La directrice de l’égalité et de la promotion du genre, Kaba Yaya Fofana, est montée au créneau vendredi au cours d’un point de presse, pour dénoncer des cas graves de crimes sexuels commis sur un bébé de deux ans et demi et sur une fillette de quatre ans. Ces viols ont été commis mardi et mercredi par un homme de 32 ans et un autre de 60 ans. Kaba Yaya a également signalé d’autres cas d’agressions sexuelles aussi bien à Abidjan qu’à l’intérieur du pays notamment celle d’une fillette de moins d’un an ainsi que l’arrestation de certains
violeurs dont l’homme de 32 ans qui a été déféré à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (Maca). La directrice de la promotion du genre a indiqué qu’une tolérance zéro est déclarée à l’endroit des viols et de leur impunité. « En moins d’une semaine, nous avons été saisis
de plusieurs cas. Une victime de 11 ans est même internée dans un centre de santé actuellement. Elle a perdu l’usage de ses jambes. Ces situations nous obligent à prendre des initiatives diligentes pour que réparations soient faites dans les plus brefs délais », a jugé Kaba Yaya Fofana. Elle a rassuré les familles que son département se portera partie civile pour tous les cas de viols rapportés. « Nous appelons à la vigilance des magistrats, des officiers de police, de la gendarmerie et des travailleurs sociaux face à l’ampleur que prennent les cas de viols et leurs incidences pernicieuses. Nous demandons aux parents dans les instants qui suivent les viols de se rendre dans un centre médical et de se référer à la police ou à la gendarmerie et de saisir les services de protection du ministère », a interpellé la directrice.
N. Marie
violeurs dont l’homme de 32 ans qui a été déféré à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (Maca). La directrice de la promotion du genre a indiqué qu’une tolérance zéro est déclarée à l’endroit des viols et de leur impunité. « En moins d’une semaine, nous avons été saisis
de plusieurs cas. Une victime de 11 ans est même internée dans un centre de santé actuellement. Elle a perdu l’usage de ses jambes. Ces situations nous obligent à prendre des initiatives diligentes pour que réparations soient faites dans les plus brefs délais », a jugé Kaba Yaya Fofana. Elle a rassuré les familles que son département se portera partie civile pour tous les cas de viols rapportés. « Nous appelons à la vigilance des magistrats, des officiers de police, de la gendarmerie et des travailleurs sociaux face à l’ampleur que prennent les cas de viols et leurs incidences pernicieuses. Nous demandons aux parents dans les instants qui suivent les viols de se rendre dans un centre médical et de se référer à la police ou à la gendarmerie et de saisir les services de protection du ministère », a interpellé la directrice.
N. Marie