Il est 16 h 23, le Boeing portant le numéro 90003 frappé du drapeau américain et sur lequel on peut lire ‘’United States of America’’ atterrit sur le tarmac de l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny. Annoncée à Abidjan dans l’après midi d’hier, la secrétaire d’Etat américaine, Hillary Rodham Clinton venait ainsi de fouler le sol ivoirien pour sa première visite depuis la fin de la meurtrière crise post-électorale. Armes au poing, les soldats de la garde républicaine déployés en nombre impressionnant à l’aéroport, les éléments des forces spéciales et les gendarmes ont veillé au grain.
En appui aux forces ivoiriennes, les soldats américains ont fait montre de leur vigilance accrue pour la sécurité de l’ancienne première dame des USA. Les nombreux journalistes et photographes qui couvraient l’évènement ont fait l’objet d’un contrôle serré avant d’avoir accès au pavillon d’honneur. Les appareils des photographes, les effets des journalistes passés au scanner, ont été encore soumis au flair d’un berger allemand pendant plus d’une vingtaine de minutes, pour certainement plus d’assurance.
Les agents de la sécurité américaine, on le voit, ne voulaient pas être surpris par un mauvais coup et n’ont pas fait les choses à moitié. Même au pavillon d’honneur, les reporters n’étaient pas au bout de leur peine. En dehors des autorités venues pour l’accueil de l’hôte de marque de la Côte d’Ivoire, personne d’autre n’était autorisé à accéder au tarmac. C’est à une distance respectable que les hommes de médias ont assisté à la descente de la secrétaire d’Etat des USA de l’avion.
Venue de Monrovia où elle a assisté à l’investiture de la présidente du Libéria, Ellen Johnson Sirleaf, Hillary Clinton a été accueillie au bas de l’échelle de coupée par le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, Daniel Kablan Duncan. Le patron de la diplomatie ivoirienne était accompagné du ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur, Hamed Bakayoko, de la grande chancelière Henriette Dagri Diabaté, des ministres de l’Education nationale, Kandia Camara, de la Santé, N’dri Yoman, du gouverneur du district d’Abidjan, Beugré Mambé…
Après avoir salué les autorités et les chefs militaires, notamment le chef d’état-major général des FRCI, Soumaïla Bakayoko, le commandant supérieur de la gendarmerie, Gervais Kouassi et le directeur général de la police, Brindou M’bia, l’émissaire du président américain, Barack Obama, a pris place dans son véhicule de commandement sans faire de déclaration. C’est avec un long cortège qu’elle a pris la direction de la ville d’Abidjan. Ses valises déposées sur les bords de la lagune ébrié, l’ancienne sénatrice de l’Etat de New York a rendez-vous aujourd’hui, avec le président ivoirien, Alassane Ouattara pour un tête-à-tête.
Lacina Ouattara
En appui aux forces ivoiriennes, les soldats américains ont fait montre de leur vigilance accrue pour la sécurité de l’ancienne première dame des USA. Les nombreux journalistes et photographes qui couvraient l’évènement ont fait l’objet d’un contrôle serré avant d’avoir accès au pavillon d’honneur. Les appareils des photographes, les effets des journalistes passés au scanner, ont été encore soumis au flair d’un berger allemand pendant plus d’une vingtaine de minutes, pour certainement plus d’assurance.
Les agents de la sécurité américaine, on le voit, ne voulaient pas être surpris par un mauvais coup et n’ont pas fait les choses à moitié. Même au pavillon d’honneur, les reporters n’étaient pas au bout de leur peine. En dehors des autorités venues pour l’accueil de l’hôte de marque de la Côte d’Ivoire, personne d’autre n’était autorisé à accéder au tarmac. C’est à une distance respectable que les hommes de médias ont assisté à la descente de la secrétaire d’Etat des USA de l’avion.
Venue de Monrovia où elle a assisté à l’investiture de la présidente du Libéria, Ellen Johnson Sirleaf, Hillary Clinton a été accueillie au bas de l’échelle de coupée par le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, Daniel Kablan Duncan. Le patron de la diplomatie ivoirienne était accompagné du ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur, Hamed Bakayoko, de la grande chancelière Henriette Dagri Diabaté, des ministres de l’Education nationale, Kandia Camara, de la Santé, N’dri Yoman, du gouverneur du district d’Abidjan, Beugré Mambé…
Après avoir salué les autorités et les chefs militaires, notamment le chef d’état-major général des FRCI, Soumaïla Bakayoko, le commandant supérieur de la gendarmerie, Gervais Kouassi et le directeur général de la police, Brindou M’bia, l’émissaire du président américain, Barack Obama, a pris place dans son véhicule de commandement sans faire de déclaration. C’est avec un long cortège qu’elle a pris la direction de la ville d’Abidjan. Ses valises déposées sur les bords de la lagune ébrié, l’ancienne sénatrice de l’Etat de New York a rendez-vous aujourd’hui, avec le président ivoirien, Alassane Ouattara pour un tête-à-tête.
Lacina Ouattara
