Présenter la matrice d'actions opérationnelles pour les trois prochaines années et dévoiler la nomenclature des instances dirigeantes. C'est l'objet du déjeuner de presse organisé par le Groupement des Editeurs de presse de Côte d'Ivoire (GEPCI), hier à l'hôtel Tiama au Plateau. Trois mois après son élection, Adon Amédée Assi, l'actuel président du GEPCI, a cru bon de présenter, le programme triennal de sa structure qui se décline en plusieurs activités. Au nombre de celles-ci, la création d'une structure de mutualisation des activités des entreprises de presse; l'évaluation de l'application du protocole d'accord relatif à la mise en place de la Convention collective des journalistes professionnels signée entre le Gepci et le Synappci. Ce n'est pas tout ! Il y aura également le renforcement de capacités des éditeurs sur le montage de projets bancables ; l'organisation de trois événementiels : "la Tribune du Gepci", "les journées des éditeurs" et "le dîner-gala de récompense du Gepci". Par le truchement d'une intervention qui s'apparente à un appel à une prise de conscience, Amédée Assi a engagé les éditeurs et les journalistes à « prendre l'engagement pour une presse crédible et responsable au niveau du contenu de nos journaux », tout en invitant «les journalistes à travailler en ayant pour boussole « la clause de conscience ».
L'autre sujet qui a retenu l'attention des journalistes, c'est la question de la Convention collective. « Dès le 15 janvier, nous reprendrons les discussions avec le Syndicat National des Agents de la Presse Privée de Côte d'Ivoire (SYNAPPCI), pour l'évolution du point d'indice», a-t-il révélé.Sangaré Abdoulaye, Conseiller technique, représentant le ministre de la Communication qui transmettait les encouragements de Diakité Coty, a reconnu que « le Gepci reste un maillon essentiel dans la structuration de la presse en Côte d'Ivoire ». « L'Etat ivoirien qui entend accompagner la presse vous encourage au professionnalisme, à l'esprit managérial », a-t-il rapporté en dévoilant qu'une nouvelle rotative sera offerte à Fraternité-Matin. Ce qui pourrait amoindrir le coût d'impression des autres journaux. Aussi, le ministère envisage t-il envoyer une quinzaine de journalistes en séances d'immersion en France.Quant à la nomenclature des structures dirigeantes du Gepci, Amédée Assi rassure qu'elle est le creuset de retrouvaille de toute la presse ivoirienne dans sa diversité éditoriale.
Jean- Antoine Doudou
L'autre sujet qui a retenu l'attention des journalistes, c'est la question de la Convention collective. « Dès le 15 janvier, nous reprendrons les discussions avec le Syndicat National des Agents de la Presse Privée de Côte d'Ivoire (SYNAPPCI), pour l'évolution du point d'indice», a-t-il révélé.Sangaré Abdoulaye, Conseiller technique, représentant le ministre de la Communication qui transmettait les encouragements de Diakité Coty, a reconnu que « le Gepci reste un maillon essentiel dans la structuration de la presse en Côte d'Ivoire ». « L'Etat ivoirien qui entend accompagner la presse vous encourage au professionnalisme, à l'esprit managérial », a-t-il rapporté en dévoilant qu'une nouvelle rotative sera offerte à Fraternité-Matin. Ce qui pourrait amoindrir le coût d'impression des autres journaux. Aussi, le ministère envisage t-il envoyer une quinzaine de journalistes en séances d'immersion en France.Quant à la nomenclature des structures dirigeantes du Gepci, Amédée Assi rassure qu'elle est le creuset de retrouvaille de toute la presse ivoirienne dans sa diversité éditoriale.
Jean- Antoine Doudou