Comme tous les réveillons à travers le monde, de l’édition 2011 de la Saint-Sylvestre à Abidjan, a fait son lot de victimes. Les pompiers ont dressé le bilan après cette nuit festive.
Un (1) mort et 52 victimes, tel est le bilan fait après le réveillon de la Saint-Sylvestre par le commandant Karamoko Vadiama, chef du bureau des opérations du groupement des sapeurs-pompiers militaires de la caserne de l’Indénié. Ce sont douze (12) accidents de circulation, une alerte motivée, deux (2) feux de chambre l’un aux Deux-Plateaux, derrière le Sococé à 00h07 et l’autre à Marcory non loin du boulevard Valery Giscard d’Estaing à 00h39 qui ont été les ‘’choux gras’’ des pompiers pendant toute cette nuit festive. C’est à Yamoussoukro en face de la basilique qu’un accident de la circulation s’est produit au petit matin du 1er janvier faisant un mort sur-le- champ. A Abidjan, lors des feux d’artifices organisés par le District, deux blessés ont été enregistrés dont un qui a eu la jambe ouverte par une plaie profonde après une chute, quand l’autre plus chanceux a été victime d’une intoxication de gaz des feux d’artifices. Dans la commune du Plateau non loin du commandement supérieur de la gendarmerie, un accident de circulation s’est produit à 3heures 27 minutes avec les bouchons. Les pompiers sont arrivés en retard sur le site après que les gens aient trouvé des ‘’solutions’’. C’est ce que les pompiers appellent dans leur jargon‘’ les alertes motivées’’. Comparativement au réveillon de Noël avec 52 interventions, les pompiers ont, quelque peu, chômé. Si les hommes du colonel Adama Coulibaly, commandant du groupement des sapeurs-pompiers militaires n’ont pas eu fort à faire lors de ces deux réveillons de fin d’année, c’est parce que les campagnes de sensibilisation de l’Oser (Office de sécurité routière) et autres ont porté, enfin, leurs fruits tant attendus depuis des lustres.
Un incendie fait 6 morts à Abobo
Ce bilan présenté par les sapeurs pompiers à été alourdi par un incendie à Abobo. Où 2012 a été accueilli dans les larmes par les riverains du sous-quartier Avocatier-hôtel du centre. Six (6) des leurs ont trouvé la mort suite à un incendie survenu à 23h47mn le samedi 31 décembre 2011. La fête y a tout simplement été gâchée par cet incendie qui a semé deuil et désolation dans la nuit du samedi 31 décembre 2011 au dimanche 1er janvier 2012. Selon un bilan provisoire recueilli sur les lieux du drame, six (6) personnes au total ont péri. Dont une femme et trois de ses enfants qui se trouvaient dans la maison lors du sinistre. Si l’on en croit des riverains, cet incendie a été provoqué par des éclats de pétards. « Des pétards sont tombés dans des maisons en baraque où des bougies étaient allumées. Le contact a été explosif jusqu’à créer ce drame que nous déplorons actuellement », ont témoigné plusieurs riverains. Par solidarité avec les sinistrés, les programmes de fête qui avaient démarré ont été annulés. Et des invités dont les proches ont été épargnés par le feu ont dû se trouver d’autres endroits pour faire la fête. Informé, le maire de la commune, Adamma Toungara, ministre des Mines et de l’Energie, a dépêché une équipe de collaborateurs dont Yves Doumbia, Chargé de communication de la mairie pour exprimer sa compassion aux sinistrés qui sont victimes du non respect de la consigne du chef de l’Etat relative à l’interdiction des pétards.
Un (1) mort et 52 victimes, tel est le bilan fait après le réveillon de la Saint-Sylvestre par le commandant Karamoko Vadiama, chef du bureau des opérations du groupement des sapeurs-pompiers militaires de la caserne de l’Indénié. Ce sont douze (12) accidents de circulation, une alerte motivée, deux (2) feux de chambre l’un aux Deux-Plateaux, derrière le Sococé à 00h07 et l’autre à Marcory non loin du boulevard Valery Giscard d’Estaing à 00h39 qui ont été les ‘’choux gras’’ des pompiers pendant toute cette nuit festive. C’est à Yamoussoukro en face de la basilique qu’un accident de la circulation s’est produit au petit matin du 1er janvier faisant un mort sur-le- champ. A Abidjan, lors des feux d’artifices organisés par le District, deux blessés ont été enregistrés dont un qui a eu la jambe ouverte par une plaie profonde après une chute, quand l’autre plus chanceux a été victime d’une intoxication de gaz des feux d’artifices. Dans la commune du Plateau non loin du commandement supérieur de la gendarmerie, un accident de circulation s’est produit à 3heures 27 minutes avec les bouchons. Les pompiers sont arrivés en retard sur le site après que les gens aient trouvé des ‘’solutions’’. C’est ce que les pompiers appellent dans leur jargon‘’ les alertes motivées’’. Comparativement au réveillon de Noël avec 52 interventions, les pompiers ont, quelque peu, chômé. Si les hommes du colonel Adama Coulibaly, commandant du groupement des sapeurs-pompiers militaires n’ont pas eu fort à faire lors de ces deux réveillons de fin d’année, c’est parce que les campagnes de sensibilisation de l’Oser (Office de sécurité routière) et autres ont porté, enfin, leurs fruits tant attendus depuis des lustres.
Un incendie fait 6 morts à Abobo
Ce bilan présenté par les sapeurs pompiers à été alourdi par un incendie à Abobo. Où 2012 a été accueilli dans les larmes par les riverains du sous-quartier Avocatier-hôtel du centre. Six (6) des leurs ont trouvé la mort suite à un incendie survenu à 23h47mn le samedi 31 décembre 2011. La fête y a tout simplement été gâchée par cet incendie qui a semé deuil et désolation dans la nuit du samedi 31 décembre 2011 au dimanche 1er janvier 2012. Selon un bilan provisoire recueilli sur les lieux du drame, six (6) personnes au total ont péri. Dont une femme et trois de ses enfants qui se trouvaient dans la maison lors du sinistre. Si l’on en croit des riverains, cet incendie a été provoqué par des éclats de pétards. « Des pétards sont tombés dans des maisons en baraque où des bougies étaient allumées. Le contact a été explosif jusqu’à créer ce drame que nous déplorons actuellement », ont témoigné plusieurs riverains. Par solidarité avec les sinistrés, les programmes de fête qui avaient démarré ont été annulés. Et des invités dont les proches ont été épargnés par le feu ont dû se trouver d’autres endroits pour faire la fête. Informé, le maire de la commune, Adamma Toungara, ministre des Mines et de l’Energie, a dépêché une équipe de collaborateurs dont Yves Doumbia, Chargé de communication de la mairie pour exprimer sa compassion aux sinistrés qui sont victimes du non respect de la consigne du chef de l’Etat relative à l’interdiction des pétards.