familles, puisqu’il en avait plusieurs, mais aussi à ses collègues de la Fédération africaine de la critique cinématographique (FACC)’’.
Après ses études universitaires à Ouagadougou (Burkina Faso), où il a obtenu une licence en art et communication (option presse), Fortuné Bationo a été journaliste culturel au quotidien abidjanais ‘’24 heures’’ avant de devenir free lance en 2008.
Il était membre de la Fédération africaine de la critique cinématographique ainsi que des Journalistes culturels africains en réseau (JOCAR). Il a participé régulièrement au Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) et à la Biennale de l’art africain contemporain de Dakar.
La dépouille mortelle de Fortuné Bationo sera rapatriée mercredi à Abidjan où l’inhumation est prévue jeudi matin.
‘’Aussi courte que soit son passage sur cette terre, Fortuné Bationo a bien rempli sa feuille. Ses contributions ont alimenté les pages de plusieurs supports consacrés aux cultures africaines. Il était disponible, discret, et généreux’’, écrit M. Wade dans un communiqué dont l’APS a obtenu copie mardi.
‘’Un ami de la Biennale de Dakar s’en est allé, laissant derrière lui une grande famille consternée par cette disparition soudaine’’. ‘’Le ministère de la Culture, le Secrétariat général du Dak’Art et l’ensemble des acteurs culturels nationaux ont appris, avec beaucoup de peine’’ le décès de Fortuné Bationo.
Ousseynou Wade rappelle que le défunt était ‘’un habitué des rendez-vous artistiques’’. ‘’De Dakar à Ouagadougou, en passant par Bamako, Tunis, Alger et tant d’autres lieux du monde où des militants de l’art africain se retrouvaient pour échanger, il aura beaucoup apporté’’, écrit-il.
M. Wade ajoute : ‘’La Biennale de l’art africain contemporain témoigne, par ma voix, de toutes ses qualités remarquables et présente ses sincères condoléances à ses familles, puisqu’il en avait plusieurs, mais aussi à ses collègues de la Fédération africaine de la critique cinématographique (FACC)’’.
Après ses études universitaires à Ouagadougou (Burkina Faso), où il a obtenu une licence en art et communication (option presse), Fortuné Bationo a été journaliste culturel au quotidien abidjanais ‘’24 heures’’ avant de devenir free lance en 2008.
Il était membre de la Fédération africaine de la critique cinématographique ainsi que des Journalistes culturels africains en réseau (JOCAR). Il a participé régulièrement au Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) et à la Biennale de l’art africain contemporain de Dakar.
La dépouille mortelle de Fortuné Bationo sera rapatriée mercredi à Abidjan où l’inhumation est prévue jeudi matin.