Récemment s’est tenu à Bassam au CRFLD, un atelier de formation des collecteurs des violations des droits de l’enfant dans la presse ivoirienne à l’initiative du RICAE et de Save the Children.
Le RICAE est encore monté au créneau la semaine dernière au cours d’un atelier de formation. Cette fois, en vue de mettre en œuvre son mécanisme pour mettre un terme à la violation flagrante et quasi constante des droits de l’enfant dans la presse écrite et dans les radios de proximité. Aussi, avec le soutien de son partenaire privilégié Save the Children, le Réseau a procédé du 8 au 10 décembre dernier à la formation de collecteurs des violations des droits de l’enfant dans la presse ivoirienne. Au cours de cet atelier, les futurs collecteurs ont été successivement formés aux genres journalistiques et aux instruments juridiques qui protègent les droits de l’enfant à travers des communications de spécialistes. Le Conseil national de la presse (CNP) représenté par Mme Amoakon a fait une brillante intervention. Cette structure a intégré la Charte du RICAE et l’a introduite dans sa grille de lecture depuis son édition en 2005. Ainsi, il s’agira pour les collecteurs des cas de violations dans la presse de s’appuyer sur cette charte qui indique que pour tout écrit impliquant un enfant, il faut observer certaines règles. Notamment le bandage de ses yeux, l’abréviation de son nom à travers des initiales pour ne pas qu’il soit reconnu. Mais aussi la non indication de son lieu d’habitation et de ses parents, etc. Le président du comité d’organisation, José Stéphane Koudou a félicité les participants pour leur implication dans la cause de l’enfant à travers cette formation. La première vice-présidente du RICAE, Henriette Koko, a présidé l’atelier en l’absence du PCA, Mamadou Doumbes en mission. Celle-ci a bénéficié du soutien du patron du programme Société civile de Save the Children, Michel Eponon. Vue l’engouement des collecteurs à mieux cerner tous les contours de leur mission, un atelier de soutien est prévu dans les prochains jours afin de mettre définitivement un terme à cette situation pour le bonheur de l’enfant.
Le Secrétariat général du RICAE
Le RICAE est encore monté au créneau la semaine dernière au cours d’un atelier de formation. Cette fois, en vue de mettre en œuvre son mécanisme pour mettre un terme à la violation flagrante et quasi constante des droits de l’enfant dans la presse écrite et dans les radios de proximité. Aussi, avec le soutien de son partenaire privilégié Save the Children, le Réseau a procédé du 8 au 10 décembre dernier à la formation de collecteurs des violations des droits de l’enfant dans la presse ivoirienne. Au cours de cet atelier, les futurs collecteurs ont été successivement formés aux genres journalistiques et aux instruments juridiques qui protègent les droits de l’enfant à travers des communications de spécialistes. Le Conseil national de la presse (CNP) représenté par Mme Amoakon a fait une brillante intervention. Cette structure a intégré la Charte du RICAE et l’a introduite dans sa grille de lecture depuis son édition en 2005. Ainsi, il s’agira pour les collecteurs des cas de violations dans la presse de s’appuyer sur cette charte qui indique que pour tout écrit impliquant un enfant, il faut observer certaines règles. Notamment le bandage de ses yeux, l’abréviation de son nom à travers des initiales pour ne pas qu’il soit reconnu. Mais aussi la non indication de son lieu d’habitation et de ses parents, etc. Le président du comité d’organisation, José Stéphane Koudou a félicité les participants pour leur implication dans la cause de l’enfant à travers cette formation. La première vice-présidente du RICAE, Henriette Koko, a présidé l’atelier en l’absence du PCA, Mamadou Doumbes en mission. Celle-ci a bénéficié du soutien du patron du programme Société civile de Save the Children, Michel Eponon. Vue l’engouement des collecteurs à mieux cerner tous les contours de leur mission, un atelier de soutien est prévu dans les prochains jours afin de mettre définitivement un terme à cette situation pour le bonheur de l’enfant.
Le Secrétariat général du RICAE
