Amadou Toumani Touré s’apprêterait à remercier le Premier ministre et son équipe. Le gouvernement de missions qu’il aurait dû être, s’est finalement révélé incapable de conduire à bon port les missions qui lui ont été confiées. À commencer par Cissé Mariam Kaïdama Sidibé, chef du gouvernement.
Le président de la République malienne, Amadou Toumani Touré, ne serait plus en odeur de sainteté avec le Premier ministre Cissé Mariam Kaïdama Sidibé. Il est en passe de débarquer la première femme à occuper ce poste, selon le journal Nouvelle Libération. Pour le tabloïd, en changeant le gouvernement en mars dernier, Toumani Touré avait deux principaux soucis : organiser de bonnes élections en 2012 et faire passer comme une lettre à la poste son référendum constitutionnel. Deux préoccupations qui figuraient en bonne place dans les missions du gouvernement Cissé Mariam Kaïdama Sidibé. Mais, a déploré le journal, ces instructions ont été mal suivies. « Ce sera fait probablement en janvier prochain. Et sauf revirement de dernière minute, c’est un militaire déjà rompu à la tâche administrative qui remplacera la chef de la primature », annonce-t-il. Sur la question du référendum, la machine gouvernementale prend du temps à se mettre en marche, pense l’auteur du texte. Il soutient que des pratiques bannies ont continué à persister : la lutte contre la corruption, l’affairisme et autres fléaux qui minent considérablement l’administration. La recrudescence de la violence dans le Nord du pays, la gestion du dossier sécuritaire, l’évocation récemment de la République de l’Azawad en présence de six ministres par des populations du Nord auraient aggravé le mécontentement du chef de l’Etat. Aussi, a-t-il relevé, que l’‘université peine à rouvrir ses portes, la saison des pluies a été catastrophique au point que la famine menace une bonne partie de la population, les marches de protestation se multiplient. Des situations mal négociées par la chef du gouvernement.
K.D (stagiaire) avec Maliweb
Le président de la République malienne, Amadou Toumani Touré, ne serait plus en odeur de sainteté avec le Premier ministre Cissé Mariam Kaïdama Sidibé. Il est en passe de débarquer la première femme à occuper ce poste, selon le journal Nouvelle Libération. Pour le tabloïd, en changeant le gouvernement en mars dernier, Toumani Touré avait deux principaux soucis : organiser de bonnes élections en 2012 et faire passer comme une lettre à la poste son référendum constitutionnel. Deux préoccupations qui figuraient en bonne place dans les missions du gouvernement Cissé Mariam Kaïdama Sidibé. Mais, a déploré le journal, ces instructions ont été mal suivies. « Ce sera fait probablement en janvier prochain. Et sauf revirement de dernière minute, c’est un militaire déjà rompu à la tâche administrative qui remplacera la chef de la primature », annonce-t-il. Sur la question du référendum, la machine gouvernementale prend du temps à se mettre en marche, pense l’auteur du texte. Il soutient que des pratiques bannies ont continué à persister : la lutte contre la corruption, l’affairisme et autres fléaux qui minent considérablement l’administration. La recrudescence de la violence dans le Nord du pays, la gestion du dossier sécuritaire, l’évocation récemment de la République de l’Azawad en présence de six ministres par des populations du Nord auraient aggravé le mécontentement du chef de l’Etat. Aussi, a-t-il relevé, que l’‘université peine à rouvrir ses portes, la saison des pluies a été catastrophique au point que la famine menace une bonne partie de la population, les marches de protestation se multiplient. Des situations mal négociées par la chef du gouvernement.
K.D (stagiaire) avec Maliweb
