L’Etat vient de redonner le sourire aux paysans des régions des Savanes, du Bandama et du Zanzan.
Un gros cadeau de fin d’année aux petits producteurs de maraîchers dans les régions des Savanes, du Bandama et du Zanzan. L’Etat vient de leur octroyer un financement de 20 milliards de Fcfa sur 5 ans dans le cadre de la mise en œuvre des projets de réhabilitation agricole et de réduction de la pauvreté. Puisque cette enveloppe prend également en compte les couches les plus défavorisées (les femmes et les jeunes). Pour la réussite de cette opération, Siaka Coulibaly Minayaha, directeur de cabinet du ministre de l’Agriculture, a procédé, jeudi dernier, à Bouaké, à la mise en place du comité d’orientation et de pilotage. Selon lui, c’est en janvier 2012 que débutera les premiers projets. L’objectif est de contribuer, à terme, à l’amélioration des revenus des populations des zones rurales. Cela se traduira, a-t-il avancé, sur le terrain en acte lorsque les populations arriveront elles-mêmes à produire pour leur autoconsommation et pourront en même temps dégager une surproduction qui peut être vendue dans les zones urbaines. Au dire de M. Coulibaly, le gouvernement entend mettre en place une chaîne de valeur depuis la production jusqu’à la consommation en passant par la commercialisation et la conservation. Il reste convaincu que ces actions permettront d’offrir de nombreux emplois aux femmes et aux jeunes. Le représentant a rassuré que des financements additionnels seront mobilisés en cas de réussite sur le terrain et surtout avec les fonds générés. En clair, les paysans pourront s’autofinancer pour pérenniser les différents projets. Notons que, pour la mise en œuvre de ce projet de réhabilitation agricole et de réduction de la pauvreté, sont impliqués tous les ministères techniques.
Denis Koné à Bouaké
Un gros cadeau de fin d’année aux petits producteurs de maraîchers dans les régions des Savanes, du Bandama et du Zanzan. L’Etat vient de leur octroyer un financement de 20 milliards de Fcfa sur 5 ans dans le cadre de la mise en œuvre des projets de réhabilitation agricole et de réduction de la pauvreté. Puisque cette enveloppe prend également en compte les couches les plus défavorisées (les femmes et les jeunes). Pour la réussite de cette opération, Siaka Coulibaly Minayaha, directeur de cabinet du ministre de l’Agriculture, a procédé, jeudi dernier, à Bouaké, à la mise en place du comité d’orientation et de pilotage. Selon lui, c’est en janvier 2012 que débutera les premiers projets. L’objectif est de contribuer, à terme, à l’amélioration des revenus des populations des zones rurales. Cela se traduira, a-t-il avancé, sur le terrain en acte lorsque les populations arriveront elles-mêmes à produire pour leur autoconsommation et pourront en même temps dégager une surproduction qui peut être vendue dans les zones urbaines. Au dire de M. Coulibaly, le gouvernement entend mettre en place une chaîne de valeur depuis la production jusqu’à la consommation en passant par la commercialisation et la conservation. Il reste convaincu que ces actions permettront d’offrir de nombreux emplois aux femmes et aux jeunes. Le représentant a rassuré que des financements additionnels seront mobilisés en cas de réussite sur le terrain et surtout avec les fonds générés. En clair, les paysans pourront s’autofinancer pour pérenniser les différents projets. Notons que, pour la mise en œuvre de ce projet de réhabilitation agricole et de réduction de la pauvreté, sont impliqués tous les ministères techniques.
Denis Koné à Bouaké