Bongouanou, 06 janv (AIP)- Un jeune planteur originaire du village d’Ahorosso dans la commune de Bongouanou (centre-est, région du N'zi), souffrant d’une hernie étranglée "compliquée", a été pu être sauvé, in extremis, grâce une intervention chirurgicale, financée par la député de la localité, Amah Marie Téhoua.
Attahi Koffi âgé de 25 ans était déjà dans une phase critique du mal qu'il traine depuis des années, nécessitant une opération urgente, quand il est admis, le 09 décembre, au service de chirurgie de l’hôpital général de Bongouanou.
Selon le chef de ce service, Dr Kouassi Brou, "il ne pouvait pas vivre au-delà de 48 heures car son hernie connaissait de sérieuses complications". "Une partie de l’intestin grêle et le testicule droit étaient, en effet, totalement décomposés causant l’excrétion de matières putrides et sanguinolentes", explique le practicien.
Le jeune planteur va cependant rester, jusqu’ au 11 décembre, sans le moindre soin faute d’argent; ce qui emmène ses parents à vouloir le ramener au village pour le confier à des guérisseurs traditionnels.
Informée de cette triste situation, Mme Amah Téhoua dépêche un de ses collaborateurs auprès du malade, avec une enveloppe, pour une prise en charge totale des soin.
L’opération effectuée le même jour, permet l'ablation des parties infectées de l’intestin et du testicule du malade, le sauvant ainsi d’une mort certaine.
(aip)
Attahi Koffi âgé de 25 ans était déjà dans une phase critique du mal qu'il traine depuis des années, nécessitant une opération urgente, quand il est admis, le 09 décembre, au service de chirurgie de l’hôpital général de Bongouanou.
Selon le chef de ce service, Dr Kouassi Brou, "il ne pouvait pas vivre au-delà de 48 heures car son hernie connaissait de sérieuses complications". "Une partie de l’intestin grêle et le testicule droit étaient, en effet, totalement décomposés causant l’excrétion de matières putrides et sanguinolentes", explique le practicien.
Le jeune planteur va cependant rester, jusqu’ au 11 décembre, sans le moindre soin faute d’argent; ce qui emmène ses parents à vouloir le ramener au village pour le confier à des guérisseurs traditionnels.
Informée de cette triste situation, Mme Amah Téhoua dépêche un de ses collaborateurs auprès du malade, avec une enveloppe, pour une prise en charge totale des soin.
L’opération effectuée le même jour, permet l'ablation des parties infectées de l’intestin et du testicule du malade, le sauvant ainsi d’une mort certaine.
(aip)
