La direction de l`égalité et de la promotion du genre sur instruction de madame la ministre a tenu le vendredi 13 Janvier 2012 une conference de presse sur la recrudescence des viols. Une déclaration a finalisé la rencontre:
" Mesdames et Messieurs de la presse nationale et internationale, le Ministère de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, dirigé par le Dr Raymonde Goudou Coffie, vous a fait appel pour attirer votre attention sur les cas des violences sexuelles spécifiquement les viols qui, ces derniers temps ont évolué pour atteindre une forme pernicieuse qui consiste à violer les enfants et les bébés de moins d’un an. Cette pratique a connu une expansion aussi bien à Abidjan qu’à l’intérieur du pays. Elle nécessite d’être prise au sérieux vu sa gravité. Nous voulons à travers vos différents organes interpeller toutes la communauté nationale et internationale sur le fait que depuis plusieurs années, les cas de violences faites aux femmes et aux enfants spécifiquement les viols font l’objet de sensibilisations actives et massives de la part du gouvernement et des organisations de la société civile avec l’appui des partenaires au développement dans l’optique que notre société vivent mieux, débarrassée de ce fléau dans un contexte de paix, de justice, de réconciliation prôné depuis belle lurette.
Nous notons aujourd’hui avec beaucoup d’amertumes que de nombreuses personnes veulent ne rien entendre de tout ce qui est dit et fait dans l’espoir de mettre fin à des pratiques ignobles et dégradantes que sont les violences sexuelles spécifiquement le viol.
C’est au jour le jour que nos services sont saisis de ces cas qui choquent l’entendement des plus septiques. Les viols d’enfants, de bébés : une petite fille de six violée par un homme de 60 ans, un enfant de deux ans et demis violée par un adulte de 32 ans et j’en passe. Comment comprendre cela ?
Des cas récents nous ont été spécifiés pour lesquels nous exhortons les victimes et leurs parents à privilégier les voies légales de réparation de ces injustices. Nos leur recommandons de se rendre dans les instants qui suivent les viols, dans un centre médical et de se référer par la suite à la police ou la gendarmerie et de saisir les services de protection du Ministère de la Famille, de la Femme et de l’Enfant pour qu’une prise en charge appropriée soit faite et que les conseils des experts leur soient profitables.
Nous sommes aujourd’hui en face d’une situation qui oblige à prendre des initiatives diligentes pour que réparation soit faite dans les plus bref délais.
Le MFFE appelle à la vigilance des différents acteurs : magistrats, officiers de la police et de la gendarmerie, les services du MFFE, travailleurs sociaux, défenseurs des droits de l’homme, associations de la société civile bref, toutes les forces vives de la nation l’ampleur que prennent les cas de viols et leur incidences pernicieuses et les interpelle sur leurs responsabilités sur le fait de ne pas banaliser les réponses à apporter à cette situation. Cela n’arrive pas qu’aux autres, chacun devra être vigilant. Quant à vous chers amis de la presse, nous vous recommandons de traiter ces cas de violences à la une et non comme des faits divers.
Le MFFE met donc en alerte les partenaires au développement, les organisations de la société civile, les défenseurs des droits de l’homme, les associations et organisations féminines pour une mobilisation autour des cas de viols pour que prenne fin ces pratiques ignobles à l’égard des femmes, pour que cesse, les viols et leur impunité.
Le MFFE déclare à partir de cette d’aujourd’hui vendredi 13 Janvier 2012. La tolérance ZERO à l’endroit des viols et de leur impunité.
Désormais le MFFE à travers la DEPG et le Comité se constituera partie civile."
" Mesdames et Messieurs de la presse nationale et internationale, le Ministère de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, dirigé par le Dr Raymonde Goudou Coffie, vous a fait appel pour attirer votre attention sur les cas des violences sexuelles spécifiquement les viols qui, ces derniers temps ont évolué pour atteindre une forme pernicieuse qui consiste à violer les enfants et les bébés de moins d’un an. Cette pratique a connu une expansion aussi bien à Abidjan qu’à l’intérieur du pays. Elle nécessite d’être prise au sérieux vu sa gravité. Nous voulons à travers vos différents organes interpeller toutes la communauté nationale et internationale sur le fait que depuis plusieurs années, les cas de violences faites aux femmes et aux enfants spécifiquement les viols font l’objet de sensibilisations actives et massives de la part du gouvernement et des organisations de la société civile avec l’appui des partenaires au développement dans l’optique que notre société vivent mieux, débarrassée de ce fléau dans un contexte de paix, de justice, de réconciliation prôné depuis belle lurette.
Nous notons aujourd’hui avec beaucoup d’amertumes que de nombreuses personnes veulent ne rien entendre de tout ce qui est dit et fait dans l’espoir de mettre fin à des pratiques ignobles et dégradantes que sont les violences sexuelles spécifiquement le viol.
C’est au jour le jour que nos services sont saisis de ces cas qui choquent l’entendement des plus septiques. Les viols d’enfants, de bébés : une petite fille de six violée par un homme de 60 ans, un enfant de deux ans et demis violée par un adulte de 32 ans et j’en passe. Comment comprendre cela ?
Des cas récents nous ont été spécifiés pour lesquels nous exhortons les victimes et leurs parents à privilégier les voies légales de réparation de ces injustices. Nos leur recommandons de se rendre dans les instants qui suivent les viols, dans un centre médical et de se référer par la suite à la police ou la gendarmerie et de saisir les services de protection du Ministère de la Famille, de la Femme et de l’Enfant pour qu’une prise en charge appropriée soit faite et que les conseils des experts leur soient profitables.
Nous sommes aujourd’hui en face d’une situation qui oblige à prendre des initiatives diligentes pour que réparation soit faite dans les plus bref délais.
Le MFFE appelle à la vigilance des différents acteurs : magistrats, officiers de la police et de la gendarmerie, les services du MFFE, travailleurs sociaux, défenseurs des droits de l’homme, associations de la société civile bref, toutes les forces vives de la nation l’ampleur que prennent les cas de viols et leur incidences pernicieuses et les interpelle sur leurs responsabilités sur le fait de ne pas banaliser les réponses à apporter à cette situation. Cela n’arrive pas qu’aux autres, chacun devra être vigilant. Quant à vous chers amis de la presse, nous vous recommandons de traiter ces cas de violences à la une et non comme des faits divers.
Le MFFE met donc en alerte les partenaires au développement, les organisations de la société civile, les défenseurs des droits de l’homme, les associations et organisations féminines pour une mobilisation autour des cas de viols pour que prenne fin ces pratiques ignobles à l’égard des femmes, pour que cesse, les viols et leur impunité.
Le MFFE déclare à partir de cette d’aujourd’hui vendredi 13 Janvier 2012. La tolérance ZERO à l’endroit des viols et de leur impunité.
Désormais le MFFE à travers la DEPG et le Comité se constituera partie civile."