La Refondation-SA remercie et appelle à la solidarité pour Hermann Aboa, Franck Anderson Kouassi et Norbert Zibrabi
Le mardi 6 décembre 2011, trois journalistes de Notre Voie, César Etou (Directeur général et Directeur de la publication, Didier Dépry (Secrétaire général de la Rédaction) et Boga Sivori (Chef du service politique), ont été déclarés «non coupables» et libérés par le tribunal de Première instance d’Abidjan Plateau en son audience des flagrants délits. Ils avaient été arrêtés le jeudi 24 novembre 2011, par la Police criminelle, officiellement sur instruction du Procureur de la République, pour «offense au chef de l’Etat» et pour «atteinte à l’Economie nationale ». Le mardi 29 novembre, ces trois journalistes professionnels avaient été écroués à la Maison d’Arrêt et de Correction d’Abidjan (MACA) pour «incitation au vol, au pillage et à la destruction de biens d’autrui par voie de presse».
La Refondation-SA, société éditrice de Notre Voie, exprime toute sa reconnaissance et sa gratitude aux organisations professionnelles nationales (UNJCI, GEPCI, OLPED, CIJP, JV11 et SYNAPPCI), ainsi qu’aux organisations internationales (RSF et CPJ), pour leur ferme solidarité. Elle remercie les éminents avocats qui se sont spontanément constitués pour la défense de ses journalistes. Elle adresse une particulière reconnaissance aux Ivoiriens et aux Ivoiriennes qui ont appelé de partout, d’ici et d’ailleurs, pour manifester leur soutien, ainsi qu’à tous ceux qui ont pris d’assaut le palais de justice lors du procès.
La Refondation-SA, tout en louant le courage des magistrats, reste convaincue que cette vaste solidarité a contribué à influer l’issue de cette affaire et à contrarier ceux qui ont tenté de contourner ou de violer la loi n°2004-643 du 14 décembre 2004 portant régime juridique de la Presse en Côte d’Ivoire. Elle rappelle à tous que d’autres journalistes arbitrairement détenus, à savoir Franck Anderson Kouassi, Norbert Zibrabi (prison de Boundiali) et Hermann Aboa (MACA), continuent d’attendre de notre solidarité.
Enfin, Malgré les intimidations, La Refondation-SA rassure le public et les lecteurs sur la détermination de ses journalistes à continuer de faire de Notre Voie, organe professionnel et responsable, « la Voix des Sans voix ».
Fait à Abidjan, le 15 décembre 2011
Pour La Refondation-SA
Le DG/DP
César Etou
Le mardi 6 décembre 2011, trois journalistes de Notre Voie, César Etou (Directeur général et Directeur de la publication, Didier Dépry (Secrétaire général de la Rédaction) et Boga Sivori (Chef du service politique), ont été déclarés «non coupables» et libérés par le tribunal de Première instance d’Abidjan Plateau en son audience des flagrants délits. Ils avaient été arrêtés le jeudi 24 novembre 2011, par la Police criminelle, officiellement sur instruction du Procureur de la République, pour «offense au chef de l’Etat» et pour «atteinte à l’Economie nationale ». Le mardi 29 novembre, ces trois journalistes professionnels avaient été écroués à la Maison d’Arrêt et de Correction d’Abidjan (MACA) pour «incitation au vol, au pillage et à la destruction de biens d’autrui par voie de presse».
La Refondation-SA, société éditrice de Notre Voie, exprime toute sa reconnaissance et sa gratitude aux organisations professionnelles nationales (UNJCI, GEPCI, OLPED, CIJP, JV11 et SYNAPPCI), ainsi qu’aux organisations internationales (RSF et CPJ), pour leur ferme solidarité. Elle remercie les éminents avocats qui se sont spontanément constitués pour la défense de ses journalistes. Elle adresse une particulière reconnaissance aux Ivoiriens et aux Ivoiriennes qui ont appelé de partout, d’ici et d’ailleurs, pour manifester leur soutien, ainsi qu’à tous ceux qui ont pris d’assaut le palais de justice lors du procès.
La Refondation-SA, tout en louant le courage des magistrats, reste convaincue que cette vaste solidarité a contribué à influer l’issue de cette affaire et à contrarier ceux qui ont tenté de contourner ou de violer la loi n°2004-643 du 14 décembre 2004 portant régime juridique de la Presse en Côte d’Ivoire. Elle rappelle à tous que d’autres journalistes arbitrairement détenus, à savoir Franck Anderson Kouassi, Norbert Zibrabi (prison de Boundiali) et Hermann Aboa (MACA), continuent d’attendre de notre solidarité.
Enfin, Malgré les intimidations, La Refondation-SA rassure le public et les lecteurs sur la détermination de ses journalistes à continuer de faire de Notre Voie, organe professionnel et responsable, « la Voix des Sans voix ».
Fait à Abidjan, le 15 décembre 2011
Pour La Refondation-SA
Le DG/DP
César Etou