A partir du samedi prochain, tous les regards seront tournés vers le Gabon et la Guinée Equatoriale où se déroule la Coupe d’Afrique des Nations de Football. Pendant trois semaines, la fête du ballon rond va déchaîner toutes les passions et catalyser les énergies continentales. Chacune des nations participantes aura à cœur de remporter le prestigieux trophée africain.
Naturellement, nos cœurs battront à l’unisson pour nos Eléphants qui vont briguer leur deuxième laurier après celui remporté de haute lutte au Sénégal en 1992, avec les Youssouf Falikou Fofana, Abdoulaye Traoré « Ben Badi », Gadji Céli, Gouaméné Alain et bien d’autres footballeurs racés. 20 ans après le sacre de Dakar, on se met à rêver. En 1992, Alassane Ouattara était Premier ministre, on a gagné la coupe. En 2012, il occupe la Magistrature Suprême. L’espoir se met de nouveau en branle. Les signes et les signaux d’une nouvelle victoire se dessinent-ils ? Le présage est sûrement bon.
Dans un vaste élan de solidarité et de fraternité retrouvée, les Ivoiriens se sont rangés derrière le Président de la République, son Premier ministre, son gouvernement et la Fédération Ivoirienne de Football, pour accompagner Didier Drogba et ses coéquipiers dans la campagne africaine. Guillaume Soro et ses ministres ont mobilisé la somme de 150 millions, en renonçant à un mois de salaire, pour impulser une dynamique de taille au soutien pour les Eléphants. On ne le dira jamais assez ! La Côte d’Ivoire qui sort de longues années d’antagonismes et d’une crise postélectorale qui a failli lessiver voire détruire l’unité nationale, a besoin de remporter la coupe, pour ressouder son tissu social, pour reprendre la marche vers la prospérité et la démocratie.
Sans tomber dans l’euphorie et le triomphalisme de mauvais aloi, il faut dire que le triomphe est possible au Gabon et en Guinée Equatoriale. Rarement, un peuple n’a connu uniquement que l’effroi sans fin. Généralement, après les temps d’incertitude, de doute et d’errance, vient toujours et inéluctablement le temps de l’espoir. Ne sommes nous pas « la terre bénie de Dieu » ? La coupe est à notre portée. Il suffit simplement aux Eléphants de barrir
Naturellement, nos cœurs battront à l’unisson pour nos Eléphants qui vont briguer leur deuxième laurier après celui remporté de haute lutte au Sénégal en 1992, avec les Youssouf Falikou Fofana, Abdoulaye Traoré « Ben Badi », Gadji Céli, Gouaméné Alain et bien d’autres footballeurs racés. 20 ans après le sacre de Dakar, on se met à rêver. En 1992, Alassane Ouattara était Premier ministre, on a gagné la coupe. En 2012, il occupe la Magistrature Suprême. L’espoir se met de nouveau en branle. Les signes et les signaux d’une nouvelle victoire se dessinent-ils ? Le présage est sûrement bon.
Dans un vaste élan de solidarité et de fraternité retrouvée, les Ivoiriens se sont rangés derrière le Président de la République, son Premier ministre, son gouvernement et la Fédération Ivoirienne de Football, pour accompagner Didier Drogba et ses coéquipiers dans la campagne africaine. Guillaume Soro et ses ministres ont mobilisé la somme de 150 millions, en renonçant à un mois de salaire, pour impulser une dynamique de taille au soutien pour les Eléphants. On ne le dira jamais assez ! La Côte d’Ivoire qui sort de longues années d’antagonismes et d’une crise postélectorale qui a failli lessiver voire détruire l’unité nationale, a besoin de remporter la coupe, pour ressouder son tissu social, pour reprendre la marche vers la prospérité et la démocratie.
Sans tomber dans l’euphorie et le triomphalisme de mauvais aloi, il faut dire que le triomphe est possible au Gabon et en Guinée Equatoriale. Rarement, un peuple n’a connu uniquement que l’effroi sans fin. Généralement, après les temps d’incertitude, de doute et d’errance, vient toujours et inéluctablement le temps de l’espoir. Ne sommes nous pas « la terre bénie de Dieu » ? La coupe est à notre portée. Il suffit simplement aux Eléphants de barrir