2012 ou rien. C’est en tous cas le mot d’ordre du Syndicat national des formateurs de l’enseignement technique et de la formation professionnelle de Côte d’Ivoire (Synafetpci). Ce syndicat qui officiellement depuis le 14 janvier dernier a appelé ses militants à être mobilisés pour que cette année 2012 soit l’aboutissement de la lutte du profil de carrière. Samedi dernier, au siège de ce syndicat à Yopougon, Abonga Jean Yves Koutouan, le secrétaire général de cette organisation syndicale a indiqué que son premier combat à mener cette année pour achever tout le processus du profil de carrière se résume à six revendications à satisfaire rapidement par le régime Ouattara.
Ce sont a-t-il énuméré le paiement intégral des 50% restants du reclassement indiciaire, le paiement du rappel lié aux autres 50% depuis novembre 2009, la prise en compte des omis et des mal reclassés, la signature de tous les actes de reclassement (arrêtés de nominations au grade A3, décisions d’attente en vue de la signature du décret de nomination au grade A4). Il s’agit également à l’entendre de l’éxécution de la formation des professeurs de lycée professionnel et des professeurs licenciés, de la proclamation des résultats du concours des inspecteurs pédagogiques de grade A4, de la mise en place de la commission interministérielle chargée du reclassement aux grades A5, A6 et A7. «Face à ces revendications, le Synafetp-ci attend des réponses précises du gouvernement au plus tard fin mars 2012. Le second combat à mener est relatif à la revalorisation de nos salaires par la bonification indiciaire et par l’instauration des indemnités spécifiques à notre corporation.
Le troisième combat à mener est relatif à la crise à la Mugefci. Bientôt en collaboration avec les syndicats frères, nous envisageons engager des réformes profondes pour le bien-être des fonctionnaires mutualistes» a-t-il lancé. Une des priorités de ce syndicat à l’en croire, ce sera également la modernisation du Synafetpci. «C’est pour annoncer tous ces changements qualitatifs que nous organisons du 16 janvier au 30 mars 2012, une tournée nationale dans toutes nos bases et dans toutes les structures du ministère de tutelle. Dans ce cadre, nous exigeons le paiement de la dernière tranche 2006-2008 du Cnpra pour nos camarades en ex-zone CNO. Nous exigeons aussi que les indemnités des examens et des concours soient payées dans les plus brefs délais» a-t-il conclu.
Charles Bédé
Ce sont a-t-il énuméré le paiement intégral des 50% restants du reclassement indiciaire, le paiement du rappel lié aux autres 50% depuis novembre 2009, la prise en compte des omis et des mal reclassés, la signature de tous les actes de reclassement (arrêtés de nominations au grade A3, décisions d’attente en vue de la signature du décret de nomination au grade A4). Il s’agit également à l’entendre de l’éxécution de la formation des professeurs de lycée professionnel et des professeurs licenciés, de la proclamation des résultats du concours des inspecteurs pédagogiques de grade A4, de la mise en place de la commission interministérielle chargée du reclassement aux grades A5, A6 et A7. «Face à ces revendications, le Synafetp-ci attend des réponses précises du gouvernement au plus tard fin mars 2012. Le second combat à mener est relatif à la revalorisation de nos salaires par la bonification indiciaire et par l’instauration des indemnités spécifiques à notre corporation.
Le troisième combat à mener est relatif à la crise à la Mugefci. Bientôt en collaboration avec les syndicats frères, nous envisageons engager des réformes profondes pour le bien-être des fonctionnaires mutualistes» a-t-il lancé. Une des priorités de ce syndicat à l’en croire, ce sera également la modernisation du Synafetpci. «C’est pour annoncer tous ces changements qualitatifs que nous organisons du 16 janvier au 30 mars 2012, une tournée nationale dans toutes nos bases et dans toutes les structures du ministère de tutelle. Dans ce cadre, nous exigeons le paiement de la dernière tranche 2006-2008 du Cnpra pour nos camarades en ex-zone CNO. Nous exigeons aussi que les indemnités des examens et des concours soient payées dans les plus brefs délais» a-t-il conclu.
Charles Bédé