Abidjan, L’ex-animatrice télé ivoirienne, Lydia Vieira, a tiré sa révérence, mercredi, à l'aube, a appris l'AIP, de source proche de sa famille.
La "ravissante" Lydia (Viera) est décédée aux environs de 3 heures du matin, succombant ainsi à un mal pernicieux qui la rongeait depuis quelques mois. Célèbre pour son " charme et sa bonne humeur", elle fut animatrice à la télévision nationale ivoirienne (RTI), avant de s’orienter vers la communication institutionnelle.
Née il y a près de 40 ans à Likasi en République démocratique du Congo (Afrique centrale) de parents diplomates, Lydia est l’ainée d'une famille de quatre enfants.
Après des études primaires passées dans divers pays du monde, notamment au Japon, Tunisie, Cote d'Ivoire, et secondaires en France (Marseille), elle embrasse une carrière de mannequin, photo model, avant de s’intéresser à la peinture.
Elle décroche par la suite un emploi d'animatrice radio bilingue en Afrique du Sud, ce qui lui ouvre les portes d’une riche carrière dans le monde des médias et la communication institutionnelle.
Elle travaille, entre autres, pour des chaines de télévisions en Côte d'Ivoire, où sa "séduisante silhouette et son visage d’enfant, toujours souriant", sont fréquemment visibles sur le petit écran, dans les années 90, où elle présente plusieurs émissions grand public, notamment des programmes pour enfants ou de variétés musicales.
Titulaire d’un diplôme en communication à l'Ecole française des Attachés de presse (EFAP) de Paris, elle revient en Côte d’Ivoire vers la fin des années 95, où elle travaille pour diverses entreprises en qualité de chargé de communication, puis consultante auprès d’organisations du système des Nations-unis.
Depuis 2008, elle était chargée de communication au Programme national du service civique, une direction du ministère de la Jeunesse et du service civique.
Lydia Vieira, qui a glané, dans sa vie, plusieurs lauriers de concours de beauté, était aussi engagée, discrètement, dans la bienfaisance humanitaire, à travers sa participation dans les actions de certaines organisations engagées dans le sociale. Elle était mariée et mère de deux enfants.
(AIP)
La "ravissante" Lydia (Viera) est décédée aux environs de 3 heures du matin, succombant ainsi à un mal pernicieux qui la rongeait depuis quelques mois. Célèbre pour son " charme et sa bonne humeur", elle fut animatrice à la télévision nationale ivoirienne (RTI), avant de s’orienter vers la communication institutionnelle.
Née il y a près de 40 ans à Likasi en République démocratique du Congo (Afrique centrale) de parents diplomates, Lydia est l’ainée d'une famille de quatre enfants.
Après des études primaires passées dans divers pays du monde, notamment au Japon, Tunisie, Cote d'Ivoire, et secondaires en France (Marseille), elle embrasse une carrière de mannequin, photo model, avant de s’intéresser à la peinture.
Elle décroche par la suite un emploi d'animatrice radio bilingue en Afrique du Sud, ce qui lui ouvre les portes d’une riche carrière dans le monde des médias et la communication institutionnelle.
Elle travaille, entre autres, pour des chaines de télévisions en Côte d'Ivoire, où sa "séduisante silhouette et son visage d’enfant, toujours souriant", sont fréquemment visibles sur le petit écran, dans les années 90, où elle présente plusieurs émissions grand public, notamment des programmes pour enfants ou de variétés musicales.
Titulaire d’un diplôme en communication à l'Ecole française des Attachés de presse (EFAP) de Paris, elle revient en Côte d’Ivoire vers la fin des années 95, où elle travaille pour diverses entreprises en qualité de chargé de communication, puis consultante auprès d’organisations du système des Nations-unis.
Depuis 2008, elle était chargée de communication au Programme national du service civique, une direction du ministère de la Jeunesse et du service civique.
Lydia Vieira, qui a glané, dans sa vie, plusieurs lauriers de concours de beauté, était aussi engagée, discrètement, dans la bienfaisance humanitaire, à travers sa participation dans les actions de certaines organisations engagées dans le sociale. Elle était mariée et mère de deux enfants.
(AIP)
