Tout développement économique, social, culturel et même politique réussi repose sur une planification, une programmation bien ficelés, d’où la résurrection par le gouvernement du Plan national de développement (Pnd), après 27 ans d’inativité. A cet effet, après avoir planché pendant 3 jours sur la mouture des textes, les experts nationaux issus des différents secteurs socio-économiques de la Côte d’Ivoire ont remis finalement ‘’le document de planification stratégique’’ au ministre du Plan et du Développement, Albert Mabri Toikeusse.
C’était le lundi 26 décembre, à Nsa Hôtel de Grand Bassam. Le pionnier du Pnd était venu passer les fêtes de Noël avec les séminaristes. En guise d’encouragement et de soutien du gouvernement, Albert Mabri Toikeusse a félicité ces sommités pour leur sens du devoir. « Conscients de son importance, vous avez passé le réveillon de Noël à réfléchir sur ce document qui permettra de dégager les axes prioritaires de développement. Je suis vraiment fier de vous », a déclaré le ministre.
Avant d’ajouter que « pour sa validation définitive, il sera soumis au comité interministériel, les jours à venir ». Indispensable pour une meilleure coordination et une gestion des actions étatiques, le Pnd, selon Lanciné Diaby, directeur du plan et de la lutte contre la pauvreté, la Côte d’Ivoire s’inscrit résolument dans la voie de la bonne gouvernance et du développement durable et scientifique, abandonnés depuis belle lurette. « Le Pnd est un instrument essentiel de développement. Il met en musique toutes les politiques de croissance économique et de progrès social.
Ainsi, dans sa mise en œuvre, il sera établi, dans chaque département ministériel, un point focal devant s’assurer que les éléments contenus dans le document sont opérationnels et compatibles avec les orientations du département », a précisé M. Diaby. Notons que pour l’élaboration de ce document stratégique, les 36 ministères ont été fondus en six sectorielles. Auxquels ont été adjointes, en fonction des affinités, les entités du corps social et économique de notre pays.
KANATE AHMED
C’était le lundi 26 décembre, à Nsa Hôtel de Grand Bassam. Le pionnier du Pnd était venu passer les fêtes de Noël avec les séminaristes. En guise d’encouragement et de soutien du gouvernement, Albert Mabri Toikeusse a félicité ces sommités pour leur sens du devoir. « Conscients de son importance, vous avez passé le réveillon de Noël à réfléchir sur ce document qui permettra de dégager les axes prioritaires de développement. Je suis vraiment fier de vous », a déclaré le ministre.
Avant d’ajouter que « pour sa validation définitive, il sera soumis au comité interministériel, les jours à venir ». Indispensable pour une meilleure coordination et une gestion des actions étatiques, le Pnd, selon Lanciné Diaby, directeur du plan et de la lutte contre la pauvreté, la Côte d’Ivoire s’inscrit résolument dans la voie de la bonne gouvernance et du développement durable et scientifique, abandonnés depuis belle lurette. « Le Pnd est un instrument essentiel de développement. Il met en musique toutes les politiques de croissance économique et de progrès social.
Ainsi, dans sa mise en œuvre, il sera établi, dans chaque département ministériel, un point focal devant s’assurer que les éléments contenus dans le document sont opérationnels et compatibles avec les orientations du département », a précisé M. Diaby. Notons que pour l’élaboration de ce document stratégique, les 36 ministères ont été fondus en six sectorielles. Auxquels ont été adjointes, en fonction des affinités, les entités du corps social et économique de notre pays.
KANATE AHMED
