l Pour cette investiture, les services de sécurité et de protocole étaient constamment sur la corde raide. Car ce sont au total cinq chefs d’Etat et autant de Premiers ministres et deux vice-présidents qui étaient présents à cette cérémonie.
l Avec le président Alassane Ouattara, la secrétaire d’Etat Hilary Clinton il faut citer les présidents Ernest Bai Kroma de la Sierra Leone, Alpha Condé de la Guinée Conakry, Yayi Boni du Benin et Abdoulaye Wade du Sénégal qui ont effectué le voyage de Monrovia. Outre ces chefs d’Etat, les Premiers ministres de la Namibie, du Rwanda, du Niger et de l’Angola étaient présents.
l Le président Yayi Boni du Benin et le Premier ministre nigérien sont arrivés pratiquement à la fin de la prestation de serment. Mais ont pu écouter le discours d’investiture de la présidente Ellen Sirleaf.
l Les leaders de l’opposition, le candidat malheureux de l’élection présidentielle Tobman et son colistier Georges Weah étaient présents à la cérémonie d’investiture.
l Au cours de cette cérémonie, la question a été posée aux députés libériens comme le souhaite la tradition, s’ils reconnaissaient Sirleaf Johnson comme leur présidente. Sous la supervision du speaker (président de l’Assemblée nationale), Jenekai Alex Tyler, les élus de la nation libérienne ont répondu par l’affirmatif.
l Le service de sécurité de la présidence de la République de Côte d’Ivoire dirigé par le lieutenant-colonel Jean-Hubert Ouassenan était au four et au moulin pour s’assurer que toutes les mesures étaient prises pour assurer la sécurité du chef de l’Etat à Monrovia. Sous la supervision de l’ambassadeur de Côte d’Ivoire au Liberia, SEM. Soro Kapiélétien.
l La garde rapprochée de Ouattara aime se faire respecter. Un élément du service de sécurité de la présidence de la République du Liberia qui ne le savait pas, l’a appris à ses dépens. Il a voulu s’interposer au moment où deux éléments de la garde rapprochée du président de la République Côte d’Ivoire voulaient monter sur le podium où étaient installés les officiels. Mal lui en a pris. Il a tout simplement «trôlé» comme on le dit chez nous.
l Avec le président Alassane Ouattara, la secrétaire d’Etat Hilary Clinton il faut citer les présidents Ernest Bai Kroma de la Sierra Leone, Alpha Condé de la Guinée Conakry, Yayi Boni du Benin et Abdoulaye Wade du Sénégal qui ont effectué le voyage de Monrovia. Outre ces chefs d’Etat, les Premiers ministres de la Namibie, du Rwanda, du Niger et de l’Angola étaient présents.
l Le président Yayi Boni du Benin et le Premier ministre nigérien sont arrivés pratiquement à la fin de la prestation de serment. Mais ont pu écouter le discours d’investiture de la présidente Ellen Sirleaf.
l Les leaders de l’opposition, le candidat malheureux de l’élection présidentielle Tobman et son colistier Georges Weah étaient présents à la cérémonie d’investiture.
l Au cours de cette cérémonie, la question a été posée aux députés libériens comme le souhaite la tradition, s’ils reconnaissaient Sirleaf Johnson comme leur présidente. Sous la supervision du speaker (président de l’Assemblée nationale), Jenekai Alex Tyler, les élus de la nation libérienne ont répondu par l’affirmatif.
l Le service de sécurité de la présidence de la République de Côte d’Ivoire dirigé par le lieutenant-colonel Jean-Hubert Ouassenan était au four et au moulin pour s’assurer que toutes les mesures étaient prises pour assurer la sécurité du chef de l’Etat à Monrovia. Sous la supervision de l’ambassadeur de Côte d’Ivoire au Liberia, SEM. Soro Kapiélétien.
l La garde rapprochée de Ouattara aime se faire respecter. Un élément du service de sécurité de la présidence de la République du Liberia qui ne le savait pas, l’a appris à ses dépens. Il a voulu s’interposer au moment où deux éléments de la garde rapprochée du président de la République Côte d’Ivoire voulaient monter sur le podium où étaient installés les officiels. Mal lui en a pris. Il a tout simplement «trôlé» comme on le dit chez nous.